prononça les vœux perpétuels de pauvreté, de chasteté et d’obéissance et prit le nom de sœur Mary Martha. Elle commença à travailler au couvent, au pensionnat et à l’orphelinat de la communauté et, en
« bureau chef », à Londres, en 1818, Brooking devint l’associé en second et la firme adopta le nom de Hart, Robinson, and Company. En 1822, l’associé principal s’étant retiré, la compagnie prit la
.
Bristow resta un ami personnel de Brown et son nom figura sur la liste des participants au congrès grit à Toronto en novembre 1859. L’Argus avait cessé de paraître en novembre 1858 et
croissante : « Pendant quelques semaines, je n’eus même pas la force de signer mon nom », écrivit-il à Victoria. Après une réclusion de plusieurs mois due à cette douloureuse maladie, il mourut
société est de £6 500 dont Boyer a versé £2 000. Le nom de la société sera à Montréal, Vallée, Boyer et Compagnie et, à Québec, Vallée, Saint-Jean et Compagnie. Il est intéressant de constater que
, les pires politiciens peut-être dont un pays ou une nation puisse être affligé » et mit en tête de sa « liste noire » du Colonial Advocate le nom de Boulton
sous le nom de mission New York-Canada en 1846. Il y demeure jusqu’à la fin de son mandat en 1855, sauf en 1849 alors qu’il séjourne au collège Sainte-Marie à Montréal où il règle les problèmes relatifs
chez les sulpiciens, au collège de Montréal. À la distribution des prix de juillet 1852, son nom n’apparut qu’une fois au palmarès : il se classa premier en instruction religieuse, place qu’il
digne du nom qu’il porte, et soutenir avec force et courage la cause de notre belle patrie. »
C’est pendant cette même session que Boucher de
plus longues dans les journaux de Halifax de 1831 à 1833 dont les noms suivent : l’Acadian and General Advertiser, l’Acadian Recorder, le Halifax Journal et le
démission de Blake, ce dernier aurait quitté son poste sans achever la réorganisation de tout le système judiciaire du Haut-Canada, œuvre à laquelle son nom reste attaché. En 1843, Blake avait accepté, avec
acheteurs ; il ouvrit aussi plusieurs rues dont l’une porte encore son nom. Cette spéculation lui apporta la fortune. Il s’occupa avec d’autres concitoyens de l’érection de Bytown en ville, projet qui
.
Un individu de ce nom décédé en 1863 à l’âge de 51 ans est bien un des associés de cette maison. Sur ce point, le testament de Joshua Bell en 1861 est assez explicite : les deux frères sont dits
avec prudence en raison du fait que le nom d’Andrew Bell est très répandu. C’est donc la lecture des propres ouvrages de Bell (certains passages pertinents, les pages de titre et les pages préliminaires
the year of our Lord 1824 [...], qu’il édita par la suite chaque année. En 1833, l’ouvrage prit le nom de Belcher’s farmer’s almanack
fiction rédigée par une Canadienne de naissance, la première aussi à être publiée au Haut-Canada. Le roman ne porte pas de nom d’auteur et est dédié à la comtesse de Dalhousie. L’ouvrage fut vendu par
[...] (Londres, 1824). Cet ouvrage le fit s’intéresser au sort d’un petit groupe de protestants, connus sous le nom de Vaudois, qui vivaient au Piémont, dans les vallées de Pignerol. Beckwith séjourna chez les
épousa Sarah Crawford Magdalen (dont le nom de famille est inconnu) et de cette union naquirent au moins 15 enfants ; décédé le 28 mars 1868 à Londres
station ferroviaire de cet endroit porta durant de nombreuses années le nom de « Bayard ».
A. D. Gibbon
BAVEUX, JEAN-CLAUDE-LÉONARD (connu au Canada sous le nom de Jean-Claude Léonard), prêtre, sulpicien, oblat de Marie