fragmentaires. Au cours de la troisième session (février–mars 1814), Dickson s’absenta une partie du temps et son nom est à peine mentionné dans le journal des débats de l’Assemblée. Il se fit beaucoup remarquer
. Aussi, en 1807, Dorland et Allan MacLean* présentèrent-ils une requête au Conseil exécutif au nom des enfants des loyalistes de la communauté
; il lui donna le nom de mont Brown, en l’honneur de l’éminent botaniste Robert Brown, et baptisa mont Hooker un pic voisin.
Douglas amassa des
.
Drummond se fit un nom comme un des principaux entrepreneurs du canal Rideau ; les autres étaient Andrew White
fascicules qui parut au même endroit entre 1829 et 1837. Enfin, le nom de Drummond a été donné à une douzaine d’espèces végétales (dont le Potentilla Drummondii des Rocheuses), à la mousse
que fille d’un bourgeois décédé, ne savait pas signer son nom. L’année suivante, Duberger obtint sa promotion. La chance ne dura guère, cependant, car sa santé commença à se détériorer. Exposé au
de l’île vivaient principalement de la culture du sol. La plupart d’entre eux s’adonnaient aussi à la pêche au marsouin, nom alors donné au beluga. La pêche de ce petit cétacé, recherché surtout pour
qui débarquèrent en France. Son nom n’apparaît pas non plus sur la liste des prisonniers enfermés au fort Cumberland (près de Sackville, Nouveau-Brunswick), au fort Edward (Windsor, Nouvelle-Écosse) ou
Beasley* et d’autres propriétaires fonciers de Wentworth, dans laquelle il était dit que Durand ne pouvait pas représenter cette circonscription, puisque son nom n’apparaissait pas sur les rôles d’impôt
Wellington, nom qu’on avait donné à l’ouvrage, consistait en « un remblai de terre très haut érigé autour d’une casemate solide, qu’on disait à l’épreuve des bombes ». Il affirma également que le
habitants de Dumfries formèrent une unité de volontaires à laquelle ils donnèrent le nom de Dumfries Volunteers, et DePeyster en devint commandant-major. Un de ses subordonnés était le poète Robert Burns, qui
version définitive de ses cartes et vues, qui parut sous le titre de The Atlantic Neptune [...]. Publié par lui au nom de l’Amirauté entre 1774 et 1784, l’ouvrage contient quatre séries
.
Le 4 mai 1791, Eliza, qui commandait alors le San Carlos et un petit schooner reconstruit à Nootka et baptisé Santa Saturnina, du nom de sa femme, mit les voiles pour un
entreprise d’import-export. Il donna à son neveu une participation d’un tiers à compter du 1e mai 1792 ; la firme prit alors le nom de Gray and Ermatinger. De 1792 à 1794, Ermatinger se rendit
.
En 1789, le nom d’Etter apparaît sur la liste des premiers souscripteurs du périodique intitulé Nova-Scotia Magazine, imprimé par John Howe et dirigé par William Cochran. Le 19 mai de
un caractère plus permanent et reçut le nom de St Patrick’s Free School ; dans cet établissement, il ne devait y avoir « aucune distinction de région, de pays ou de croyance » et où des
« Gagg’d – Gagg’d, by Jingo ! » (Muselé, muselé, nom de nom !), tout était en place pour un affrontement. Gourlay reçut l’ordre de quitter la province ; il refusa et fut arrêté
situé plus au nord, auquel il donna le nom de Wollaston (Saskatchewan), après quoi il se rendit jusqu’à l’extrémité est du lac Athabasca. Ayant passé l’hiver à Swan Lake House (Manitoba), il fit, pendant
tenter leur chance. On en À un bon exemple avec la Colborne Iron Works (connue également sous le nom de Colborne Furnace), établie dans le canton de Gosfield, qui avait en outre le rare avantage d’être
Company en 1821, ni son nom ni celui de ses fils n’apparaissaient sur les listes d’employés de la Hudson’s Bay Company, ce qui semble indiquer qu’il était alors trappeur et trafiquant indépendant. À la