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1867 à 1891. Au cours de cette période, il est réélu en 1872, 1874, 1878, 1882 et 1887 toujours sous la bannière libérale-conservatrice. Même si le nom de Wright est associé de près à celui de
 
sur l’île Arrowsic, en août 1717, Wowurna se fit le porte-parole des 20 chefs canibas, pentagouets, pégouakis et androscoggins. En leur nom, il refusa à Shute le droit de construire des forts et de
Union (dont le nom, changé en 1858, devint Northern Railway Company of Canada), mais il s’en retira en 1858 après avoir subi de fortes pertes d’argent. Ces pertes furent peut-être un facteur qui attira
plus tard, il participa à la fondation de l’Association médicale canadienne. Il fit partie de plusieurs comités de l’association en 1872 et offrit, au nom de celle-ci, une médaille d’or à l’auteur du
formé un comité mixte de laïques et de membres du clergé pour suggérer des noms de candidats possibles. On proposa Worrell, théologien modéré, ainsi que Lewis Norman Tucker, ministre évangélique et
attribuait partiellement son insuccès à « l’indifférence et [à] la parcimonie de la province ». Avec la « somme dérisoire » qui portait le nom de « subvention parlementaire
avaient cultivé des pommes et un peu de pêches, mais la ferme, comme d’autres dans la péninsule de Niagara, n’était pas exclusivement fruitière. Grâce à Linus, elle deviendrait très connue sous le nom de
 
l’usage d’une grue pour le débarquement des marchandises. En 1819, il introduit un engrais européen connu sous le nom de plâtre de Paris et fait ériger un moulin à vapeur afin de le préparer. C’est à cette
, croit-on, un brevet d’officier dans l’artillerie ou le génie royal, car on le désigne souvent sous le nom de major Woolford. S’étant enrôlé durant sa jeunesse, il servit pendant les guerres napoléoniennes
 
le nom de Courier. En plus d’assumer la direction du Courier, Woods se chargea de compiler, d’imprimer et de publier The Newfoundland Almanac
 
*. Cinq ans plus tard, le 31 mai 1823, Wood prit William Petry comme associé, et la firme changea son nom pour celui de Robert Wood and Company. Leur commerce était situé dans l’anse Saint-Michel à Sillery
 $. En 1914, Wood était encore actionnaire majoritaire de la New Brunswick and Prince Edward Island Railway Company (le nom avait quelque peu changé), et le gouvernement fédéral acheta l’entreprise pour la
scolaires et une école située près du passage qu’il a emprunté porte le nom de son navire. David A. Sutherland
probablement rétabli financièrement. À cette époque, comme dans les années 1880, la propriété était au nom de sa femme. En 1909, les Wood construisirent une nouvelle maison à côté de celle de Robert
Macdonald* que Wood était « tout à fait disposé à s’engager pour un paiement si [Macdonald était] en mesure de lui [en] offrir [l’occasion] ». Bien que libéral de nom durant toute sa carrière
rues Saint-Urbain et Dorchester (boulevard René-Lévesque), le nouvel édifice fut achevé en mars 1861, et la mission reçut enfin un nom, St John the Evangelist. On y célébrait des offices chantés chaque
 
, avec un associé du nom de George Mills, une entreprise baptisée Mills and Wood. En 1836, il reprit le chantier naval de James Lang à Dumbarton et y construisit, entre autres, le Caledonia pour
Company, qui avait fait l’objet d’une cession en 1880, réorganisèrent l’entreprise et lui donnèrent le nom de Hamilton Bridge and Tool Company. Par ailleurs, Wood fit partie du premier conseil
des comptes privés, [...] nom que le public ne manqua pas de lui servir à l’occasion pour l’injurier dans la rue ». Selon le commis de Quetton St George, même si Wood avait reçu une cargaison
Edinburgh Magazine (Édimbourg et Londres), 108 (1870) : 704–718 ; 109 (1871) : 48–73, 164–181 ; une version sous forme de monographie a paru sous son nom à New York vers 1871. Son
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