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GORDON, sir CHARLES BLAIR, homme d’affaires et fonctionnaire, né le 22 novembre 1867 à Montréal, fils de John Gordon et de Jane (Jeanie) Roy ; le 19 avril 1897, il épousa dans cette ville Edith Annie Brooks, sœur de Harriet Brooks, et ils eurent trois fils ; décédé le 30 juillet 1939 au même endroit.
Le père de Charles Blair Gordon était grossiste en tissus et articles de mercerie à Montréal. Gordon fit ses études à l’école publique et à la High School of Montreal. À l’âge de 19 ans, il obtint son premier emploi en qualité de commis dans un magasin de tissus et articles de mercerie, McIntyre, Son and Company. Deux ans plus tard, il devint commis à l’expédition chez J. P. Black and Company, grossiste dans le même domaine. Puis, vers 1891, il lança sa propre affaire, la Standard Shirt Company. Son entreprise prospéra et le gouvernement fédéral lui délivra, en avril 1895, des lettres patentes « pour confectionner, acheter, vendre et faire le commerce de chemises, cols, articles de mercerie et vêtements de toutes sortes pour hommes, femmes et enfants, dans tout le dominion du Canada ». La société possédait un capital de 200 000 $ réparti en 2 000 actions. Gordon et ses associés s’en approprièrent 50 % ; Gordon lui-même en acquit 343. En 1901, le capital social fut augmenté à un million de dollars, et les pouvoirs de l’entreprise furent étendus pour lui permettre d’acquérir des actions d’autres sociétés, d’imprimer des documents pour ses besoins et, lorsque nécessaire, d’acheter des usines et de l’équipement, et d’engager du personnel.
Une photographie de 1903 montre les bureaux et l’usine de l’entreprise qui occupaient cinq édifices de plusieurs étages sur un terrain de cinq acres avenue de Lorimier. On disait que l’entreprise produisait sa propre électricité. Elle employait près de 1 200 travailleurs, fournissait la majeure partie du marché intérieur et exportait certains produits en Afrique du Sud et en Australie. À Montréal, Gordon se tailla rapidement une réputation de jeune homme d’affaires prometteur. En 1904, à l’âge de 37 ans, il adhéra à un syndicat financier qui regroupa quatre sociétés – la Dominion Cotton Mills Company Limited, la Merchants’ Cotton Company, la Compagnie des filatures de coton de Montmorency et la Colonial Bleaching and Printing Company – pour constituer la Dominion Textile Company au début de l’année suivante. Toutes ces sociétés étaient au bord de la faillite. Barbara J. Austin, l’historienne de la Dominion Textile, qualifierait la fusion de « geste désespéré » pour diminuer la concurrence dans le commerce du coton et apporter quelque stabilité à l’industrie. Le syndicat financier Dominion Textile était dirigé par David Yuile*, qui avait organisé avec succès d’autres fusionnements, notamment celui de la Diamond Flint Glass Company, et était très respecté parmi les gens d’affaires de Montréal pour son flair en matière de finances. Gordon emprunta de l’argent pour acheter ses 496 actions à 100 $ l’unité. On le désignerait, avec Yuile, comme le cofondateur de la société, car, en tant que deuxième vice-président et directeur général, il eut la tâche de lancer et d’administrer la nouvelle entreprise. Yuile fut nommé président et Louis-Joseph Forget*, premier vice-président. Gordon surveillait les opérations journalières et donnait suite aux décisions du comité de direction, dont il faisait partie avec, entre autres, Yuile, Forget, Herbert Samuel Holt*, Henry Vincent Meredith*, le sénateur Robert Mackay, John P. Black et David Williamson. En 1909, après la mort de Yuile, le conseil d’administration élut Gordon à la présidence.
L’industrie canadienne du coton était concentrée dans la province de Québec : plus de 60 % des travailleurs s’y trouvaient et on y produisait 66 % des marchandises. Dès sa fondation, la Dominion Textile devint l’entreprise la plus importante du secteur : elle fabriquait 45 % des textiles de coton du pays. Son plus grand concurrent canadien était la Canadian Colored Cotton Mills Company Limited, qui prendrait le nom de Canadian Cottons Limited en 1910. La concurrence extérieure venait des filatures britanniques ; leurs produits étaient assujettis à un tarif préférentiel de 15 à 17,5 %, mais ils étaient tout de même concurrentiels au Canada. Un tarif prohibitif de 40 à 50 % sur les tissus en coton faits aux États-Unis excluait efficacement ce pays du marché canadien. La Dominion Textile entretenait également des liens étroits avec la Penman Manufacturing Company Limited, plus gros producteur d’articles de laine au Canada, dont le président, David Morrice, était membre du syndicat financier Dominion Textile et président de la Canadian Colored Cotton Mills Company Limited. À la mort de Morrice, en 1914, Gordon devint aussi président de la Penman Manufacturing Company Limited.
Les marchés traditionnels de la Dominion Textile pour ses cotonnades étaient les magasins de tissus et d’articles de mercerie (à Montréal seulement, on en comptait près de 300), et les personnes qui cousaient pour leur usage personnel. Cependant, au cours des années précédant la Première Guerre mondiale, des quantités croissantes de produits de la Dominion Textile s’écoulaient sur deux nouveaux marchés : des entreprises comme la Standard Shirt Company de Gordon, qui produisait du prêt-à-porter, et des grands magasins tels que la Henry Morgan and Company Limited à Montréal. La Dominion Textile se développa sous la direction de Gordon ; à la mort de ce dernier, en 1939, elle emploierait plus de 6 000 travailleurs et ses actifs se chiffraient à 50 millions de dollars. À mesure que la firme prenait de l’expansion, l’influence de Gordon parmi les géants des affaires à Montréal s’intensifiait. En 1909, il fut nommé administrateur de la Banque Molson. En 1911, il était déjà dans la liste de millionnaires du Montreal Daily Star. Gordon se joignit à Holt, sir Hugh Montagu Allan* et Charles Rudolph Hosmer pour fonder le prestigieux hôtel Ritz-Carlton, dont la construction s’amorça cette année-là. Un an plus tard, il fut élu administrateur de la Banque de Montréal. En 1913, il prit la tête d’un syndicat financier qui fusionna la Diamond Flint Glass Company, la Canadian Glass Manufacturing Company Limited, la Sydenham Glass Company, la Manitoba Glass Company et la Jefferson Glass Company pour former la Dominion Glass Company Limited. L’année suivante, il devint président de l’Association des manufacturiers canadiens.
La Première Guerre mondiale favorisa un essor d’industries textiles au Canada. Le Corps expéditionnaire canadien avait besoin de tissus pour des uniformes, des tentes et des dizaines d’autres articles. Des commandes, d’abord modestes, puis énormes, affluèrent à la Dominion Textile. En 1917, l’entrée des États-Unis dans le conflit donna lieu à une augmentation des demandes de tissus pour la confection d’uniformes. L’engagement personnel de Gordon dans l’effort de guerre prit plusieurs formes. De concert avec Mackay, Meredith et Huntley Redpath Drummond, il contribua à l’achat d’équipement pour le Corps canadien de mitrailleurs. En tant qu’administrateur de la Banque de Montréal, il conseilla son gouvernement sur les crédits établis par le gouvernement britannique pour financer les approvisionnements de guerre au Canada. De plus, pendant toute la durée de la guerre, il prêta son yacht avec l’équipage au complet à la Marine royale du Canada pour la patrouille côtière. Toutes ces activités furent éclipsées le 1er décembre 1915, quand Gordon fut nommé vice-président de la Commission impériale des munitions (CIM), nouvellement créée ; sous la direction de Joseph Wesley Flavelle, l’organisme était le seul au Canada autorisé à traiter les commandes du ministère britannique des Munitions. Gordon souhaitait pouvoir siéger à la CIM et rester actif au sein de la Dominion Textile, mais ses espoirs s’envolèrent quasi immédiatement, car Flavelle et lui durent se consacrer à la CIM à temps plein et faire des heures supplémentaires. Pendant la guerre, Gordon partagea avec Holt une direction stratégique de la Dominion Textile, tandis que les opérations quotidiennes furent confiées au directeur général, Francis Galvin Daniels, homme de confiance de Gordon. À Ottawa, Gordon et Flavelle formaient le comité interne de la CIM avec David Carnegie, chef du service technique, et Frederick Perry, responsable des finances de la CIM et des relations avec le ministère des Munitions à Londres.
La CIM avait hérité, du Comité des obus de sir Samuel Hughes*, de commandes d’obus d’artillerie valant plus de 282 millions de dollars, de contrats avec plus de 400 usines et de la supervision de la fabrication de dizaines de millions d’obus et de pièces accessoires. Pour la CIM, la plus grosse difficulté était d’acquérir des fusées à temps et des fusées à percussion pour les obus produits dans ses usines. Il était impossible de créer et d’assembler ces pièces de précision au Canada, et les contrats avec des entreprises américaines s’étaient soldés par des échecs lamentables. Gordon, à qui l’on confia le problème, recommanda de fabriquer les fusées au Canada. Pour produire les délicates fusées à temps, la CIM installa sa propre usine à Verdun (Montréal). Des ouvriers spécialisés et des superviseurs furent rapidement appelés de Grande-Bretagne pour former les travailleurs canadiens. La British Munitions Limited, première « usine nationale » de la CIM, était déjà en production au printemps de 1916. La Grande-Bretagne achemina sa dernière commande – trois millions de fusées – en 1917 et les dernières fusées furent expédiées au mois de mai 1918. La British Munitions Limited fut ensuite transformée par la CIM en une manufacture d’obus.
En 1916, Gordon s’était occupé du problème de plus en plus sérieux de la pénurie de main-d’œuvre dans les usines de munitions de tout le pays : il avait persuadé l’armée de démobiliser provisoirement des soldats enrôlés pour l’entraînement, ou même au front, et de les affecter aux usines. Il fallait également mettre de l’ordre dans les engagements d’entreprises telles que l’Algoma Steel Corporation Limited, de façon à ce qu’elles fournissent tant du matériel destiné à la fabrication des munitions que des rails de remplacement pour les lignes canadiennes de chemins de fer surutilisées. De plus, Gordon joua un rôle dans la mise sur pied au Canada d’une école de formation pour l’aviation et la création à Toronto d’une usine nationale de construction d’avions, la Canadian Aeroplanes Limited [V. sir Frank Wilton Baillie*].
En compagnie de sa femme Edith Annie, Gordon quitta New York en avril 1917 pour remplir une mission de la CIM en Grande-Bretagne. Après plusieurs jours en mer, le navire pénétra dans la zone critique de guerre sous-marine récemment déclenchée par la marine allemande. « Nous avons vécu une journée passionnante », écrivit Gordon à Flavelle après avoir assisté au naufrage de plusieurs bateaux et vu des flammes s’échapper d’autres navires en détresse. « Personne n’a dormi la nuit dernière et bon nombre de personnes à bord étaient effrayées. » Des ordres avaient été donnés pour que leur navire ne s’arrête pas. Escorté de plusieurs destroyers, il atteignit la Grande-Bretagne en toute sécurité.
À la fin du mois de juin 1917, Gordon retourna à Ottawa et quitta presque immédiatement la CIM pour devenir adjoint de lord Northcliffe, chef de la British War Mission à Washington. Gordon était le représentant du ministère des Munitions et le directeur des approvisionnements de guerre pour le Royaume-Uni, partageant son temps entre Washington et New York. Ottawa et la CIM lui manquaient énormément ; en septembre, il confia à Flavelle que son travail « avec [lui] à Ottawa avait été l’expérience professionnelle la plus agréable de [sa] carrière » et que « [son] travail actuel était tout sauf agréable à certains moments ». Gordon n’aimait pas travailler avec ses collègues britanniques en général et, en particulier, avec Northcliffe, qu’il qualifiait de « charlatan ». Ce dernier quitta la mission en novembre 1917 et fut remplacé par lord Reading, changement qui n’améliora pas la situation. Reading amena de Grande-Bretagne un groupe de subalternes inexpérimentés et ne tint pas compte des années d’expérience de Gordon en approvisionnement de munitions. Blessé, mais résigné à son sort, Gordon écrivit en 1917 qu’il tentait de suivre le conseil de Flavelle, « rester d’humeur égale dans les situations les plus exaspérantes », et, en 1918, qu’il « servirait le gouvernement de [son] mieux » jusqu’à la fin des hostilités. Au bout du compte, il retira peu de satisfaction. Il reçut toutefois des récompenses : en 1917, il fut fait chevalier commandeur de l’ordre de l’Empire britannique, nouvellement créé, et fut promu chevalier grand-croix l’année suivante.
À la fin de juillet 1919, Gordon partageait toujours son temps entre la Dominion Textile, à Montréal, et le ministère britannique des Munitions à New York. Pendant que des pourparlers de paix se déroulaient à Versailles, en France, et que le gouvernement canadien s’efforçait de mettre en œuvre des plans de reconstruction au pays, il fut également nommé président de la Commission canadienne du commerce, qui avait été créée par arrêté en conseil le 6 décembre 1918. Son travail, avec celui de Lloyd Harris, chef de la mission commerciale du Canada à Londres, consistait à trouver des marchés pour les exportations canadiennes dans l’Europe d’après-guerre. Les deux hommes exhortèrent Ottawa à offrir à chacun des gouvernements de Roumanie, de Serbie et de Grèce – les trois pays avec lesquels les échanges semblaient les plus prometteurs et qui avaient été choisis par le premier ministre sir Robert Laird Borden – un crédit de 50 millions de dollars pour acheter des produits d’exportation canadienne. Nerveux et prudent, le ministère des Finances coupa de moitié les crédits accordés à la Roumanie et à la Grèce, et n’en alloua aucun à la Serbie, ce qui affaiblit l’initiative. Gordon essaya également d’obtenir la coopération du gouvernement et des banques du Canada pour créer un organisme de financement et de crédit afin de stimuler le commerce, mais cette tentative reçut également des réponses timides. En 1921, le premier ministre, Arthur Meighen*, abolit la Commission canadienne du commerce. Enfin, on confia à Gordon une mission de plus : en février 1922, le premier ministre, William Lyon Mackenzie King*, nomma Gordon et Édouard Montpetit* représentants du Canada à la conférence de Gênes en vue de la reconstruction économique et financière de l’Europe, qui se tiendrait en avril et en mai en Italie.
Le temps était venu de retourner à la belle maison que Gordon et sa femme occupaient chemin Queen-Mary, dans le quartier Côte-des-Neiges (Montréal), et à la Dominion Textile. Gordon possédait également Torridon, domaine situé dans l’ouest des Highlands, en Écosse, qu’il avait acheté environ une décennie auparavant. Il était désormais reconnu comme chef de file parmi l’élite de la communauté des gens d’affaires de la ville. En 1927, il fut élu président de la Banque de Montréal pour remplacer Meredith, qui avait été nommé président du comité de direction du conseil d’administration. Gordon démissionna de son poste de président de la Dominion Textile. Ce fut le directeur général, Daniels, son homme de confiance, qui lui succéda, mais quand ce dernier mourut du cancer en 1933, Gordon reprit la direction de l’entreprise. Chaque matin, son chauffeur le conduisait à son bureau de la Dominion Textile ; il se plongeait dans les livres de comptes de l’entreprise, puis se rendait à pied à son bureau de la Banque de Montréal, où il passait le reste de la journée. L’historien de la banque, Merrill Denison*, écrirait que Gordon fut le « président le plus énergique de son histoire ». Fidèle à lui-même, Gordon se faisait un point d’honneur de connaître personnellement tous les administrateurs des grandes succursales de la banque au Canada et à l’étranger. Au début de la dépression de 1929, Gordon suivit le consensus de la sagesse économique de l’époque. Il dit aux actionnaires de la banque à l’assemblée annuelle : « Les assises de l’économie sont solides, et l’avenir du Canada ne devrait nous inspirer aucune crainte. » À la Dominion Textile, même s’il ferma trois vieilles filatures au cours des années 1930, Gordon était déterminé à ne pas congédier un nombre important d’employés. Il fit plutôt passer leur semaine de travail à trois ou quatre jours. Les hommes et les femmes recevaient un salaire moindre, mais ils continuaient de gagner leur vie. L’entreprise poursuivit son expansion et exploita de nouveaux créneaux tels que la rayonne et les câbles à pneus pour automobiles.
Juste avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, le 27 juillet 1939, Gordon revint à Montréal après un voyage d’affaires en Angleterre. À son domicile, il eut soudainement un malaise. On le transporta à l’hôpital Royal Victoria où il mourut à l’âge de 71 ans. La nouvelle de son décès fit la une des grands journaux dans tout le Canada. Le lendemain matin, l’éditorial principal de la Gazette de Montréal lui attribua le mérite d’avoir « mis sur pied l’industrie textile au Canada » et le qualifia élogieusement de « véritable patriote ». Des centaines de collègues et d’amis des milieux commerciaux, financiers et gouvernementaux du Canada assistèrent à ses funérailles tenues à l’Erskine and American United Church à Montréal. Il fut inhumé au cimetière Mont-Royal à Outremont (Montréal).
Sir Charles Blair Gordon était un homme compétent et ambitieux. Grâce à son esprit d’initiative et ses qualités de chef, la fabrication des textiles de coton prospéra à Montréal, qui devint la capitale de cette industrie au Canada, fournissant les marchés de tout le dominion et produisant des articles d’exportation. Les talents de Gordon attirèrent l’attention de Flavelle quand celui-ci prit la tête de la CIM. En tant que collègue de confiance de Flavelle, Gordon mit à profit ses compétences en affaires dans les tâches multiples qu’il accomplissait à la commission et, vers la fin de la guerre, joua un rôle clé dans le programme britannique d’achat de munitions en Amérique du Nord.
BAC, R1008-8-3, 2652 ; R1449-0-5 ; R6113-0-X.— BAnQ-CAM, CE601-S68, 19 avril 1897 ; CE601-S121, 23 févr. 1868.— Gazette (Montréal), 31 juill. 1939.— Ottawa Citizen, 31 juill. 1939.— Annuaire, Montréal, 1891–1896.— B. J. Austin, « Life cycles and strategy of a Canadian company : Dominion Textile, 1873–1983 » (thèse de ph.d., Concordia Univ., Montréal, 1985).— Michael Bliss, A Canadian millionaire : the life and business times of Sir Joseph Flavelle, bart., 1858–1939 (Toronto, 1978).— The book of Montreal : a souvenir of Canada’s commercial metropolis, E. J. Chambers, édit. ([Montréal, 1903]).— R. C. Brown, Robert Laird Borden : a biography (2 vol., Toronto, 1975–1980).— R. C. Brown et Ramsay Cook, Canada, 1896–1921 : a nation transformed (Toronto, 1974).— Steve Carter, « Torridon & Shieldaig : in the western Highlands of Scotland » : www.stevecarter.com/ansh/history.htm (consulté le 23 nov. 2009).— Merrill Denison, la Première Banque au Canada : histoire de la Banque de Montréal, P.-A. Horguelin et J.-P. Vinay, trad. (2 vol., Toronto et Montréal, 1966–1967), 2.— Dominion Glass Company, Téléscope (Montréal), 1, no 7 (mai 1973), numéro spécial intitulé la Dominion Glass célèbre son 60ème anniversaire.— P. E. Rider, « The Imperial Munitions Board and its relationship to government, business, and labour, 1914–1920 » (thèse de ph.d., Univ. of Toronto, 1974).
Robert Craig Brown, « GORDON, sir CHARLES BLAIR », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 20 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/gordon_charles_blair_16F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/gordon_charles_blair_16F.html |
Auteur de l'article: | Robert Craig Brown |
Titre de l'article: | GORDON, sir CHARLES BLAIR |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2016 |
Année de la révision: | 2016 |
Date de consultation: | 20 déc. 2024 |