1765, en effet, son nom apparaît sur une liste de protestants du district de Montréal en tant qu’ancien préposé au ravitaillement (on ne précise pas s’il avait exercé cette fonction dans l’armée ou comme
d’Adolphustown, du nom de Lyons, avait prêché la bonne nouvelle méthodiste sans opposition, et William Losee*, un diacre de l’Église méthodiste épiscopale
maisons de la ville de Québec (à laquelle il substitua, comme étant plus équitable, une taxe sur les chevaux dans les paroisses), les profits de l’affermage des postes de traite connus sous le nom de
MUQUINNA (Macuina, Maquilla, Maquinna ; le nom, qui s’écrit mukwina selon l’orthographe propre de ces autochtones, signifie
Montcalm*, lors du siège du fort George (également connu sous le nom de fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York), au cours de l’été de 1757, il contribua à la capture d’une flottille
MORIN DE FONFAY, JEAN-BAPTISTE (habituellement désigné sous le nom de Morin), officier colonial, né vers 1717 à
Fermor. On prétend que Henry Caldwell a fourni le modèle du colonel Rivers, et Anna Marie Bondfield, la femme de George Allsopp, celui d’Arabella Fermor qui est aussi le nom de la jeune femme à laquelle
la préparation d’une immense carte du Saint-Laurent qui fut connue sous le nom de « carte de Murray ». Le partage de la responsabilité et du mérite de cette œuvre provoqua des querelles entre
produits de la ferme, avec le nom de l’acheteur », constituerait « le plus long rapport comptable jamais vu dans l’île ». William, qui avait reçu de son père des instructions précises
. Ils avaient confié au supérieur des sulpiciens le nom de celui qu’ils désiraient comme évêque ; il s’agissait de Montgolfier lui-même. Cette élection fut jugée nulle par la Sacrée Congrégation de
Mascarene*, au nom du gouverneur de la Nouvelle-Écosse, Richard Philipps*, fait des difficultés à agréer sa nomination. Le missionnaire
Drachart à passer la nuit sous la tente d’un angakok (chef religieux indigène). Mikak, qui se trouvait là, apprit le nom des deux hommes et garda en mémoire une prière que Drachart lui
août 1785.
Marie-Josèphe fut la première Maugue-Garreau au Canada. Son nom vient de l’alliance des patronymes de sa mère, fille de Claude
semble avoir été le père d’une fille, née peut-être à Halifax, mais il laissa la plupart de ses biens aux enfants de ses nièces. Dans son testament ne figurent ni le nom de sa femme, puisqu’elle était
trois ans chez un marchand de coton de Londres et se joignit à un groupe évangélique connu sous le nom de Countess of Huntingdon’s Connexion, qui tenait son nom de Selina Hastings, marraine aristocratique
MARIN DE LA MALGUE, JOSEPH (habituellement désigné sous le nom de Marin
, Hubert entreprit, au nom de l’évêque, la première visite pastorale depuis celle que Mgr Briand n’avait pu compléter en 1775, mise à part la visite de l’île d’Orléans faite par d’Esgly
d’Adam Mabane. D’après une source, le nom de sa mère serait Wedel ; son père, bien que protestant, aurait refusé de jurer fidélité aux rois de la maison de Hanovre, et il aurait été apparenté à James
lord Loudoun, étaient rassemblées autour du fort Edward (également connu sous le nom de fort Lÿdius ; aujourd’hui Fort Edward, New York) refusèrent cependant à Lévis l’honneur de leur visite
servant d’Alexander McNutt* comme agent, avait obtenu, en 1765, une concession – qui portale nom de Philadelphia Grant – de 200