, Charles Samuel, devint lui aussi un associé de la firme qui, dès lors, prit le nom de Charles and Robert Hill and Company. Robert mourut en 1812 et Charles Samuel en 1816. Quelques années plus tard, soit en
acquisitions sous le nom de Chicago and Grand Trunk Railway et réaffirma une alliance déjà conclue avec le Vermont Central Railroad, dans l’Est. Cette année-là, le Grand Tronc tira de Chicago environ 40
d’inauguration, Hicks défendit l’association des instituteurs, qui prit le nom de Teachers’ Association in Connection with the McGill Normal School. Il souhaitait qu’elle tienne des assemblées annuelles dans un
bac entre les deux cantons, et la communauté qui grandit tout autour fut appelée Hicks’ Ferry, nom qui fut changé pour celui de Bridgetown en 1824. Hicks y mourut en 1790. Six de ses 11 enfants lui
secteur avoisinant la « Maison Blanche » prit à la fin le nom de faubourg Saint-Henry ou faubourg Hiché. Riche propriétaire terrien, il put, en 1742, doter très avantageusement sa fille Marie
région. Le développement de cette petite communauté amena la création d’Abbott-Corners, du nom d’un des premiers pionniers, le docteur Jonas Abbot. En décembre 1797, Hibbard devint membre de la
, qui est président, quitte la fabrique, connue alors sous le nom de Compagnie de manufacture britannique américaine ; il s’installe en Angleterre et fonde à Manchester une importante usine de
Hewett à sir Edward Osborne, tous deux lords-maires de Londres. Hewett lui-même servit dans la marine royale et les Royal Marines pendant les guerres napoléoniennes et la guerre de 1812 (on cita son nom
HERTEL DE SAINT-FRANÇOIS, ÉTIENNE (après la mort de son frère aîné, Joseph, en 1748, Étienne apparaît sous le nom d’Hertel
l’exemple de quelques autres Canadiens de cette époque, Hertel se joignit à la nouvelle communauté anglo-protestante et s’affilia à une loge maçonnique de Montréal. De plus, dès 1764, son nom figure sur une
Fresnière, dans la carrière militaire et les hauts faits d’armes qui auréolèrent le nom des Hertel. Il fut orienté assez tôt vers l’étude du droit et suivit à Québec les cours du procureur général, Louis
: « Malgré que mon Nom et Pronoms Soyent Français où Canadiens, [...] je suis et [...] j’ai toujours été aussi bon et Peut-être Meilleur Sujet de Sa Majesté Britannique, que tous Ceux qui Portent des Noms avec
guerrier attachée au nom d’Hertel de Rouville. Il faut dire cependant que ses plus importants faits d’armes ont été accomplis contre des populations sans défense et qu’il a dû, pour conserver la sympathie de
AN, Col., C11A, 54, f.134 ; 65, f. 152 ; Col., D2C, 222.— Provost, Inventaire de documents, RHAF, IV (1950–1951) : 595.— Gagnon, Noms propres au Canada
militaires à la même époque, n’étaient identifiés que par leur nom de famille. Cette confusion est évidente dans le cas de Zacharie-François, qui portait le titre paternel de « de La Fresnière
document ne vint pas. En compensation, on lui accorda une promotion militaire. L’humble nom Hertel ne disait rien en France. Dans une dépêche royale du 30 juin 1707, Vaudreuil et Jacques
, et des promoteurs immobiliers Thomas John Searle Skinner et Absolum Judson Sayre. Établie sous le nom de Calgary Petroleum Products Company (CPPC), la nouvelle entreprise était le fruit de l’initiative
. Watters, A checklist of Canadian literature and background materials, 1628–1960 (2e éd., Toronto et Buffalo, N.Y., 1972), la désignent incorrectement sous le nom de Clarke, le nom
terres, et en particulier un emplacement à moulin, sis sur le lot no 9, dans la rue Yonge, sur la rive ouest de la rivière Don (qu’on connaîtra plus tard sous le nom de Hogg’s Hollow ou de York
eu une conduite inconvenante pour un gentilhomme ». Son nom fut rayé de la liste du régiment pour l’année 1752 : ou bien il mourut cette année-là, ou bien il fut renvoyé de l’armée