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l’entremise du courtier Weir. Ces mesures ne résolurent pas le problème, qui retomba sur les bras du ministre des Finances sir Francis Hincks*. Comme
gouvernement responsable et avait appuyé des réformistes, tels que Francis Hincks*. Mais, en 1854, il trouvait Hincks trop conservateur et se montra
l’année, il s’installa à Clifton (Niagara Falls), mais auparavant, pendant la campagne provinciale, il prit la parole en faveur de Francis Hincks
l’identifia, en même temps que les deux Baldwin, Small et Francis Hincks*, comme l’un des membres « respectables » du « parti
voisin Francis Hincks*, Baldwin entra au comité exécutif de la Constitutional Reform Society of Upper Canada, où militaient notamment Rolph et
, sir Francis Hincks*, en octobre 1869, laissèrent peu d’illusions à Tilley sur ses perspectives d’avenir. Dès 1871, il cherchait une porte de
des Finances, Francis Hincks, de confier à Allan en août 1871 que les bailleurs de fonds aux États-Unis de la
 
Hincks* du Bas-Canada et John Hillyard Cameron*, sir Allan Napier MacNab
gouvernement de Francis Hincks*. Ce dernier demandait au gouvernement anglais de promulguer une loi permettant à la législature de la colonie de régler
Gazette qui le qualifia de « champion du désordre [...] chercheur de postes et démagogue ». Francis Hincks *, le rédacteur en chef
-être le principal motif de son refus, il ne voulait pas siéger aux côtés de Francis Hincks* qui, « jusqu’au moment même de l’éclatement de
à regret par le réformiste haut-canadien Francis Hincks* que Cuvillier serait un meilleur candidat à la présidence de l’Assemblée que des
 
que journalistique, Francis Hincks*, du journal torontois Examiner, le décrivait comme « un rédacteur politique vigoureux bien
Hincks* et sir Alexander Tilloch Galt. Seuls deux Canadiens de langue française, Honoré Cotté et
début de 1862. Conçu en 1851 par Francis Hincks* pour relier les colonies de l’Amérique du
Hincks* de confier la construction du Grand Tronc à un groupe d’entrepreneurs britanniques en 1852. Il se brouilla avec la direction du Grand Tronc à cause d’honoraires impayés pour son travail
du Nord britannique devait devenir un territoire d’herborisation, tel était son message, d’ailleurs fort différent de celui de William Hincks
Finances sir Francis Hincks* et pour vice-présidents le lieutenant-gouverneur William Pearce
d’hommes tels que Draper et Francis Hincks. Ces gens étaient disposés à reconnaître les intérêts légitimes des
Hincks*. À propos de cette crise de 1854, Taché écrit à Jean-Charles Chapais* une longue lettre, si dense d’analyse qu’elle ne peut
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