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raconte qu’un jour le chef indien avait dit à Buade* de Frontenac « que c’estoit un malingre qui n’estoit propre a rien puisqu’il falloit
 
 1818, moins d’un an après que le Frontenac (le premier vapeur de fabrication canadienne qui sillonna les Grands Lacs) eut été mis en service sur le lac Ontario [V. James
. Les vicissitudes du favoritisme se lisent entre les lignes des écrits des intendants et des gouverneurs. Buade* de Frontenac et Duchesneau
 
Rochefort. Buade* de Frontenac écrivit au ministre en 1690 que, sous réserve de ratification royale, il avait nommé « le Sr. de Robineau
 
, Jacques Leneuf de La Poterie, le 7 juillet 1671. Le gouverneur de Buade de Frontenac lui concéda aussi
 
nécessaire pour négocier des échanges de prisonniers. On conclut un accord lorsque le fort Frontenac (Kingston, Ont.) tomba aux mains des Anglais, à la fin d’août : le commandant du fort, Pierre-Jacques
plans de l’école Frontenac et ceux de l’école Baril. Jusqu’en 1914, il décrochera cinq des six contrats conclus par cette dernière commission scolaire. En 1912, la commission scolaire de la ville Saint
 
Buade de Frontenac dut lui obtenir du roi une pension de 150#. Le gouverneur Louis d’Ailleboust étant mort sans enfants, Charles-Joseph est
 
fourrures en Nouvelle-France. Le 3 septembre de la même année, le gouverneur général de Buade de Frontenac, afin
 
l’année suivante le gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya prendre le commandement chez les Miamis qui habitaient les territoires au sud-est du lac
 
une place fort importante dans la vie et la carrière scientifique de Bonnécamps. Elle ne fut sûrement pas un fait isolé. Le 25 juin 1752, il était au fort Frontenac (Kingston, Ontario
 
pour affaires privées ; en 1734, il était nommé au fort Frontenac (Kingston, Ont.). L’année suivante, il fut envoyé au fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et en 1736, lorsque le commandant du
 
lac Ontario. Il prit part également aux expéditions dirigées par Denonville [Brisay*] et par Frontenac
 
paroisses Sainte-Marie-de-la-Nouvelle-Beauce (Sainte-Marie, Québec) et Saint-Joseph-de-la-Nouvelle-Beauce (Saint-Joseph, Québec) puis fait office d’aumônier au fort Frontenac (Kingston, Ontario) de 1753 à
 
[Talbot], Recueil de généalogies des comtés de Beauce-Dorchester-Frontenac, 1625–1946 (11 vol., Beauceville, Québec, [1949–1955]), 11.— P.-G. Roy, Dates lévisiennes (12 vol
 
. Commerçant en vue, ayant rempli des fonctions officielles et propriétaire de biens fonciers à Québec, à l’île d’Orléans et à Montréal, Charron fut l’un des 20 notables de la colonie choisis par Frontenac [V
 
Lespinay reçoit de Frontenac [Buade*], le 15 mai 1691, une commission de capitaine du port de Québec. Chose curieuse, ni le roi ni
 
de Québec, supérieure, née à Montréal le 27 janvier 1716, fille de Martin Curot, garde-magasin au fort Frontenac (Kingston, Ontario), et de Madeleine Cauchois, décédée à Québec le 18
 
d’affaiblissement et il était sûrement atteint de cécité totale quand, trois ans plus tard, Buade* de Frontenac sollicita pour lui l’aide du roi. Il confia
Brisay de Denonville dans un voyage au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Il descendait à terre à de fréquents intervalles pour établir des latitudes dans le but de dresser une carte. L’année
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