du fort d’Orléans (1673–1728) (Paris, 1925), 46–59] ; L’Exacte Description de la Louisianne, de ses ports, terres et rivières, et noms des nations sauvages qui l’occupent
engagement, l’honneur, le devoir m’éloignent encore davantage de mon pays. Ma seule, ma grande espérance est de me distinguer, de mêler mon nom à quelque mérite, à une action d’éclat, pour qu’on le répète au
1809.— Almanach de Québec, 1788–1810.— Beaulieu et Hamelin, La presse québécoise, 1 : 11s.— Benjamin Sulte, « Trois noms », BRH, 1 (1895) : 40
pas [été] en train de se construire un palace dans la rue Bloor ». De plus, il trouvait amusant qu’« un gentleman dont le nom s’épel[ait] V-O-G-T » s’indigne de ces examens administrés
-être sa venue au Bas-Canada a-t-elle un rapport avec la présence à Montréal d’un nommé Pierre Gauthier, navigateur, dont le nom apparaît dans le Montreal directory de 1848. L’année suivante
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Le sens du nom huron de l’artiste autochtone Zacharie Vincent, Telari-o-lin, reste incertain ; longtemps traduit par « non divisé » ou « sans mélange », ce nom, dont la graphie
Moose Factory en septembre 1858, à l’âge de 76 ans, et fut inhumée sous le nom de Mme Jane Vincent. La volumineuse correspondance au sujet de la succession de Vincent, de ses légataires et de ses finances
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Quelques descendants de la fille aînée de Thomas Vincent, Clara Caroline (Nicholson), vivent encore dans la région de la baie James. On y trouve aussi d’autres personnes dont le nom de famille est Vincent
travaux qui ont fait connaître partout le nom de Laura Secord. Elle comporte une notice biographique intitulée « Memoir of Mrs. Secord » qui résume l’histoire de l’héroïne et de son mari. Le
plonge des choses dans l’eau », ou Le Faucon, nom donné au chef civil héréditaire chez les Hurons de Jeune-Lorette (Wendake, Québec), grand chef huron, né vraisemblablement le 11
des Deux-Montagnes, et Jean-Baptiste-Nicolas-Roch de Ramezay*, au nom du gouverneur Beauharnois, vint « rallumer un
mariage du sénéchal Jean de Lauson, fils du gouverneur du même nom. Enfin, le 22 octobre 1659, il laissait le
Genaple* rédigé le 12 août 1685 nous apprend le nom de l’entrepreneur, Jean Le Rouge*. Cette poudrière, terminée en 1686, a été
, de dessinateur et de superviseur des chantiers. On ne lui connaît pas, cependant, de travaux entrepris en son nom dans la deuxième moitié de la décennie. De plus, à compter de 1898, il se désigne aussi
premier recensement de la Nouvelle-France, dressé en 1666, porte le nom de Jean-Baptiste Villain, âgé de 19 ans, « orpheuvre travaillant » dans l’île d’Orléans. Sans doute travaille-t-il alors aux
£75 000 dont De Witt fut un important souscripteur. Cette société, connue aussi sous le nom de Banque du peuple, comprenait 12 associés principaux qui devaient verser chacun un capital
mère en 1823, Viger hérite de la fortune familiale qui inclut 5 maisons et 47 arpents de terrain dans le faubourg Saint-Louis. Dès lors, le nom de Viger figure parmi la liste des plus grands
le 2 février 1863, sous le nom de sœur Saint-Jean-de-Goto, qu’avait choisi Mgr Ignace Bourget
des mariages et divorces. Peu après, un procès eut lieu à Halifax ; Richard John Uniacke* assurait la poursuite au nom de
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C’est en avril 1777 que le nom d’Adolphus Christoph Vieth apparaît pour la première fois dans des documents nord-américains, à l’occasion de sa nomination comme enseigne dans le régiment de garnison