Des Chatelets achetait, au nom de son frère, le fief de Saint-Michel, propriété de M. de Puiseaux, et, le 18
, dûment autorisée à agir en son nom, elle continua d’effectuer des transactions de toutes sortes (ventes, achats, prêts, emprunts, fret de navires, contrats de construction), en son propre nom et par
JUCHEREAU DE SAINT-DENYS, CHARLES, connu entre 1689 et 1698 sous le nom de sieur de Beaumarchais
homme puissant. Il ne se déplace plus pour ses affaires. Un commis ou régisseur agissant en son nom arpente ses domaines et veille à l’application des contrats et des baux, de même qu’à la collecte des
, Ignace*, qui perpétua le nom des Juchereau Duchesnay au Canada. L’oncle d’Ignace, Joseph Giffard, lui avait légué la seigneurie de Beauport qui revint à Antoine-Louis en 1806
, était considéré comme une région aurifère. C’est sur un de ses affluents, la rivière Gilbert, que l’exploitation fut poussée à son maximum. Juchereau Duchesnay, en octobre 1882, releva le nom de 16
, il eut 17 enfants. Le nom des Juchereau s’est perpétué par lui au Canada.
Le 17 février 1683, le jour même où fut signé son
des trafiquants qui fourniraient à leurs besoins contre des fourrures. John Julien signa au nom des Indiens des régions de la Miramichi, de Pokemouche et de Restigouche. Le 30 août 1783
Beaugrand pour agrémenter le conte du jour de l’An du même nom, publié dans la Patrie du 31 décembre 1891, que sa carrière internationale prit son envol : en effet, en 1892
, Wisconsin) depuis 1827, et revendiqua 132 acres de terre en son nom et 157 acres au nom de son frère Pierre qui s’était fixé à Milwaukee un peu avant 1830. Le gouvernement des États-Unis reconnut le
Brosse*. Suivant une opinion, qui demande toutefois confirmation, la côte de la Montagne, à Québec, devrait également son nom à Noël Jérémie, qui aurait eu un pied-à-terre près de cette montée
Japon, prit en 1906 le nom de Vancouver Japanese School. On y suivait le même programme que dans les écoles du Japon et l’on y donnait, en plus, des cours d’anglais
Kaeble venait de Mayence, (Allemagne) et avait pour nom Thodor Göbel. Il serait arrivé dans la province de Québec en 1776 avec les troupes du duché de Brunswick commandé par Friedrich Adolph von Riedesel
Thunder), Indien tsonnontouan qui vivait sur l’Ohio supérieur vers 1750, décédé vers 1762.
Sous le nom de Cadsedan-hiunt, on l’identifia en 1750
KAHGEGAGAHBOWH (Kahkakakahbowh, Kakikekapo) (connu sous le nom de George Copway), missionnaire méthodiste, écrivain
, un des principaux chefs de guerre des Tsonnontouans d’en bas ou de l’Est, membre du clan de la Tortue (dont le nom signifie fumée fuyante ou brume ; il apparaît le plus souvent
époque au Canada : « le prince des guides alpins canadiens », d’après l’historienne Esther Fraser. Il effectua plus de 50 premières ascensions de pics portant un nom, dans les Rocheuses et
, Ononwarogo, était généralement désigné par les Anglais sous le nom de Red Head le jeune mais peu à peu, après la mort de Kakouenthiony, on en vint à le nommer simplement Red Head
KALLIHIRUA (orthographié aujourd’hui Qalasirssuaq ; connu aussi sous les noms de Caloosà et
; un genre et 90 espèces de plantes reçurent son nom. Son livre – son apport le plus important – stimula l’histoire naturelle en Suède et mit à la portée des Européens une description