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disparition de l’Acadian en 1862, le père alla rejoindre son fils au Register, qui prit le nom de Free Press en 1863. Ils continuèrent tous deux à publier ce journal jusqu’en 1872. Au
 
Laval* et du clergé. Le nom de Giffard s’éteignit au Canada avec son fils Joseph, qui ne laissa pas de postérité. À part sa fille religieuse et un autre garçon qui retourna de bonne heure en France
 
reçut le nom de la supérieure fondatrice, décédée le 5 novembre. La nièce de Marie-Françoise Giffard, mère
leurs projets de création d’une compagnie pour l’utilisation du prétendu passage. Gilbert leur donna des conseils et permit que son nom figurât sur la liste des souscripteurs, mais rien de plus
Gilchrist’s Mills, que l’on en vint également à appeler Keene, du nom d’un village près de l’endroit où Gilchrist avait passé son enfance. Considéré comme le fondateur de l’établissement, il ouvrit le premier
 
1841 à l’île Garden sous le nom de Prince Edward par Dileno Dexter Calvin*, John
 
Nelson avant le groupe de Radisson. Tout laisse croire que les Gillam ne sont pas retournés à la baie d’Hudson après 1684 ; leur nom figure de
 
, derrière Saco et Wells, d’abord connu sous le nom de Phillipstown, et où se dresse maintenant la ville de Sanford. Le major Phillips, par acte notarié, accorda à Zachariah Gillam et à son beau-frère, Ephraim
 
Michillimakinac au nom de la compagnie. Il devint membre de la congrégation Scotch Presbyterian, connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street, à laquelle il donnait généreusement
 
à devenir les principaux associés. En 1816, la firme changea son nom pour Gillespie, Moffatt, and Company. Outre George
 
associés majoritaires de la société, désormais connue sous le nom de Rankin, Gilmour and Company, que Rankin allait réorganiser et dont il allait installer le siège social à Liverpool. Gilmour l’aîné
 
en 1804 et enregistrée en 1812 comme société en nom collectif, grâce à son oncle, Allan Gilmour l’aîné, principal associé de la compagnie. Son assiduité au travail et sa compréhension rapide du
 
membre du conseil du séminaire, il fut, comme tel, l’un des neuf prêtres à signer la requête demandant à la reine Victoria l’octroi de la charte de l’université Laval, en 1852. Même si, après 1854, son nom
, et une milice efficace. Par l’Acte du Manitoba, le 15 juillet 1870, on créait la province du même nom qui devenait une partie du Canada. Selon
 
d’un ouvrage de l’agronome William Evans* publié en 1835. Depuis 1831, sous son propre nom ou sous des pseudonymes divers tels que Jean-Paul
d’enseignement. C’est à son nom que vont les quelques subventions gouvernementales. Pour la nomination des professeurs, par exemple, mais aussi pour les règlements de discipline des élèves, directeur et fondateur
ans et dix ans. C’est alors que le jeune Jean-Joseph se mit, si l’on peut dire, à l’école de la famille Baillairgé dont le nom était déjà bien connu à Québec. Dans le journal qu’il tint plus tard avec
Niger. Il implanta des politiques qui seraient connues sous le nom de « gouvernance indirecte » (administration par les chefs indigènes), avant même que Lugard les ait formulées complètement
 
, et de Marie-Anne Pageot, décédé le 25 décembre 1869 à Saint-Casimir, Québec. Le nom des Giroux est rattaché à l’architecture religieuse bien avant
GIRTY, SIMON (à l’origine, le nom était peut-être Geraghty), interprète au département des Affaires
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