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été-là, dans les environs du lac Champlain et dans le haut Saint-Laurent. Il se battit au fort Saint-Jean le 6 septembre 1775, où, par erreur, il fut porté au nombre des soldats tués au combat
contribua aux opérations qui obligèrent les Américains à battre en retraite depuis Québec jusqu’à Ticonderoga, New York, en passant par le lac Champlain. Quand le major général
le lac Champlain. Saunders n’avait jamais commandé de flotte au cours d’une opération d’envergure, mais le 9 janvier 1759, sur la recommandation d’Anson, on lui confia le commandement de la
 
plus importantes du Canada. Quand éclata la guerre de Sept Ans et qu’on décida de fortifier la région du lac Champlain, qui donnait accès à la colonie
reconnaissance et de renseignements dans la région du lac Champlain. Si Rogers n’inventa pas ce type d’unité (une compagnie de rangers servait en Nouvelle-Écosse dès 1744 sous les ordres de John
regroupaient en vue d’attaquer les forts français du Niagara et du lac Champlain. En qualité de gouverneur général, Vaudreuil était responsable en dernier
, héritiers comme elle des biens paternels. Cette scierie était d’ailleurs fort bien située pour débiter le bois en provenance du haut Richelieu et du lac Champlain et fournir ainsi madriers, planches et
 
Montcalm*, dans la région du lac Champlain. Au cours de l’hiver de 1757–1758, il se trouvait à Québec où il fréquentait la bonne société et s’adonnait au jeu. L’été suivant, il était fait prisonnier par
 
, Lachine, Saint-Laurent, Boucherville, Laprairie (La Prairie) et du Lac-des-Deux-Montagnes (Oka). Dans la région de Québec, les religieuses étaient à l’œuvre dans les missions de Champlain, Sainte
 
concentrées sur l’Hudson en vue d’envahir le Canada par le lac Champlain. À la mort de Jacques-Pierre
Amherst, en 1759, au lac Champlain ; on l’utilisa pour les raids, les missions de reconnaissance, et comme avant-garde de l’armée, en compagnie des rangers de Robert
 
 1735. Après un périple de cinq semaines qui le conduit à Batiscan, Champlain et enfin à Saint-Maurice, en compagnie de Jean-Eustache
 
’Amherst commença de descendre le lac Champlain, le 11 octobre 1759, en vue d’attaquer les Français commandés par François-Charles de
s’établir à demeure et où il avait obtenu de grandes propriétés foncières du côté du fleuve opposé à la ville et sur les lacs Champlain et Saint-Pierre. Mais, bien qu’il conservât officiellement le titre de
Amherst au lac Champlain en 1759, le régiment participa avec William Haviland aux opérations qui
fut dans la région du lac Champlain, au fort Saint-Frédéric (près de Crown Point, New York) ainsi qu’au fort Carillon (Ticonderoga, New York) où il se trouvait, à l’été de 1757, avec les troupes que
 
Doreil*, « l’Expedition la plus audacieuse ». Au début d’août 1758, Marin rencontra un détachement commandé par Rogers dans les bois voisins du lac Champlain. Il fit replier peu à peu ses
 
Dosquet, le 21 octobre de la même année, dans la chapelle du palais épiscopal. L’année suivante, il succédait à Joseph Dufrost de La Gemerais comme curé de la paroisse de Champlain. En
 
of the Champlain valley [...] (Albany, N.Y., 1863), 178–184.— Margaret Angus, The Macaulay family of Kingston, Historic Kingston (Kingston), 5 (1955–1956) : 3–12.
 
(ruisseau Otter, Vermont) en reconnaissance des travaux apostoliques de son père. Toutefois, c’est sur la rivière Hudson, au grand portage entre la vallée de l’Hudson et le lac Champlain que Lÿdius
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