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local de la New York, Newfoundland and London Telegraph Company. Cette société, qui allait fusionner en 1873 avec l’Anglo-American Telegraph Company, exploitait alors une ligne qui traversait Terre-Neuve
 
prohibitionniste, mais son adversaire conservateur l’emporta par une faible majorité. Il se tourna alors vers les affaires. Agent de la London and Lancashire Fire Insurance Company, il fonda, avec l’aide de son fils
 
London, Ontario, Jessie Thompson Birrell, et ils eurent quatre filles et un fils ; décédé le 15 juin 1903 à Hamilton, Ontario. John James
compagnies qui relevaient de son autorité étaient postées à Fredericton, à Saint-Jean (Saint-Jean-sur-Richelieu), à London et à Toronto. Il devait créer un système régimentaire à partir de ces unités
 
publique en 1859. Étudiant à la Normal School de Toronto en 1862, il fut ensuite instituteur à Barton, puis à London, de 1864 à 1869. Il poursuivit durant la même période les études extra-muros qui lui
 
considérables pour promouvoir ses animaux ; il les présenta, par exemple, à la Provincial Exhibition à London en 1854, opération qui nécessita un voyage en bateau à vapeur jusqu’à Hamilton, puis en chemin de
 
favorisa leurs relations avec d’autres collèges méthodistes des Maritimes et d’ailleurs en instaurant les examens d’entrée de la University of London. Son apport aux conseils et comités de direction
1883 et, même alors, n’exerça que par intermittences, d’abord au cabinet d’Ephraim Jones Parke*, à London, et par la suite avec un de ses
, député de London à l’Assemblée, démissionna de son siège, et le caucus conservateur le remplaça comme leader par George Frederick
 
. Après avoir été autorisé à prêcher par le consistoire de Pictou en mai 1849, Murray revint dans l’île et, en janvier 1850, il fut ordonné ministre de Cavendish et de New London, remplaçant ainsi John
 
années suivantes à voyager « par affaires et pour son plaisir ». Il séjourna à Londres, où il fréquenta la University of London et devint membre de l’Institute of Actuaries. Quelques années plus
 
Nord) ; il épousa Catherine Armstrong (décédée en 1900) de Buffalo, New York, et ils eurent sept fils et cinq filles ; décédé le 6 juin 1906 à Newton, Kansas, et inhumé à London
 
., Univ. of Western Ontario, London, 1981).— B. C. Busch, The war against the seals : a history of the North American seal fishery (Kingston, Ontario, et Montréal, 1985
 
), no 5, suppl. : 1 (mfm aux AO, F 885).— Canadian White Ribbon Tidings (London, Ontario), 1er oct. 1909 : 1508 (mfm aux AO, F 885).— Wendy Mitchinson
 
. (London), W. E. Elliott coll.— Clinton New Era (Clinton, Ontario), 1880, nov. 1901.— Farmer’s Advocate and Home Magazine, 15 nov. 1901.— Huron
 
), 1885–1903, et Canadian White Ribbon Tidings (London, Ontario), 1904–1905 ; RG 80-5, no 1879-009463.— Duluth Daily Herald (Duluth, Minn.), 24 déc
Shakespeare, lady Teazle dans The school for scandal de Sheridan et lady Gay Spanker dans London assurance, comédie de Boucicault. Encouragé par l’accueil que les Canadiens faisaient
Regiment [...] (2 vol., Montréal et London, Ontario, 1936–1967 ; vol. 1 réimpr., Fredericton, 1981).— J.-Y. Gravel et al., le Québec et la Guerre, 1867–1960
un nouveau cabinet à London. Dans cette ville, Oronhyatekha se présentait comme un médecin d’Oxford et comme un ex-fonctionnaire. Désireux de nouer
 
 1909 à London, Ontario. John Seabury Pearce grandit dans une ferme défrichée en 1809 par son grand-père pennsylvanien sous la supervision de Thomas
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