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[Le Roy*] lui donne un nom). Il appartient à l’histoire pour le rôle qu’il joua pendant la période de 1663 à 1666, alors que les Iroquois se préparaient à conclure la paix avec les Français à
suivantes, à agrandir et embellir son domaine. « Le nom de Coulonge, écrit Gagnon, était pour lui à la fois un nom de terre et un nom de famille. Louis d’Ailleboust est appelé « sieur de Coulonge
à destination de Québec, où le Journal des Jésuites note son arrivée le 23 août. Un mois après être débarqué à Québec, il partait pour Ville-Marie où son nom apparaissait, l’année suivante
se faire une renommée en détournant vers une colonie qui porterait le nom de l’Écosse le flot constant de ses jeunes compatriotes qui alimentait les guerres continentales
. Quand, en 1671, Daumont de Saint-Lusson prit possession des régions de l’Ouest, au nom du
 
AMANTACHA, baptisé sous le nom de Louis de Sainte-Foi, Huron éduqué en France, plus tard ami et aide des
 
fief de Vincelotte, dans la paroisse actuelle de Cap-Saint-Ignace. Son fils Charles-Joseph* hérita du fief et en prit le nom
 
appartenait à une famille de très ancienne noblesse anjevine. Son aïeul paternel, Gaston d’Andigné, avait acquis (avant 1565) la terre de Grandfontaine, dont ses descendants prirent aussi le nom. Cadet de
 
Ontario), dans le pays huron, le 9 juillet 1648. Elle était dirigée par un Indien du nom de Soines, né Huron, mais naturalisé Onontagué. Les négociations alternèrent entre le pays des Hurons et
 
, dans le Pays Basque français, probablement fils de Joanis d’Aprendestiguy ; mort vraisemblablement entre 1686 et 1689. La forme basque du nom, « Aprendestiguy », apparaît
, abattit la croix érigée par les Jésuites et la remplaça par une autre portant le nom du roi d’Angleterre. Il se rendit alors à Sainte-Croix, où il détruisit les restes de la vieille colonie et s’empara d’un
 
, en 1642, il prit le nom d’un ancien chef, Atironta (circa 1615). Les hommes les plus éminents du pays
 
. Trois Hurons distingués ont porté le nom d’Atironta au xviie siècle, suivant en cela la coutume indienne selon laquelle on ressuscitait et perpétuait le nom
 
jusqu’au recensement de 1681. Il vint cependant plus tard à Québec, y fut juge suppléant du Conseil souverain en 1684 et y fut inhumé le 20 mars 1694. Ses descendants écrivent maintenant leur nom
 
nom, qui fut emporté par le scorbut durant l’hiver de 1605–1606. Un ministre protestant faisait aussi partie du voyage
 
collections historiques du Michigan), JACQUES, soldat, cultivateur et traitant en fourrures, fondateur de la famille canadienne distinguée qui porte ce nom, fils de Jean « Bavis » et
apercevoir la terre au nord-est. Parry donna à cette terre le nom d’île de Baffin « pour honorer la mémoire de ce navigateur compétent et plein de hardiesse ». L’expédition revint à l’automne de 1615
 
détails précis sur la vie privée de Baillif. Il serait né et aurait grandi en Basse-Normandie (où le nom de « Baillif » est très répandu) et aurait rencontré Mgr de
 
la colline du mont Royal, aujourd’hui à l’ouest de l’avenue du Parc. Une petite rue y rappelle encore son nom. Il avait également deux autres propriétés, rue Saint-Paul
 
inscrites à son nom jusqu’à une date qui se situe entre 1673 et 1675. Au début de juin 1670, Bayly partit de la Tamise à destination de Port
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