connaît pas le nom de sa femme. Des problèmes de ménage furent au nombre des raisons qui l’incitèrent à quitter l’Angleterre. En 1817, probablement avec quelques-uns de ses enfants et leurs familles
professeur de langues orientales au Belleville Seminary (qui prit le nom d’Albert College en 1866). Pendant ses années à Belleville, où il semble avoir connu un succès modeste, il reçut un diplôme honorifique
; une personne de ce nom y est également inscrite pour des voyages faits en Inde entre 1788 et 1799. Quelles que soient les particularités du fait, il semble indubitable que le sujet de cette
prédécesseurs que pour la forme, et personne ne fut grièvement blessé. La même année, Willis contribua à la création d’une nouvelle loge orangiste qui porta son nom. Il fut réélu à l’Assemblée en 1878, et se
réalisa un quartier résidentiel dans l’est de la ville, puis fit des lotissements pour des villas dans le village d’Ontario (connu plus tard sous le nom de Winona). En 1847, il fut secrétaire de la
dans des fours électriques, appareils qui n’étaient pas encore très perfectionnés non plus. Avec un associé du nom de James Turner Morehead, qui avait de l’énergie hydroélectrique en surplus à sa
Sale Act, le Farm Implement Act et le Settlers’ Animal Purchase Act. Cette dernière loi était connue aussi sous le nom de « programme de Winkler sur les vaches » parce
, avec un associé du nom de George Mills, une entreprise baptisée Mills and Wood. En 1836, il reprit le chantier naval de James Lang à Dumbarton et y construisit, entre autres, le Caledonia pour
Macdonald* que Wood était « tout à fait disposé à s’engager pour un paiement si [Macdonald était] en mesure de lui [en] offrir [l’occasion] ». Bien que libéral de nom durant toute sa carrière
plus tard, il participa à la fondation de l’Association médicale canadienne. Il fit partie de plusieurs comités de l’association en 1872 et offrit, au nom de celle-ci, une médaille d’or à l’auteur du
Union (dont le nom, changé en 1858, devint Northern Railway Company of Canada), mais il s’en retira en 1858 après avoir subi de fortes pertes d’argent. Ces pertes furent peut-être un facteur qui attira
1867 à 1891. Au cours de cette période, il est réélu en 1872, 1874, 1878, 1882 et 1887 toujours sous la bannière libérale-conservatrice. Même si le nom de Wright est associé de près à celui de
.
En 1869, Wright et un associé du nom d’Edgar Marvin contruisirent un deuxième bateau pour le haut Fraser, le Victoria. Une récession frappait la colonie depuis 1866, mais on espérait tout de
; parmi les suivants, cinq demeurèrent, pendant une brève période, la propriété des Wright qui les avaient fait inscrire à leur nom et qui les utilisèrent, sans aucun doute, pour transporter des cargaisons
, connue pendant une courte période sous le nom de Young and Weir puis sous celui de John Young and Company, vendait au détail des tissus, de la mercerie, de l’épicerie et de la quincaillerie, se livrait au
, au nom de la Compagnie du chemin de fer de la rive nord, la construction d’un nouveau pont sur le Saint-Laurent. Les autres commissaires du havre, le Bureau de commerce de Montréal (Montreal Board of
début des années 1870. En 1880, son nom ne figure plus dans la liste de ceux qui pratiquent à Québec. Déjà malade, totalement retiré de la vie publique, il a cependant encore l’énergie, en 1886, de
Mowat. Les libéraux pouvaient donc tirer parti de son nom sans se sentir pressés de modifier leur politique à l’endroit des francophones. Les conservateurs prônaient l’assimilation par la
.
Le paternalisme d’entreprise voulait qu’Agnew soutienne un grand nombre d’initiatives locales, allant de l’horticulture (un prix portait son nom) au baseball. Il joua un rôle essentiel dans la
droit au cabinet de son cousin, il fut admis au barreau de la province le 3 mai 1831. Selon la plupart des sources, Akins avait une pratique lucrative, surtout à titre de solicitor (son nom