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été repartagées de telle sorte que Macaulay avait obtenu la partie de chacun des lots qui se trouvait en bordure de la rue Lot. Un quartier populeux et surtout ouvrier, connu sous le nom de Macaulay
des anis personnels du premier lieutenant-gouverneur de la province, John Graves Simcoe*, comme en témoignent éloquemment les noms de
Ferguson*]. Au début de décembre 1818, Macaulay et Alexander Pringle achetèrent la Kingston Gazette et en changèrent le nom ; le 1er janvier 1819, ils lançaient le
. Lévesque se réfugie alors en France, d’abord chez des parents de son père, en Normandie, les Lévesque-Besselière et les Lévesque-Lemaitre. De là, il se rend à Paris où, sous le nom d’emprunt de Guillaume
 
. Marie-Henriette LeJeune, connue plus tard sous le nom de « Granny » Ross, la sage-femme de l’île du Cap-Breton, reste un personnage folklorique populaire dont les faits et gestes sont peu
 
certaine notoriété. Le plus âgé, George Byron Lyon Fellowes (son nom fut changé en 1856 afin qu’il puisse acquérir des propriétés de la famille de sa femme), fut avocat et député de la circonscription
 
LOLA, PETER (connu aussi sous le nom de Pierre ou Peter Laurent), chef malécite, guide et coureur à
 
LOLA (Laurent, Lawlor), NOEL (connu aussi sous le nom de Newell Lolar), chasseur malécite, guide et figure légendaire
 
bientôt ses activités de traite vers le Nord-Ouest et devint la principale concurrente de la North West Company. À l’automne de 1786, sur les ordres de John Ross, son supérieur, Leroux établit au nom de la
modérés. Apôtre du progrès, notamment de l’amélioration politique, il prône l’évolution et combat la révolution, toujours au nom des droits de ses compatriotes. Rédacteur à l’Ami du peuple, de l’ordre
 
nom à partir de 1808. Germain quitta définitivement Québec après 1832 pour se fixer à Château-Richer où il se contenta d’administrer ses propriétés de
 
le demeura jusqu’à sa mort. C’est au cours des dernières années de sa carrière militaire que George Thomas Landmann se fit un nom en Angleterre. Au
 
LAGIMONIÈRE, JEAN-BAPTISTE (il existe plusieurs variantes de ce nom de famille dont Lagimodière, Lajimorière, Lavimaudier
 
, Lacoste avait remis, en 1846, une pétition à l’Assemblée législative de la province du Canada au nom des notaires de Montréal. Ceux-ci s’opposaient à un projet de loi visant à réglementer les formalités
 
côte sud-ouest, en faisant la tournée trois ou quatre fois par année pour accomplir les devoirs de sa charge. Ses paroissiens le connaissaient sous le nom de « messager de lumière
 
Walpole. Il semble qu’ils aient rencontré White Peter (nom sous lequel Klingensmith était alors connu) et qu’ils aient fini par découvrir son vrai nom. Selon la tradition orale transmise au Canada et en
Admiral’s Cove (Port Kirwan, Terre-Neuve). On ne connaît rien des premières années de sœur Mary Bernard Kirwan, et ses noms de baptême n’apparaissent sur
l’orthographe Kimbert ou Kimber, afin de donner une forme plus française à son nom. Son fils Joseph, le père de Timothée, servit dans le bataillon de milice de la ville de Québec à l’hiver de 1775–1776. Après
 
politiques. En 1828, on retrouve son nom parmi les pétitionnaires qui réclamaient un Parlement représentatif, et, en 1829, John Kent* et lui prirent la
 
série de requêtes au gouvernement afin de recevoir une indemnité pour les dommages subis durant la guerre. Kerby rédigea plusieurs pétitions en son propre nom pour demander une concession de terre et au
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