» d’un journal de famille non publié ; celui-ci exista de 1856 jusqu’au début des années 1870 sous divers titres, mais fut surtout connu sous le nom de « The Gunpowder Plot Magazine ». Son
propriété royale.
Résolu de veiller personnellement au progrès du Canada, Louis XIV voulut y envoyer un commissaire qui prît possession du pays au nom
Leacock* proclamerait ceci : « Si vous ne connaissez pas le nom de Jake Gaudaur, cela signifie seulement que vous êtes nés 50 ans trop tard […] Jake Gaudaur était un héros pour des
pensionnat de la Congrégation de Notre-Dame en 1844, puis chez les Sœurs des Saints-Noms de Jésus et de Marie, à Longueuil, de 1845 à 1847. Elle demande son admission chez les sœurs grises en avril 1849. Après
Weikmillar ; décédé le 8 novembre 1853 à Berlin (Kitchener, Ontario).
Le nom de Friedrich Gaukel apparaît avec ceux des immigrants
Angleterre, ainsi qu’à Winnipeg et Victoria. En 1896, elle se constitua juridiquement sous le nom de Gault Brothers’ Company Limited ; son capital avoisinait alors le million de dollars. En 1922, elle
prescrites par la charte originale, ainsi que l’instabilité générale de l’économie, retardèrent au 27 décembre 1871 les véritables débuts de la compagnie, qui opéra sous le nom de Compagnie
utilisés en pharmacie et confiserie. Par la suite naîtra un petit vocabulaire chimique et botanique dérivé du nom de Gaultier. Nous avons relevé : Gaulnettya, Gaulteria, gaulthérase
nom de Jean-Baptiste sur une « liste de 28 cadets ordonnés par la Cour en 1731, et dont la paie commencera du 1er janvier 1732 ». Cela indique qu’il dut faire, selon la coutume, de
GAULTIER DE VARENNES ET DE LA VÉRENDRYE, PIERRE (il porta également le nom de Boumois et il signait
GAULTIER DU TREMBLAY, FRANÇOIS (il porta aussi le nom de Gaultier de La Vérendrye
Gauthier archevêque d’Ottawa. Sa nomination à ce poste – vacant depuis la mort de Duhamel en juin 1909 – survint en dépit du fait que son nom ne figurait pas sur la première liste de candidats pour Ottawa et
de l’établissement parisien du même nom), puis, en 1939, l’ouverture du collège Marie de France pour les filles. Cette année-là, il accorde aux catholiques anglophones une section de l’école normale
-Geneviève (à Berthierville) et de celle de Saint-Barthelémy (paroisse qui porte en ces années le nom de Saint-Barthelémi), en association avec un autre artisan vraisemblablement issu de l’atelier de Quévillon
fréquenta aussi l’école paroissiale pendant quelque temps. Le 6 novembre 1849, elle entra chez les Sœurs de Sainte-Anne et prit le nom de sœur Marie-Angèle. Cette congrégation, nouvellement fondée à
1911, le nom de Gauvreau fait partie de tous les procès-verbaux des réunions : « il ne se contentait pas d’assister il savait y attirer du monde et y prenait presque toujours la parole [...] il
déjà membre de la Société du feu de Québec, et entre 1807 et 1814 son nom figure parmi les marguilliers de la paroisse Notre-Dame de Québec. Au début du xixe
la part de ses paroissiens. Par la suite, il retourna à son ancienne paroisse, Saint-Michel, dans la localité qui portait alors le nom de Tusket Wedge (Wedgeport). Cependant, il ne cessa pas de se
enfants illégitimes étaient placés en apprentissage, et le programme avait ainsi tendance à se perpétuer de lui-même. Par exemple, pas moins de 13 personnes du nom de Gell apparaissent sur les listes
commission de greffier en blanc, c’est lui en tout cas qui y porta le nom de Genaple, le 10 mars 1685, en remplacement de Rageot « que ses Infirmitéz ont mis hors d’Estat de servir