.
Esther Pariseau fait profession le 21 juillet 1845 sous le nom de sœur Joseph du Sacré-Cœur. Au cours des premières années de sa vie religieuse, elle travaille à l’atelier de fabrication de
. Ses quatre fils continuèrent à exploiter son studio, connu désormais sous le nom de S. H. Parsons and Sons, jusqu’en 1933
sioux, à laquelle les Cris prêtaient un pouvoir particulier, il reçut le nom de Payipwat, que l’on traduit parfois par « celui qui connaît les secrets des Sioux ». En 1860, il était un chef
Baillairgé, de 1863 à 1866, sous la raison sociale de Baillairgé et Peachy ; par la suite, il exploite un bureau sous son nom jusqu’en 1895, année où il s’associe à l’un de ses élèves, Joseph-Pierre
fils de Weld, Henry, jusqu’à la mort de celui-ci. De 1885 à 1901, elle porta le nom de John S. Pearce and Company. Au cours de cette période, où les fermiers s’intéressaient de plus en plus à la
différents noms et adopte de nombreuses formules au cours des années, ce qui est fréquent pour ce type de publications, en raison du manque d’argent, de collaborateurs et de lecteurs. Perrault conserve son
dernier lui abandonna la direction de son bureau en janvier 1880, tout en prenant soin de l’associer avec le dessinateur en chef Albert Mesnard, de 12 ans son aîné. La nouvelle société, connue sous le nom
à 1892, il dirigea un périodique consacré à la santé publique qui parut sous divers noms. Il rédigea des brochures sur la tuberculose, le choléra asiatique et les taux de mortalité élevés des villes
l’entreprise mena à sa constitution juridique le 23 octobre 1886 sous le nom de Polson Iron Works Company of Toronto Limited, avec William comme président et Franklin Bates comme secrétaire-trésorier
, fils de William Price et de Marion Bruce ; en 1871, il épousa Josephine Lee, de Wilkes-Barre, Pennsylvanie, et ils eurent deux enfants dont Emily qui, sous le nom d’Emily Post, devint une célèbre
publications –, Édouard le Confesseur, roi d’Angleterre (Montréal, 1880), paraît sous le nom de plume qu’il emploiera aussi à titre de chroniqueur dans les Annales térésiennes
l’État de New York. Deux ans plus tard, elle fut constituée juridiquement sous le nom de H. B. Rathbun and Sons ; Edward en était président et directeur général. En 1886, son père mourut, et
prônait la réciprocité.
En 1897, encore pour des raisons de santé, Raymond vendit son entreprise, constituée juridiquement deux ans plus tôt sous le nom
inscrite au contrat.
Son nom étant fait, Reid rentra au Canada dans les derniers mois de 1883. Il avait gardé au moins quelques relations dans le milieu
, avec Sylvester E. Briggs, fondèrent la Steele Brothers and Company, qui, sous le nom de Steele-Briggs Seed Company, allait acheter la société de Rennie en 1961. Ces entreprises devaient leur succès
Percé, entrepreneur d’églises et autres édifices, toujours sous le nom de Rigali et Compagnie (1881–1883), puis avec l’un ou l’autre de ses fils établis à Québec, sous le nom de Rigali et Fils
Hastings.
En 1882, Ritchie et George McMullen devinrent respectivement président et vice-président de la société ferroviaire, qui portait désormais le nom
mettait à l’épreuve l’Acte de tempérance du Canada, il affirma, au nom de la municipalité, que la réglementation de la vente d’alcool relevait des droits civils, donc qu’elle ressortissait à la compétence
par le commandant en chef de l’armée de mer de Sa Majesté dans le Pacifique. Le compte rendu du bal et le nom de tous les invités avaient paru comme il se devait dans le journal du lendemain matin. Ce
Conrad et al., édit. (Halifax, 1988), qui reproduit également une photographie du sujet. Il faut noter que le nom de famille des parents d’Annie indiqué comme Butler à la p. 135 de la première