barrage et un moulin à deux reprises. De plus, au moment même où la ferme (baptisée Stanhope du même nom que la propriété écossaise de Montgomery) parvenait à se suffire à elle-même, la période d’engagement
Confédération au cours de la campagne en faveur de l’« abrogation », dans les années 1880, avait parlé en 1867 au nom de la majorité antifédéraliste de l’ouest de la Nouvelle-Écosse et, en soulevant si
fabriquant des meubles plus finement sculptés. Le nom de l’entreprise n’allait disparaître qu’en 1896. Les frères Lawrence exploitaient aussi une grosse entreprise de pompes funèbres à Saint-Jean
Academy, tenue par les Sisters of St Joseph of Toronto. Lorsqu’elle reçut son diplôme, en juin 1882, elle prononça le discours d’adieu au nom des élèves de sa promotion et récolta les médailles d’or de
modérés. Apôtre du progrès, notamment de l’amélioration politique, il prône l’évolution et combat la révolution, toujours au nom des droits de ses compatriotes. Rédacteur à l’Ami du peuple, de l’ordre
[Campbell*] et à son épouse la princesse Louise*, et diverses chansons : Amour, Thérèse la blonde, le Petit Ramoneur, le Nom
commerce de meubles, et Lavigne se servit de son nom comme recommandation. Celui-ci ouvrit son entreprise en 1865, à l’âge de 24 ans. Dès le début, il travailla comme ébéniste et comme marchand de meubles. À
bataillon (fusiliers Mont-Royal) qui allait connaître une renommée enviable sous les noms familiers de Bande de la cité et Montreal City Band. Dans les concours auxquels cette « excellente fanfare
.
Charles-Honoré Laverdière entra au petit séminaire de Québec à l’automne de 1840 et y poursuivit de brillantes études ; il note lui-même que son nom apparaissait régulièrement au palmarès annuel. En
Jones de Toronto. Il reste aujourd’hui de cet ensemble les deux constructions de Laver et de Stent, connues sous les noms d’édifices de l’Est et de l’Ouest, de même que la bibliothèque de Fuller et de
pénitencier ni le système carcéral. Si son nom est passé à l’histoire, c’est surtout pour une autre raison. En octobre 1885, Macdonald l’avait chargé, avec Augustus Jukes et François-Xavier Valade, d’aller
, ce qui lui vaut une tournée en Amérique du Sud, aux Antilles et au Mexique comme accompagnateur d’un violoniste espagnol du nom d’Olivera. En septembre 1861, il est à Providence, au Rhode Island, où il
noblesse. Guy, né de cette union, prit le nom de sa mère ; c’est de lui que descendait François de Laval.
Par sa mère, Michelle de Péricard, fille du
avaient été causés d’abord par le changement trop fréquent des missionnaires ; en conséquence, ils demandaient le retour de Gannenrontié (nom indien du père de Lauzon). Par ailleurs, ils considéraient
son fils aîné, François, il octroya une étendue de pays allant de la rivière des Iroquois (Richelieu) jusqu’au Châteauguay moderne. Puis, se servant de prête-noms, il obtint pour lui-même l’île de
électorales faites au Bas-Canada depuis 1840 ; celle-ci ayant été rejetée, il se range parmi les tenants du rappel de l’Union. Le nom de Laurin est surtout associé à la loi de 1847 visant à organiser
accepta de remplir de nombreuses charges d’ingénieur au nom de municipalités des environs de Montréal. Son bureau connut, dès lors, une croissance de ses activités. Dans ces circonstances, Laurin en fut
sur la franchise et défendit globalement le respect de trois principes : l’autonomie provinciale, les deux cultures fondamentales du pays, et la liberté. Le 28 mars 1889, au nom de ces trois
, Laurie eut un associé du nom de D. L. Clink ; ensuite, il fut l’unique propriétaire du journal. Durant les 25 années qui s’écoulèrent entre la fondation du Herald et sa
. Casteel fut sauvé par un officier français et finalement racheté par un Acadien du nom de James Morrice (Jacques Maurice). Par la suite, ajoute Casteel, les autres Micmacs « sortirent de la maison