semblaient inférieures à son actif, il décida finalement de demeurer indépendant. En 1911, il constitua juridiquement sa compagnie sous le nom de John Labatt Limited et garda plus de 99 % des actions
fondée en 1827 par John Balkwill, puis achetée par William Balkwill et Thomas W. Shepherd, avant d’être vendue à Eccles, en 1847. Labatt and Eccles (c’est le nom que portait la société) ne tarda pas à
du chant et du solfège, auprès de ses choristes, en privé, et dans plusieurs établissements scolaires, dont le petit séminaire de Montréal, le couvent et l’académie des Sœurs des Saints-Noms de Jésus
elle l’explique dans son discours à l’occasion du deuxième congrès de la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste, en juin 1909, elle ne veut pas effrayer les hommes : « ces noms leur
, gringalet même, il avait gardé de ses racines populaires la démarche gauche, le geste spontané. Affable et courtois, il connaissait, dit David, « les noms de la plupart des ouvriers de la division Est de
consistait à payer au nom de la couronne les soldats, marins, officiers, marchands-fournisseurs et autres. Il payait soit en numéraire, quand il en avait, soit en billets de caisse ou en lettres de change
noms de l’enseignement romain le passionnent, dont celles du père Matteo Liberatore, l’un des rédacteurs de la future encyclique Rerum novarum du pape Léon XIII. L’anticléricalisme qui sévit en
Bon-Pasteur dans leurs œuvres. Elle prend l’habit le 9 décembre sous le nom de sœur Catherine-Philomène. Quatre ans plus tard, insatisfaite de sa condition, elle songe à rentrer dans le monde. Est
quelques mois. Soit par reconnaissance, soit par admiration, Louis semble dès lors avoir ajouté à son nom le patronyme de son protecteur. Il passa deux ans au grand séminaire, en sortit pour étudier le droit
président du Conseil d’hygiène de la province de Québec, il marque profondément cet organisme de sa pensée scientifique et de son action d’hygiéniste pratique. Fondé en 1886 et désigné sous le nom de
nécessaire. Néanmoins, il se préoccupait sincèrement de leur sort et tenta d’améliorer leurs conditions de vie. Les autochtones comprenaient ce sentiment, comme en témoignent les noms qu’ils lui donnèrent
, Lacoste avait remis, en 1846, une pétition à l’Assemblée législative de la province du Canada au nom des notaires de Montréal. Ceux-ci s’opposaient à un projet de loi visant à réglementer les formalités
d’Hochelaga, tenu par les Sœurs des Saints-Noms de Jésus et de Marie. Spontanée et franche, elle est rebutée par l’austérité et la froideur de cette vie, et par la nécessaire obéissance à des règles arbitraires
LACROIX, HUBERT-JOSEPH (connu sous le nom de Joseph-Hubert dès 1802), marchand, officier de milice
Robson*. Toutefois, en 1886, il remporta la victoire et rejoignit l’opposition. À l’Assemblée, il posait des questions au nom des colons de sa circonscription, surtout sur la construction des routes
1718, afin de remettre en main propre à Tamburini, au nom de sa mission, la seconde de ses requêtes et aussi la demande relative à son retour dans la colonie. Son frère, Pierre-François, l’avait précédé
Coursol*] et, en 1869–1870, la poursuite engagée au nom de la veuve de Joseph Guibord* contre le curé et les marguilliers de la paroisse Notre
collègues et de publier lui-même (mais sous le nom de Mgr Cooke) un mandement d’appui à l’Acte de l’Amérique du Nord britannique. Figure dominante du quatrième concile provincial de Québec en 1868, il
professoral de cet établissement, connu sous le nom d’université de Montréal à partir de 1920. Secrétaire de la faculté de 1890 à 1914, il occupe la fonction de doyen de 1918 à 1929. Son cours de droit romain
commandite fondée pour « faire le commerce d’argent » à Saint-Hyacinthe et reconnue juridiquement en 1873 sous le nom de Banque de Saint-Hyacinthe