Tétreault*, qu’il fait accepter par Pie X en 1904 lors de son séjour à Rome ; c’est d’ailleurs le pape lui-même qui suggère le nom de la communauté, à l’occasion du cinquantenaire de l’Immaculée
d’autres architectes. Selon John Douglas Borthwick, qui aurait connu Browne dans ses dernières années, il était le fils d’un architecte du même nom et était arrivé à Québec en 1830. L’année suivante, la
qui en était résultée pour les titulaires. Browne, même si son nom n’était pas mentionné, avait particulièrement souffert de cette réorganisation ; depuis 1837, deux nouvelles paroisses (celle de
Advertiser [V. Edmund Bailey O’Callaghan*]. Si tel est le cas, il est étonnant de ne pas voir son nom sur la liste des militants
clair ses rapports avec le comité organisateur. Brown attacha d’ailleurs plus d’importance à la découverte de charbon dans une rivière située près de Comox, qui reçut son nom. Même si elle ne présentait
son nom figure avec ceux d’autres personnalités qui appuyaient cette demande. Quand la Grande-Bretagne accorda à l’île un gouvernement représentatif, en 1832, il parut d’abord réfractaire à l’idée de se
.
Selon la tradition, Paola Brown, né en Pennsylvanie vers 1807, aurait été un esclave qui s’était enfui d’une plantation du sud des États-Unis. Toutefois, son prénom, peut-être dérivé du nom d’une ville
poursuit la publication de la Gazette de Montréal et en confie l’impression à son frère. Dès le 23 juin, il publie la Gazette de Montréal dans sa propre imprimerie et le nom de Charles
son père, qui accepta. Le British Chronicle parut pour la dernière fois le 22 juillet et annonça que son rédacteur publierait désormais à Toronto un hebdomadaire du nom de Banner
légendaire Edmund Kean, qui avait refusé de jouer. Par la suite, on put voir son nom sur les affiches du littoral atlantique. En 1823, il donna la réplique à l’Américain Junius Brutus Booth à Philadelphie et à
, ils acquirent les œuvres produites dans le cadre du programme canadien d’art militaire (officiellement connu sous le nom de Fonds de souvenirs de guerre canadiens), ainsi que des gravures et des dessins
domestiques et scolaires, de cercles de mères et de ligues scolaires et artistiques qui prit le nom d’Ontario Federation of Home and School Associations. Dès 1920, la fédération comprenait aussi des
Krausse, émigrèrent dans les Treize Colonies américaines, en provenance d’Allemagne, et changèrent leur nom pour celui de Brouse. À la fin de la Révolution américaine, ils partirent à destination du
région, connue sous le nom de Point Iroquois, se trouvait sur les terres de Brouse. Un établissement baptisé d’abord Matilda, puis Iroquois, se développa autour du magasin général que Brouse avait ouvert
milice du Richelieu, bien que son nom n’apparaisse pas sur la liste des officiers de milice deux ans plus tôt. Il obtient ensuite une promotion directe au rang de lieutenant-colonel et commandant d’un
à la Curtiss Aviation School de Toronto, mais son nom arriva en tête de la liste d’attente seulement en octobre et les vols furent interrompus pour l’hiver avant qu’il ait pu obtenir son brevet. Comme
« bureau chef », à Londres, en 1818, Brooking devint l’associé en second et la firme adopta le nom de Hart, Robinson, and Company. En 1822, l’associé principal s’étant retiré, la compagnie prit la
1904. De plus en plus, il laissa Henry Roper mener son entreprise de construction ; celui-ci accéda à la direction quand, en 1906, la société fut constituée juridiquement sous le nom de S. M. Brookfield
Company, filature de laine connue d’abord, en 1881, sous le nom de Canada Worsted Company. Dès 1885, la manufacture possède un fonds de capital payé de 200 000 $, mais son seuil de rentabilité est
Marine royale du Canada et de la Réserve navale, il a ainsi associé son nom à une institution nationale d’envergure. La maladie a mis fin abruptement à la carrière riche en accomplissements d’un des