marchand écossais du nom de William Brymer et, le 26 avril 1763, le gouverneur James Murray* leur concéda pour quatre ans le poste de pêche

locales du mauvais état de ses finances, « qui, selon lui, n’[était] que trop connu ». On retrouve souvent son nom dans les archives judiciaires, ce qui semble confirmer, comme l’affirma Louis

Jésus fut supprimée en France. Les activités subséquentes de Beaubois restent inconnues. Son nom ne réapparaît que dans un avis de décès des jésuites

et Beauharnois, n’a pas été le seul à le décrire comme un être « bon, affable et généreux ». Les Indiens le connaissaient sous le nom de « Paix ». Beaucoup exprimèrent leurs regrets

Pyvart (Pinard) de Chastullé, décédé à Orléans le 9 septembre 1746. Le nom de Beauharnois, qui deviendra Beauharnais, connut la célébrité à

Taillemite et al., Tables des noms de lieux, de personnes, de matières et de navires, sous-série B1, B2 et B3 (Paris, 1969), 34.— Octave Teissier, Armorial de la

), avait été capturée et emmenée au Canada à l’âge de deux ans ; à son arrivée, on l’avait baptisée sous le nom de Catherine. En 1763, peu après la mort de son mari, elle vendit au gouverneur James

concurrence avec New York et la Nouvelle-France. Aucun document ne mentionne le nom de ces pionniers, et les historiens diffèrent d’opinion quant à savoir si Bisaillon était au nombre de ceux-ci ou s’il était

pencher la tête d’un côté, mieux connu sous le nom de « Old Dreadnought » (vieil intrépide), né le 19 août 1711, fils de Hugh Boscawen, 1er vicomte Falmouth, et de Charlotte

leurs conditions mais devant leur dureté, les officiers s’accordèrent pour poursuivre la lutte. À ce moment-là, Prévost parla au nom de la population civile et demanda instamment de capituler. Convaincu

fortin auquel il donna le nom de Beauharnois en l’honneur du nouveau gouverneur du Canada, Charles de

 23 juillet. Voulant ralentir l’avance ennemie, il laissa une arrière-garde de 400 hommes sous les ordres du capitaine d’Hébécourt (ce dernier était l’un des deux officiers du même nom alors en

réussit à sauver Anthony Casteel, le seul survivant du groupe, des autres Micmacs qui, s’étant enivrés, se préparaient à lui faire un mauvais parti. On perd ensuite la trace de Bâtard et son nom ne figure

main. Il fut reçu chevalier de Saint-Louis en 1750. À la mort de Paul Bécart de Granville et de Fonville, s’éteignait le nom d’une vieille famille de la Nouvelle-France

et naturalistes bien connus de son temps. La plante ornementale bégonia reçut son nom en son honneur. Trois garçons, Michel, Scipion-Jérôme et

.— Étienne Taillemite, Dictionnaire de la marine (Paris, 1962), 78.— Étienne Taillemite et al., Tables des noms de lieux, de personnes, de matières et de navires, sous-série B1

savons rien de la jeunesse de Léonard-Philibert jusqu’au moment où il fait profession, sous le nom de frère Luc, chez les récollets de la province de Saint-Denys, le 20 mars 1751. Peu après, il arrive au

son port d’attache à Bayonne, en société avec François Boudrot et Joseph Dugas en 1725, puis la Marguerite, régulièrement armée pour Québec entre 1734 et 1737. Son nom apparait

qui eût été suffisant en soi pour que son nom passât à la postérité. La première publication de Charlevoix après son retour en France fut sa

c’est lui néanmoins qui allait perpétuer le nom de Chartier de Lotbinière, avant d’opter tardivement pour l’état ecclésiastique. L’une de ses sœurs, Louise-Philippe, avait épousé François