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McKENZIE, KENNETH (dans sa jeunesse, il écrivait parfois son nom Mackenzie
 
. Durant la saison suivante, McKenzie entreprit ses longs voyages de traite et d’exploration dans les régions intérieures. Son nom fut donné à l’un des principaux affluents de la rivière Willamette, et il
 
, connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street. Il fit partie du comité temporel de la congrégation en 1816, 1817 et 1818, puis il occupa le poste de vice-président de ce même comité en 1819
, construit aux États-Unis, voguait sur le lac du même nom depuis le début de 1817. Par contre, le Frontenac était le premier vapeur de fabrication canadienne à sillonner les Grands Lacs
 
McKENZIE, NANCY (McTavish ; Le Blanc) (également connue sous le nom indien de Matooskie), née vers 1790
University of Pennsylvania lui décerna un doctorat honorifique en arts. Cette visibilité accrue entraîna une attention redoublée de la critique. En 1925, son nom figura dans un article de l’International
 
McKENZIE, RODERICK (généralement connu sous le nom de Roderick McKenzie l’aîné), trafiquant de fourrures et homme
sans raison. Des journaux torontois alléguèrent (ce que l’on répéta à Hamilton) qu’il se trouvait dans un hôtel de Toronto avec deux femmes et que tous trois s’y étaient inscrits sous des noms d’emprunt
d’infanterie (aussi connu sous le nom de Montgomery’s Highlanders) quand il arriva à Halifax. Son régiment servit au cours de plusieurs campagnes, en Amérique du Nord, pendant la
propres activités au nom de « la charte » et de la « liberté » en Écosse, tout autant que la nécessité de régler la succession paternelle, peut avoir été à l’origine de sa décision
ouvrière écossaise. Sa mère lui inculqua les principes de l’Église presbytérienne réformée, secte calviniste dissidente dont les membres étaient aussi connus sous le nom de caméroniens. Jeune adulte
son commerce et que l’entreprise reçut le nom de McLachlin Brothers, les scieries et les exploitations forestières employaient 800 hommes et produisaient annuellement 25 000 000 de pieds de
 
le lac Saint-Jean, Ashuapmouchouan, sur la rivière du même nom, et, plus loin encore, le poste du lac Mistassini. Il dirigera l’activité commerciale et sociale de cet important comptoir de fourrures
Robert Samuel*, appuieraient l’établissement d’une usine à New York sous le nom de Canada Dry Gingerale Incorporated. John James
précisait pas le nom. Même s’il était véridique, ce désistement – dont Robert Samuel, pourtant loquace, ne parlerait jamais – n’émut pas le premier ministre qui, inondé de griefs d’autres industriels, se
Nanton*, qui tous deux se feraient un nom plus à l’ouest, en Alberta. En 1886, McLean partit vivre dans le district d’Alberta, où il acquit de
 
. On ne possède aucun renseignement sur la première partie de la vie de Neil McLean. Il a été confondu avec d’autres personnages du même nom et c’est à tort qu’on le dit officier dans le 84e
 000 femmes et plus de l’Empire qui ont servi et sont mortes pendant la Première Guerre. Leurs noms sont inscrits tout près, derrière dix panneaux gothiques ; les noms des Canadiennes se trouvent à
[Kapapamahchakwew*], qui était armé et s’exprimait au nom des Cris des Plaines, souligna que les paroles de McLean venaient trop tard et qu’il devait leur obéir et rester dans leur campement. McLean nota dans son
 
située sur le Commercial Wharf et était à son nom. Il importait de la farine, de la mélasse, du sel et du tabac sur ses navires, l’Actress (59 tonneaux) et l’Angelique (31 tonneaux
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