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Michillimakinac au nom de la compagnie. Il devint membre de la congrégation Scotch Presbyterian, connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street, à laquelle il donnait généreusement
 
, derrière Saco et Wells, d’abord connu sous le nom de Phillipstown, et où se dresse maintenant la ville de Sanford. Le major Phillips, par acte notarié, accorda à Zachariah Gillam et à son beau-frère, Ephraim
 
Nelson avant le groupe de Radisson. Tout laisse croire que les Gillam ne sont pas retournés à la baie d’Hudson après 1684 ; leur nom figure de
 
1841 à l’île Garden sous le nom de Prince Edward par Dileno Dexter Calvin*, John
Gilchrist’s Mills, que l’on en vint également à appeler Keene, du nom d’un village près de l’endroit où Gilchrist avait passé son enfance. Considéré comme le fondateur de l’établissement, il ouvrit le premier
leurs projets de création d’une compagnie pour l’utilisation du prétendu passage. Gilbert leur donna des conseils et permit que son nom figurât sur la liste des souscripteurs, mais rien de plus
 
reçut le nom de la supérieure fondatrice, décédée le 5 novembre. La nièce de Marie-Françoise Giffard, mère
 
Laval* et du clergé. Le nom de Giffard s’éteignit au Canada avec son fils Joseph, qui ne laissa pas de postérité. À part sa fille religieuse et un autre garçon qui retourna de bonne heure en France
disparition de l’Acadian en 1862, le père alla rejoindre son fils au Register, qui prit le nom de Free Press en 1863. Ils continuèrent tous deux à publier ce journal jusqu’en 1872. Au
énergétiques, la Cataract (réorganisée en 1907 sous le nom de la Dominion Power and Transmission Company Limited) contrôlait le réseau d’approvisionnement électrique et le réseau de chemins de fer électriques de
principaux défenseurs des traditions iroquoïennes. Il exerçait notamment la fonction de gardien des noms traditionnels ; les parents le consultaient au moment de nommer leurs enfants. Doué d’une mémoire
général. Grâce à une hausse des prix des madriers et du bois de petites dimensions, Gibson et Snowball, le président, purent survivre à la crise, et l’entreprise fut réorganisée en 1890 sous le nom de
Montréal, et la St Lawrence Bank surmonta la crise. On en changea le nom, en 1876, pour la Standard Bank of Canada. Avec des capitaux pourtant grandement inférieurs, elle devait prospérer par la suite
George Poulett Harris. Deux ans plus tard, on radia son nom de la liste de l’orphelinat car Sophia Mountain, veuve de Jacob George Mountain
 
lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la
 
 Thomas Gibb and Company fut dissoute au début de l’année 1835 lorsque Thomas Gibb se départit de ses actions au profit de Robert Shaw. La nouvelle société, qui prit le nom de Gibb and Shaw, fut
 
premières terres concédées le furent par les commandants au nom du roi et elles étaient libres de toute obligation seigneuriale. Les maisons et les fermes qu’on y construisit pouvaient passer de l’un à
 
1697, mais, à ce moment-là, il n’y avait pas pour lui de poste vacant et, à partir de cette date, il n’y a plus aucune mention de son nom dans les archives de la compagnie
et de l’utiliser pour créer un musée public. Les Micmacs qui avaient été ses guides devinrent ses assistants ; ils avaient une telle opinion de Gesner qu’ils lui donnèrent le nom d’« homme
 
GERVAISE, LOUIS (plus tard le nom de famille deviendra Gervais), propriétaire d’un
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