West Company et Rocheblave s’associèrent en vue de former une nouvelle entreprise commerciale pour une durée de huit ans. De cette nouvelle entreprise sans nom, chacune des trois firmes composantes
RICHARDS, JACKSON JOHN (connu aussi sous les noms de Jean Richard et de
tourna vers l’administration de son bureau, il parut dépassé. Comme le craignait John Beverley Robinson, il était trop terne à York pour que l’on se souvienne de ce qu’il accomplissait ailleurs. Son nom
noms commencent par les lettres R et S, carton 9.— L’Ami du peuple, de l’ordre et des lois, 26 avril 1834.— Le Canadien, 4 mars, 29 avril, 3 juill
groupe de marchands d’allégeance patriote associés en vue de créer la société Viger, De Witt et Compagnie, qui sera aussi connue sous le nom de Banque du peuple [V. Louis-Michel
sujet pour la Geological Society of London. Lu en son nom par Charles Lyell, géologue britannique réputé, son exposé fut discuté au cours des réunions que tint la société le 22 mars et le 5
l’accompagnaient. Il reçut, avec Lewis, une concession foncière dans l’établissement de Parrtown, à l’embouchure de la rivière ; en 1785, Parrtown et Carleton allaient être réunis sous le nom de Saint-Jean
défenseur de la toute nouvelle congrégation presbytérienne de Belleville, il en fut l’un des administrateurs, écrivit en son nom des lettres à la presse et à divers fonctionnaires et hébergea son premier
éd., 1886), 52, avec la mention « musique de N. Aubin », et dans la Nouvelle Lyre canadienne [...] (nouv. éd., Montréal, [1895]), 58, mais sans le nom du compositeur
la route de Dundas et qui porta son nom jusque dans les années 1870. En 1808–1809, avec quatre autres chefs de famille, il embaucha un instituteur pour ouvrir la première école de la région. Quatre ans
. En 1778, ils s’installèrent à Bristol, où ils adoptèrent l’orthographe anglaise de leur nom, Sewell. S’étant découvert un talent pour le théâtre, Jonathan joua si bien dans une pièce présentée à
anglicane aujourd’hui connue sous le nom de St John, à York Mills (Toronto). De plus, entre 1804 et 1823, il servit trois fois à titre d’estimateur du canton d’York et deux fois à titre de
cercles réformistes. En 1835, la rumeur publique lui prêtait l’intention de prendre bientôt sa retraite. Un groupe réformiste, la Canadian Alliance Society, qui ne tenait pas à voir son nom inscrit sur la
exploitant mais, en raison de sa connaissance des problèmes que les coupes illégales causaient aux marchands de bois, c’est lui qui, en leur nom, fit des représentations auprès des gouvernements haut et bas
et à Longueuil, et curé de la paroisse Saint-Constant, le 1er octobre 1804. Un an plus tard, premier curé de Sainte-Marie-de-Monnoir (Saint-Nom-de-Marie, à Marieville), il a la charge de
couramment l’anglais. Aidé par son ami le juge Peleg Wiswall, de Digby, il apprit à rédiger en leur nom des actes, des testaments et d’autres documents juridiques qu’il conservait dans une boîte, au presbytère
l’avancement des sciences et recevront le nom de Royal Grammar School. Au cycle préparatoire, le programme d’études comprenait des cours d’anglais, d’écriture, d’arithmétique et de tenue de livres ; au
organisme de ce nom à Halifax, il en devint le secrétaire ; il allait occuper ce poste jusqu’à sa mort.
Smith écrivit nombre de textes et prononça
« noire et lustrée qui ondul[ait] facilement », James Somerville devint l’un des grands animateurs de la vie montréalaise. Son nom figure en tête de la liste des membres du Montréal Curling Club, formé
, probablement dans le comté d’Essex, Haut-Canada.
Le nom de jeunesse ou nom usuel de Sou-neh-hoo-way était To-oo-troon-too-ra qui, sous sa forme anglaise