), fils de Louis d’Aloigny et de Charlotte de Chasteigner ; il prit le nom de marquis de La Groye après la mort de son père et de son frère aîné ; mort à l’automne de 1714 dans le naufrage du
n’eut qu’une fille. Le 1er avril 1660, il épousa en secondes noces une veuve du nom d’Elizabeth Everill, fille de William Phillips de Boston et Saco. Ils eurent douze enfants dont sept
l’entrée du détroit de Belle-Isle. Elle y demeura de 1717 à 1719. Comme sa jeune compagne, dont nous ignorons le nom, elle remplit le rôle d’aide familiale
, avec un minimum rudimentaire de connaissances générales. Aussi n’est-on guère étonné de voir mentionner son nom en qualité d’enseigne sur les rôles du régiment de Carignan-Salières, compagnie de
qui y est jointe. On l’a acceptée pour authentique pendant plus d’un siècle après sa publication en 1558 ; ses îles mythiques et ses noms fantastiques se sont glissés sur plusieurs cartes
qui y est jointe. On l’a acceptée pour authentique pendant plus d’un siècle après sa publication en 1558 ; ses îles mythiques et ses noms fantastiques se sont glissés sur plusieurs cartes
réticent sur la façon dont il parvint à s’orienter si facilement et à traiter si habilement avec les Basques. C’est très probablement qu’il avait à son bord un maître pilote basque, du nom de Stevan de
ait consacrées au Nouveau Monde. Bien qu’on ne puisse relever son nom dans les archives, il semble bien qu’il ait accompagné
.), 4 sept. 1620, et liste des noms des gens diparus en mer le 5 janv. 1634.— Devon Heritage Centre (Sowton, Angleterre), DEX/7/d/1 Teignmouth, West EBT (bishop’s transcripts, 1615–1635), août 1635
Majesté ». On ne voit plus son nom après le versement de sa pension, à Pâques, en 1612.
Thomas Dunbabin
de la compagnie, du nom de Richard Lucas. Conformément aux instructions du comité qui cherchait à protéger son
mariage du sénéchal Jean de Lauson, fils du gouverneur du même nom. Enfin, le 22 octobre 1659, il laissait le
Genaple* rédigé le 12 août 1685 nous apprend le nom de l’entrepreneur, Jean Le Rouge*. Cette poudrière, terminée en 1686, a été
premier recensement de la Nouvelle-France, dressé en 1666, porte le nom de Jean-Baptiste Villain, âgé de 19 ans, « orpheuvre travaillant » dans l’île d’Orléans. Sans doute travaille-t-il alors aux
. Byssot] au sujet de la pêche et de la chasse dans toute l’étendue des terres de Mingan. En outre, son nom figure parmi ceux des directeurs de la Compagnie du Nord, en 1690
, Gerolamo, qui devait lui être très cher ; un autre, nommé Bernardo, était un grand banquier romain ; deux autres frères sont mentionnés au registre généalogique sous les noms de Nicolo et Piero. On
renouvela son contrat en 1681, il fut nommé facteur-chef au poste de la rivière Rupert, qui porta tout d’abord le nom de fort Charles. Cédant aux instances de sa femme, Elinor, Verner retourna chez lui en
Mason (1625), et comprenant les havres très fréquentés de Ferryland, de Fermeuse et de Renewse. Le nom qu’il donna à son domaine témoignait de son idéalisme peu pratique ; il baptisa
avait un abbé qui voulait bien accepter ce poste [l’évêché], et aller sacrifier parmi les sauvages son bien et sa personne ; mais qu’il ne pouvait pas encore le nommer ». Le nom de candidat ne
) ; tous deux marchands de Bristol dont le nom est associé aux premiers voyages en Amérique.
Pendant plus de 40 ans à partir de 1479, Thorne, père