201 à 220 (de 396)
1...9  10  11  12  13  ...20
par Phips*, La Colombière prononça un sermon lors de la cérémonie d’action de grâces pour la victoire. Il ne craignit pas, devant Frontenac
 
les plans pour la construction du château et du nouveau fort. À propos du château, Frontenac [Buade*] déclarait que « ce n’est pas sans
Frontenac qu’il avait eu le grade de lieutenant dans le régiment de Clairambault et, dans un mémoire adressé vers 1725 au ministre Maurepas, il n’est plus, modestement, qu’un ancien cadet du régiment de
 
Québec en 1690 lors du siège de la ville par les troupes anglaises de William Phips*. En avril de l’année suivante, le gouverneur de Frontenac
 
qu’un centre de recrutement ; il constituait un poste de renseignements chez les Iroquois, un relai, un magasin, une position de défense à mi-chemin entre Montréal et le fort Frontenac (Kingston, Ont
occupaient une place de plus en plus importante. Diplômé en 1906, Richardson joua ensuite dans le Frontenac Hockey Club de Kingston, dont il fut président
participe à l’expédition lancée par Frontenac [Buade*] du côté d’Orange (Albany, N. Y.) et au sac de Corlaer (Schenectady, N. Y.). Il fait
 
Cavelier* de La Salle : la dite concession est bornée par celle du sieur You, sergent de la garnison du fort Frontenac. Pierre You accompagnera par la suite La Salle dans ses expéditions
candidat à Frontenac [V. Buade], qui l’agréa. La mission confiée à Jolliet n’était pas tant de découvrir le
 
nouveau gouverneur général désigné à la succession de Buade* de Frontenac, reçurent de la part du marquis de Seignelay, le fils de Colbert
 
Perrot, dit Joly-Cœur, avait tenté d’empoisonner Cavelier* de La Salle au fort Frontenac (Kingston, Ont.), peu après que le
, Frontenac [V. Buade] nous l’apprend dans une lettre à Colbert (13 novembre 1673) : « Je me suis servi du
 
était lieutenant dans le régiment de Normandie. Il ne rentra au Canada qu’en 1726, année où il fut fait lieutenant dans les troupes de la Marine et commandant du fort Frontenac (Kingston, Ontario
 
l’île Garden ; il fit également partie du conseil de comté de Frontenac pendant 12 ans. Après avoir remporté une élection partielle dans la circonscription de Frontenac en 1892, il siégea à la
 
l’ancien fort Frontenac (Cataracoui) appartenant aux Français pendant la guerre de Sept Ans. C’est ainsi qu’il fut en mesure de recommander l’endroit au commandant britannique à New York, sir Guy
. En janvier 1825, les frères achetèrent à Henry Gildersleeve*, pour environ £1 500, un bateau à vapeur d’occasion, le Frontenac
 
l’estime des communautés religieuses ; il avait la confiance du gouverneur Buade* de Frontenac qui, sur son lit de mort, le nomma, avec Charles
de Frontenac décide de répliquer aux attaques conduites contre la Nouvelle-France par les Iroquois et encouragées par les Anglais. Il met sur pied trois corps expéditionnaires, recrutés l’un à Montréal
 
Frontenac et, au cours de la campagne qui dura tout l’été, il reçut un large appui en tant que candidat modéré et qui n’était pas d’allégeance tory. Il allait être élu, semble-t-il, mais sa carrière politique
 
région de Tadoussac, et il fut toujours observateur attentif des beautés et des richesses de la nature. En sa qualité de supérieur, il adressa une lettre au gouverneur de Frontenac
201 à 220 (de 396)
1...9  10  11  12  13  ...20