tendance à se consacrer davantage à l’amélioration des conditions de vie des pauvres, au nom de l’hygiène publique. Bayard se préoccupait de la quantité de ventilation, mesurée en « pieds cubes à
portèrent tous le nom de Gulnare, et qui furent lancés en 1828, 1844 et 1852, chacun étant d’une taille et d’une puissance accrues par rapport au précédent. Bayfield fit aussi construire en
inscrites à son nom jusqu’à une date qui se situe entre 1673 et 1675.
Au début de juin 1670, Bayly partit de la Tamise à destination de Port
BAYLY, EDWARD (il utilisait parfois l’initiale J. entre son prénom et son nom), sportif, avocat et fonctionnaire, né
marchand écossais du nom de William Brymer et, le 26 avril 1763, le gouverneur James Murray* leur concéda pour quatre ans le poste de pêche
épousa Sarah Crawford Magdalen (dont le nom de famille est inconnu) et de cette union naquirent au moins 15 enfants ; décédé le 28 mars 1868 à Londres
locales du mauvais état de ses finances, « qui, selon lui, n’[était] que trop connu ». On retrouve souvent son nom dans les archives judiciaires, ce qui semble confirmer, comme l’affirma Louis
goût du secret, il prit le nom d’Henri Le Caron et déclara être de nationalité française. Il servit en Virginie puis, en 1862, on l’envoya dans l’Ouest. Il s’y montra si utile comme éclaireur et
convenait et faire davantage connaître les possibilités de la province en matière de culture fruitière. Beadle participait aux expositions provinciales en parrainant, au nom de son père, des prix pour les
sous le nom de « Anthony Beale alias Small Cole » sur la liste des hommes désignés pour passer l’hiver de 1682–1683 au fort Albany. Le stage d’apprentissage de Beale se terminait en 1685
premier à porter le nom de Bear. Quant à la famille de la grand-mère paternelle de Noel, elle venait de la rivière Kennebec (Maine) et, selon la tradition familiale, elle avait survécu à l’attaque lancée en
-maçon éminent, lui demanda de servir comme aumônier du Loyal American Regiment ; son nom apparaît sur les rôles de cette unité, qui servit dans les colonies de New York, du New Jersey et de la
d’officier de navigation à bord de l’Anne Francis. La flotte de Frobisher quitta Harwich le 31 mai 1578, aborda au Groenland, en prit possession au nom de l’Angleterre et poussa jusqu’à
d’Écosse chaque année, et son chantier utilisait en moyenne, bon an mal an, 60 000 pieds de bois de chêne. Les navires qu’il construisait étaient enregistrés à son nom, mais il servait aussi d’agent à
, entra en service. La concurrence entre ces bateaux donna rapidement lieu à une fusion, et la nouvelle entreprise, à laquelle Beatty participa, prit le nom de Georgian Bay Transportation Company Limited
et, en 1842, selon le rôle d’évaluation, ils étaient toujours copropriétaires de leurs locaux de la rue King. En 1843 cependant, la propriété était au nom de Beaty, qui était alors inscrit comme
. Elle est alors achetée par le gouvernement provincial en même temps que le chemin de fer de la rive nord pour former le chemin de fer de Québec, Montréal, Ottawa et Occidental. Bien que son nom ait été
Jésus fut supprimée en France.
Les activités subséquentes de Beaubois restent inconnues. Son nom ne réapparaît que dans un avis de décès des jésuites
les syndics apostoliques chargés au nom du Saint-Siège de gérer les affaires temporelles des franciscains. Durant une trentaine d’années, il remplit d’ailleurs lui-même les fonctions de syndic
dure 22 ans. En 1886, Valois s’étant retiré, Beauchemin s’adjoint son fils Joseph-Odilon, secrétaire de la compagnie depuis 1876. La maison est désormais connue sous le nom de Librairie C.-O