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ASSIGINACK (Assikinock, Assekinack), JEAN-BAPTISTE (connu également sous le nom de Blackbird), chef outaouais et
 
, Ontaniendo), chef important de la tribu abénaquise des Pégouakis ; circa 1701–1726. Parmi les différentes orthographes de son nom
 
Vaudreuil, fut de passage à Trois-Rivières, les Abénaquis de Saint-François allèrent l’y rencontrer, et Atecouando le harangua en leur nom. Il lui dit : « Commande donc, ordonne, nous sommes
 
 » ou encore « celui qui renverse les gens » ; connu aussi sous les noms de Louis Atayataghronghta, de Louis Cook et de
 
, en 1642, il prit le nom d’un ancien chef, Atironta (circa 1615). Les hommes les plus éminents du pays
 
. Trois Hurons distingués ont porté le nom d’Atironta au xviie siècle, suivant en cela la coutume indienne selon laquelle on ressuscitait et perpétuait le nom
 
ATKINSON, GEORGE (connu sous le nom de Sneppy jusqu’en 1790 environ), trafiquant
 
, un navire de la compagnie employé au ravitaillement des postes de la baie d’Hudson, mentionnent régulièrement son nom. On perd sa trace pendant les 14 années suivantes, mais, en 1768, il était de
communauté montréalaise, le conseil municipal donnait le nom d’Atwater à une rue du quartier Saint-Antoine, en 1871. Edwin Atwater avait épousé, le 23 mai 1833, Lucy Huntington Greene, de Vergennes
 
jusqu’au recensement de 1681. Il vint cependant plus tard à Québec, y fut juge suppléant du Conseil souverain en 1684 et y fut inhumé le 20 mars 1694. Ses descendants écrivent maintenant leur nom
 
rivière du même nom. Devenu commandant de l’endroit, il y demeura jusqu’à son départ pour l’Ouest en 1753. À la suite d’un bref séjour à la rivière Ohio, il prit part à l’attaque du fort Necessity
ses fils, Pierre, fut le premier à prendre le nom de Gaspé, en 1709. Par ses ancêtres tant maternels que paternels, Philippe Aubert de Gaspé appartenait aux plus illustres familles du pays, les Coulon
occidentales. L’année suivante, pour une redevance annuelle de 350 000#, il céda à un syndicat de financiers français, représenté par Jean Oudiette, et connu sous le nom de Compagnie de la Ferme, plusieurs
 
du premier seigneur, Jean Juchereau* de Maur. Les Hospitalières donnèrent à cette seigneurie le nom de seigneurie des Pauvres, parce
 
surtout l’orthographe de son nom expliquent sans doute qu’au xixe siècle quelques commentateurs l’identifièrent avec le père Aubry, immortalisé par Chateaubriand dans Atala. Comme l’a
de tout le monde [...] (Québec, 1847) ainsi qu’un Cours de chimie (Québec, 1850). Aubin a laissé son nom à une invention largement diffusée : il s’agit d’un procédé d’éclairage au
 
nom, qui fut emporté par le scorbut durant l’hiver de 1605–1606. Un ministre protestant faisait aussi partie du voyage
 
AUCHAGAH (c’est ainsi que le nom est écrit dans le journal de La Vérendrye, mais il est parfois orthographié Ochagach
 
compagnie d’un orfèvre du nom d’Auguste Flulin, qui l’avait engagé. Toutefois, en arrivant à destination, maître Flulin, qui avait en sa possession des articles de contrebande, vit les agents des douanes
de Seine-et-Marne, le 20 novembre 1732. Le nom originel de cette famille était Dauger, transformé plus tard en d’Auger. Jean Dauger, riche marchand
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