2181 à 2200 (de 4149)
1...108  109  110  111  112  ...208
détail. Dès 1875–1876, les annuaires de Montréal l’identifiaient comme teneur de livres sans donner le nom de son employeur. Vers 1877, il fut engagé par un grossiste montréalais en alimentation, la Tiffin
. James Robertson Woodward en fait l’acquisition au nom de la Compagnie du chemin de fer Québec central. Favorable au parti conservateur du Québec
 
Plaisance, peut-être à titre d’engagé. Son nom figure pour la première fois dans les registres de la colonie en 1708, année où on lui octroya le contrat d’approvisionner l’expédition menée par Saint-Ovide
 
céder ses biens à ses créanciers. À la suite de cet échec, il abandonne le commerce pour se consacrer à l’industrie. Pendant deux décennies, son nom est associé à l’expansion de l’industrie sidérurgique
 
du littoral, depuis Senneville jusqu’à Gentilly. Le fief de Bellevue a laissé son nom à Sainte-Anne-de-Bellevue, dite d’abord « du bout de Ille ». À en croire la tradition, la chapelle Saint
 
endroits portant son nom, commémorent sa vie sur la côte ouest. Madge Wolfenden
Blake à Toronto. Ce cabinet porta plusieurs noms, dont le plus connu fut Blake, Lash, Anglin, and Cassels. C’est à cet endroit que Lash se distingua comme le plus grand spécialiste canadien de son temps
 
Reims, à Montpellier et enfin à Paris. Le 14 août 1906, il signe un contrat de trois mois avec la Compagnie des théâtres de Montréal (mieux connue sous le nom de théâtre des Nouveautés), dont le directeur
 ! Il est entré dans l’histoire avec l’impressionnante généalogie qu’il s’était inventée : titre d’écuyer, armoiries, nom très noble « de Lamothe Cadillac », et père conseiller au parlement
 
. Casteel fut sauvé par un officier français et finalement racheté par un Acadien du nom de James Morrice (Jacques Maurice). Par la suite, ajoute Casteel, les autres Micmacs « sortirent de la maison
 
, Laurie eut un associé du nom de D. L. Clink ; ensuite, il fut l’unique propriétaire du journal. Durant les 25 années qui s’écoulèrent entre la fondation du Herald et sa
sur la franchise et défendit globalement le respect de trois principes : l’autonomie provinciale, les deux cultures fondamentales du pays, et la liberté. Le 28 mars 1889, au nom de ces trois
 
accepta de remplir de nombreuses charges d’ingénieur au nom de municipalités des environs de Montréal. Son bureau connut, dès lors, une croissance de ses activités. Dans ces circonstances, Laurin en fut
 
électorales faites au Bas-Canada depuis 1840 ; celle-ci ayant été rejetée, il se range parmi les tenants du rappel de l’Union. Le nom de Laurin est surtout associé à la loi de 1847 visant à organiser
son fils aîné, François, il octroya une étendue de pays allant de la rivière des Iroquois (Richelieu) jusqu’au Châteauguay moderne. Puis, se servant de prête-noms, il obtint pour lui-même l’île de
 
avaient été causés d’abord par le changement trop fréquent des missionnaires ; en conséquence, ils demandaient le retour de Gannenrontié (nom indien du père de Lauzon). Par ailleurs, ils considéraient
noblesse. Guy, né de cette union, prit le nom de sa mère ; c’est de lui que descendait François de Laval. Par sa mère, Michelle de Péricard, fille du
, ce qui lui vaut une tournée en Amérique du Sud, aux Antilles et au Mexique comme accompagnateur d’un violoniste espagnol du nom d’Olivera. En septembre 1861, il est à Providence, au Rhode Island, où il
 
pénitencier ni le système carcéral. Si son nom est passé à l’histoire, c’est surtout pour une autre raison. En octobre 1885, Macdonald l’avait chargé, avec Augustus Jukes et François-Xavier Valade, d’aller
 
Jones de Toronto. Il reste aujourd’hui de cet ensemble les deux constructions de Laver et de Stent, connues sous les noms d’édifices de l’Est et de l’Ouest, de même que la bibliothèque de Fuller et de
2181 à 2200 (de 4149)
1...108  109  110  111  112  ...208