transactions ; toutefois, à la suite du décès de Giroux, il reprend le commerce en main en janvier 1886, toujours sous le nom de Jacques Grenier et Compagnie
en vain à solliciter la concession des îles au nom de son père et, en 1777, après que Gridley se fut joint aux insurgés américains, en son nom propre. Néanmoins, Gridley ne s’affairait pas uniquement à
Ellis*, violoncelliste. Enfin, Griebel donna des leçons à sa résidence de la rue Church, mais on ne connaît aucun document qui mentionne les noms de ses élèves
que leur rendaient les habitants de Yale, mais l’endroit ne conserva pas ce nom. Après un bref séjour en Californie, les voyageuses poursuivirent leur périple, passant par les îles Sandwich (Hawaii
de poste passa de 3 630 à plus de 7 600. Cependant, le nom de Griffin ne figura jamais dans un rapport annuel, si bien qu’à sa retraite ni son supérieur politique, le ministre des Postes
. Son nom ne figure pas dans l’annuaire de Montréal de 1819 mais on sait, d’après les registres, qu’il était un « résident de cette ville » en 1825, quand il se maria à la Christ Church
Union Trading Company, mieux connue sous le nom de Union Trading Company, pour approvisionner les « magasins au comptant » dans les petits villages de pêcheurs. Il semble que le nom de Grimes
porteur d’une lettre de marque. Au cours de cette traversée, il voyage de conserve non seulement avec les navires de la compagnie, le Dering (troisième du nom, sous le commandement de Henry Baley
GRISÉ, ANTOINE (connu également sous le nom de Grisé, dit Villefranche
Bissot* de Vinsenne. Saint-Ange de Bellerive, nom sous lequel Louis était généralement connu, y garda son commandement jusqu’en 1764. La traite n’était, dans cet établissement, que d’un rapport
Le nom est quelquefois écrit Groston de Saint-Ange, quelquefois Grotton, dit Saint-Ange ; le de n’a aucune connotation nobiliaire
d’entreprendre des visites pastorales au nom de son évêque, Henri Faraud*. Sur la rivière Peel, il entra en contact avec quelques Inuits. Il demeura parmi
textes n’a été retrouvée. Ce fut peut-être au cours de cette période qu’elle prit le nom qu’elle garderait jusqu’à la fin de sa vie, Bellelle Guerin.
En
, avec les hommes d’affaires québécois Louis Marchand et Mathew Lymburner. Ensuite, ce dernier lui donna une procuration pour réclamer en son nom une créance auprès de deux habitants de Saint-Marc. La même
annexionnistes, Gugy se détacha peu à peu des tories montréalais. C’est peut-être pourquoi il n’osa pas remettre son nom en candidature à l’élection de 1851
-Ouest, désignée aussi sous le nom de Petite-Rivière-Yamachiche, où il se fit construire un manoir. Il acheta, en 1771, la seigneurie de Dumontier, voisine de celle de Grosbois-Ouest. Il acquit également
prendre possession, au nom de son père, de la succession de son oncle Conrad Gugy*. Bien que ce séjour ne dure que quelques mois, il suffit à
GUIBOCHE (Gibotte), LOUIS (connu aussi sous le nom indien de Nemisses (Minissis) et sous le sobriquet de Petit
Walkem*). Encore aujourd’hui, la richesse de ses installations de Quilchena témoigne de son ambition. Le nom de sa famille subsiste dans la raison sociale de la Gerard Guichon Ranch Limited ainsi que
Sœurs des Saint-Noms de Jésus et de Marie.
Les évêques canadiens, Mgr Ignace Bourget* en