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l’exposé le plus complet sur l’histoire ancienne de l’Île-du-Prince-Édouard. Si Warburton mérite que son nom soit retenu, c’est surtout en tant qu’auteur de ce livre et de compilateur d’un recueil de
participer, au nom du gouvernement canadien, à la campagne menée par le YMCA américain en vue de récolter 175 millions de dollars pour l’effort de guerre. Moins de dix ans après son arrivée à Toronto
 
Bermudes, le général de brigade John Hodgson, l’invita à venir dans la colonie diriger un journal qui prit le nom de Royal Gazette. Ward y publia aussi la Weekly Gazette et le Gleaner
 
tenancier d’une pension pour marins. Sa notoriété lui vint en 1856 en tant qu’homme de main chargé d’accomplir la basse besogne de détourner ou d’éloigner les marins de leur bateau au nom d’agents connus sous
 
. Le dynamisme et la détermination de Ward manquèrent sûrement à l’entreprise qu’il avait fondée, car celle-ci ne franchit pas le cap des années 1860. Un écrivain avait prédit en 1846 que le nom de
. Rédacteur en chef (seulement de nom) et copropriétaire du Provincial Freeman qui militait en faveur des fugitifs – journal fondé à Windsor en 1853 et dirigé, en fait, par Mary Ann
Allan* (connue généralement sous le nom de Bar U). Ayant obtenu plus de 3 000 bêtes, il cherchait des bouviers d’expérience qui l’aideraient à ramener le troupeau vers le nord, à son nouveau
 
devenait, sur le plan local, un personnage de quelque importance dans les affaires publiques. Le 27 décembre 1787, son nom apparaissait sur la liste des hommes recommandés par sir John
réforme de la marine. Warren gravita vers le comte d’Egmont et d’autres partisans du prince de Galles, et son nom figurait comme commissaire de l’Amirauté dans l’administration qu’on se proposait de mettre
 
Society of Upper Canada. Durant l’épidémie de choléra de 1832, il fit partie du bureau de santé d’York. Dans l’histoire du Haut-Canada, on associe le nom
 
par le Congrès continental. Le 19 mai 1790, un chef sauteux du nom de Wasson figurait parmi un groupe de chefs de Détroit, potéouatamis, hurons et outaouais, entre autres, qui négocièrent
répit de dernière minute au début de 1860 sous forme d’un sursis de paiement de quatre ans en échange d’une cession d’actif. Malgré cela, Ganson mit fin à sa participation en 1862, bien que le nom de la
parmi les grands noms de notre littérature nationale. »— The poetical works of Albert Durrant Watson parut l’année suivante. Très influencé par les « poètes de la Confédération
parlementaires, au nom de leurs femmes, le même jour de juin 1786. Lorsque Carleton retourna à Québec, après avoir été élevé à la pairie par un gouvernement peu convaincu, il amena avec lui deux des hommes de
avril et qui doit son nom aux cratères créés par les mines que les Britanniques font sauter sous les lignes allemandes le premier jour, dans une tentative infructueuse pour reprendre le saillant de Saint
. Trois semaines après sa nomination, Watson découvrit le premier des 22 astéroïdes qui allaient être associés à son nom. Pour faciliter ses recherches, il passa plusieurs années à préparer une série
Notman* à Ottawa. En 1884, un an après s’être installée à Winnipeg, Rosetta Carr acheta la Searl and Company, le cabinet de photographie de George Searl. La presse locale ne fit pas mention du nom de
WATT, DAVID ALLAN POE (connu jusqu’au 9 juin 1862 sous le nom de David Allan Poe), marchand, lobbyiste et
 
désigne sous le nom de Carl Ludwig von Wattenwyl, il utilisa surtout le français et signa Louis de Watteville), officier, né en 1776 à
William Hurrell Watts devint le premier président du chapitre d’Ottawa en 1906. Il fut élu en 1907 trésorier du nouvel Institut d’architecture du Canada (on ajouta le mot « royal » à ce nom en
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