.
Samuel Oliver Tazewell quitta l’Angleterre pour s’établir dans le Haut-Canada avant le mois de mai 1820. Son nom figure en effet dans le Kingston Chronicle du 19 mai 1820, où il
partisan de ce dernier. Il se servit de son journal pour défendre son projet de construction d’une ligne de chemin de fer. Il rédigea la charte de la London and Gore Rail Road Company et son nom venait en
instructions écrites, pour un port donné. La compagnie avait en Europe des représentants qui vendaient la morue en son nom, soit dans leur port d’attache ou ailleurs, selon les prix. Sweetman faisait
, Colombie-Britannique), établi en 1805 sur le lac du même nom.
Après l’arrivée de renforts et de provisions, à l’automne de 1807, le groupe se prépara à
Dickson*, soit pour leur propre compte ou peut-être au nom de Thomas Clark*, reçurent une cargaison de peaux, de mouchoirs et de poudre à canon
de la construction. On lui donna le nom d’église Trinity, et ce fut le premier endroit permanent où les anglicans des Cantons-de-l’Est purent assister au culte. La cérémonie d’inauguration attira
gouverneur lord Aylmer [Whitworth-Aylmer] un mémoire qui demandait, au nom du McGill College, le droit de
, on le disait résident du canton de March.
C’est par le biais de l’estampe que le nom de Robert Auchmuty Sproule s’est perpétué. On a dit des vues de
Ridout* et Joseph Wells*. Ensuite, il nomma Spragg instituteur à l’école, qui prit le nom d’Upper Canada Central School. Malheureusement pour
, probablement dans le comté d’Essex, Haut-Canada.
Le nom de jeunesse ou nom usuel de Sou-neh-hoo-way était To-oo-troon-too-ra qui, sous sa forme anglaise
« noire et lustrée qui ondul[ait] facilement », James Somerville devint l’un des grands animateurs de la vie montréalaise. Son nom figure en tête de la liste des membres du Montréal Curling Club, formé
organisme de ce nom à Halifax, il en devint le secrétaire ; il allait occuper ce poste jusqu’à sa mort.
Smith écrivit nombre de textes et prononça
l’avancement des sciences et recevront le nom de Royal Grammar School. Au cycle préparatoire, le programme d’études comprenait des cours d’anglais, d’écriture, d’arithmétique et de tenue de livres ; au
couramment l’anglais. Aidé par son ami le juge Peleg Wiswall, de Digby, il apprit à rédiger en leur nom des actes, des testaments et d’autres documents juridiques qu’il conservait dans une boîte, au presbytère
et à Longueuil, et curé de la paroisse Saint-Constant, le 1er octobre 1804. Un an plus tard, premier curé de Sainte-Marie-de-Monnoir (Saint-Nom-de-Marie, à Marieville), il a la charge de
exploitant mais, en raison de sa connaissance des problèmes que les coupes illégales causaient aux marchands de bois, c’est lui qui, en leur nom, fit des représentations auprès des gouvernements haut et bas
cercles réformistes. En 1835, la rumeur publique lui prêtait l’intention de prendre bientôt sa retraite. Un groupe réformiste, la Canadian Alliance Society, qui ne tenait pas à voir son nom inscrit sur la
anglicane aujourd’hui connue sous le nom de St John, à York Mills (Toronto). De plus, entre 1804 et 1823, il servit trois fois à titre d’estimateur du canton d’York et deux fois à titre de
. En 1778, ils s’installèrent à Bristol, où ils adoptèrent l’orthographe anglaise de leur nom, Sewell. S’étant découvert un talent pour le théâtre, Jonathan joua si bien dans une pièce présentée à
la route de Dundas et qui porta son nom jusque dans les années 1870. En 1808–1809, avec quatre autres chefs de famille, il embaucha un instituteur pour ouvrir la première école de la région. Quatre ans