Provenance : Avec la permission de Wikimedia Commons
RATTENBURY, Francis Mawson, architecte, homme d’affaires et conseiller municipal, né le 11 octobre 1867 à Leeds, Angleterre, fils de John Owen Rattenbury, marchand et plus tard artiste, et de Mary Ann Mawson ; le 18 juin 1898, il épousa à Victoria Florence Eleanor Nunn (décédée en 1929), et ils eurent un fils et une fille ; divorcé le 28 janvier 1925, il épousa le 8 avril suivant, à Bellingham, Washington, Alma Victoria Clarke, veuve de Caledon Robert John Radcliffe Dolling et divorcée de Thomas Compton Pakenham, et ils eurent un fils ; décédé le 28 mars 1935 à Bournemouth, Angleterre.
Francis Mawson Rattenbury fut l’un des membres les plus renommés de la première génération d’architectes de formation professionnelle qui travailla au Canada et l’un des fondateurs, avec Samuel Maclure*, d’un style architectural légitime, quoique peu original, sur la côte Ouest. Plus compétent qu’innovateur sur le plan technique ou que créatif en matière d’esthétique, il saurait mettre son éducation à profit en Colombie-Britannique.
Rattenbury étudia à la Leeds Grammar School, où il obtint d’excellents résultats, puis fréquenta le Yorkshire College dans la même ville. En 1885, il commença un apprentissage dans le bureau d’architectes Mawson and Mawson, qui appartenait à ses oncles et avait succédé au cabinet réputé Lockwood and Mawson. Après avoir été lauréat, en 1890, du Soane Medallion, prix nommé en l’honneur du célèbre architecte sir John Soane et remis au gagnant d’un concours national organisé par le Royal Institute of British Architects, il fut responsable du Cleckheaton Town Hall, construit en 1892 selon le style Queen Anne. En partie à cause d’une récession, mais aussi parce qu’il portait un intérêt de longue date au Canada, il y émigra au printemps de 1892. Une fois à Vancouver, il travailla au moins sur trois commandes commerciales à partir d’août 1892 et remplit les fonctions d’agent pour un groupe d’investisseurs du Yorkshire. Grâce aux relations qu’il garda outre-Atlantique, il put terminer à la même époque la réalisation d’une maison et d’un bureau à Bradford, en Angleterre.
La carrière de Rattenbury en tant que praticien d’architecture publique débuta en mars 1893, quand il remporta le concours international pour le nouveau complexe du parlement provincial de Victoria, qui devait abriter l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique et des bureaux du gouvernement. Le projet gagnant mettait en évidence la solide formation de Rattenbury en structure architecturale, en aménagement de l’espace et en histoire de l’architecture de l’Europe occidentale, particulièrement en ce qui avait trait à l’adaptation de motifs historiques à de nouveaux types de bâtiments. Dans la conception du parlement, son appropriation éclectique des styles classique, du début du Moyen-Âge et de la Renaissance met ses compétences techniques en évidence. De tels choix révélaient son mépris de la tradition locale. Le style architectural imposant que Rattenbury adopta, et qui lui permit de l’emporter sur ses 67 rivaux, deviendrait plus apparent au fil du développement architectural de Victoria. Les dimensions réelles du parlement ne s’harmonisaient pas avec l’ornementation ostentatoire et le plan de l’axe transversal (en forme de croix et doté d’ailes en angle droit) entourant l’entrée munie de marches et exagérément surélevée. Le faste et l’apparat du bâtiment dessiné par Rattenbury masquaient une société grossièrement matérialiste. Après avoir obtenu des matériaux décoratifs et des fonds par des moyens tout juste légaux, Rattenbury abandonna la supervision des dernières étapes de la réalisation de l’édifice et n’assista pas à son ouverture officielle en février 1898. Il était parti faire un court voyage en Angleterre afin de trouver des investisseurs pour un projet visant à tirer profit de la ruée vers l’or au Yukon.
Au printemps de 1898, Rattenbury avait déjà fondé la Bennett Lake and Klondyke Navigation Company Limited. Il fit envoyer trois navires à vapeur préfabriqués en métal au lac Bennett (Yukon et Colombie-Britannique) et les fit assembler sur place. Ces bateaux apportèrent aux mineurs de Dawson des chargements lucratifs d’animaux d’élevage du vendeur de bétail Patrick Burns. Ils fournirent un service régulier de transport de passagers et de marchandises jusqu’à la fin soudaine de la ruée vers l’or et de la faillite de l’entreprise l’année suivante. Pendant ce temps, Rattenbury avait investi de l’argent dans l’Arctic Express Company, entreprise de transport américaine dont il fut l’agent au Canada pendant plusieurs années. Grâce à la commande des édifices du parlement, Rattenbury avait réussi à obtenir profits et approbation, malgré les dépassements de coûts considérables qu’entraîna le projet. De même, malgré l’échec de ses entreprises au Yukon, il fut en mesure de récupérer ses investissements et acquit la réputation de bien s’y connaître dans les affaires du Nord.
En juin 1898, Rattenbury avait combiné l’inspection des navires à vapeur de la Klondyke Mining, Trading and Transportation Company, que la Bennett Lake and Klondyke Navigation Company Limited avait l’intention d’acheter, avec sa lune de miel. Son premier mariage, avec Florence Eleanor, surnommée Florrie, semble avoir été précipité par sa grossesse, et reposait davantage sur une question d’apparences que d’affection.
Pendant la première décennie que Rattenbury passa en Colombie-Britannique, ses quatre clients principaux furent le gouvernement provincial, la Banque de Montréal et deux sociétés ferroviaires, soit la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique et la Grand Trunk Pacific Railway Company. Les représentants de ces organisations admiraient son habile mélange des modes architecturales britanniques et nord-américaines contemporaines, où dominait une suite variable des styles Queen Anne, néo-Renaissance et, surtout pour les hôtels, manoir écossais (fondé sur le style château), avec des éléments du néoroman de Richardson et du néoclassicisme dérivés du style traditionnel britannique, américain et français. Pour le palais de justice de Chilliwack (1894) et, à Victoria, pour une maison destinée à l’avocat Alan Southey Dumbleton (1897), ainsi que pour sa propre résidence (1898), Rattenbury adapta des éléments de style Queen Anne à des constructions en bois en milieu partiellement rural. Dans l’apparence du palais de justice de Nanaimo (1895–1896) et de l’édifice de la Banque de Montréal à Victoria (1896–1897), il simplifia cependant la maçonnerie et les motifs de style manoir écossais afin de souligner l’importance sociale et la fiabilité financière. Il conçut trois autres succursales pour la banque, soit à Rossland (1898), à New Westminster (1898) et à Nelson (1899). Ces travaux, en plus des rénovations du palais de justice de Victoria en 1899 (construit à l’origine par Hermann Otto Tiedemann*) et de son deuxième plan pour l’Hotel Vancouver de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique, dessiné en 1902, furent parmi les premiers à intégrer les styles beaux-arts et édouardien classique qui avaient été introduits au Canada.
Rattenbury se rendit compte de l’importance de l’apparence extérieure des œuvres architecturales et – dans une certaine mesure échaudé par les coûts de réalisation du parlement qui avaient presque doublé – de l’organisation efficace de l’espace. Par conséquent, il accorda plus d’attention à la conception des façades et créa des plans moins intéressants, quoique plus pratiques, pour, notamment, les hôtels en bois qu’il construisit à Greenwood et à Rossland (1899) durant le boom minier dans la région de Kootenay. Il comprenait le rôle promotionnel qu’on attribuait aux édifices publics dans les villes, nouvelles ou en pleine croissance, partout dans la province ; il aimait, par exemple, que l’Hotel Vancouver puisse représenter non seulement le statut de la communauté, mais aussi le succès de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique. Comme il fallait s’y attendre, cette dernière fit appel aux talents de Rattenbury pour élargir son entreprise touristique. L’architecte agrandit la Mount Stephen House (1901–1902), située à Field, et remplaça une importante partie de sa structure originale. Pour cet hôtel, de même que pour la grande maison en maçonnerie de Patrick Burns à Calgary (1900–1903), Rattenbury mélangea les styles Queen Anne, Tudor et arts et métiers. Modifié pour convenir à la Glacier House et au Château Lake Louise (1902), plus rustique, ou au magnifique Banff Springs Hotel (1902–1903), le style des adjonctions qu’il fit pour les hôtels pittoresques de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique respectait l’ambiance des trois établissements.
Rattenbury fut la figure dominante de sa profession dans l’Ouest canadien jusqu’en 1902, d’où son refus arrogant, en 1900, d’être en concurrence pour obtenir le contrat de reconstruction de la résidence du lieutenant-gouverneur de la Colombie-Britannique, alors appelé le Cary Castle [V. George Hunter Cary*]. Consulté par le gouvernement pour savoir si les plans choisis comportaient d’éventuels problèmes, Rattenbury déjoua les efforts de l’entreprise de Vancouver de John M. Byrens et d’Edwin George William Sait : après avoir déprécié le modèle et les estimations de prix de la firme, il offrit de se charger lui-même du projet (1902–1903). Une association officieuse fut conclue avec Samuel Maclure pour détourner les critiques relatives à ses rôles conflictuels.
Par la suite, Maclure dirigea le marché résidentiel, apportant des améliorations au mélange des styles Tudor et arts et métiers que Rattenbury avait été le premier à utiliser pour la maison de James Herrick McGregor (1902) à Victoria, tandis que Rattenbury continua de travailler dans les secteurs institutionnel et commercial ; l’exemple illustrant parfaitement ses travaux fut la Pacific Cable Board Cable Station (1902–1903) à Bamfield, sur l’île de Vancouver. Une série de constructions importantes, pour la banque et les compagnies de chemin de fer, suivirent ; la plus remarquable d’entre elles fut l’Empress Hotel (1905–1908), réalisé selon le style baronnial avec une charpente d’acier et des murs à parement de maçonnerie. Cet hôtel, le parlement et le CPR Steamship Terminal, conçu en 1904 selon le modèle Tudor et rebâti dans le style néoclassique en 1923–1924, formèrent le paysage de l’arrière-port de la ville et créèrent pour la capitale une iconographie qui ferait connaître Victoria à l’échelle internationale. Rattenbury parvint à donner à d’autres villes une image architecturale comparable avec les palais de justice de styles baronnial et classique à Nelson (1906–1909) et à Vancouver (1906–1911). Leur célébrité l’enhardit à élargir sa clientèle vers l’est. Il avait comme objectif principal de remporter l’appel d’offres du gouvernement de Thomas Walter Scott pour la construction de l’édifice de l’Assemblée législative de la Saskatchewan, mais ce fut le partenariat bien plus sophistiqué d’Edward* et de William Sutherland Maxwell, de Montréal, qui obtint le contrat en 1907. La nouvelle version de la colonnade ionique double incorrectement élaborée que Rattenbury avait utilisée pour le modèle du palais de justice de Vancouver ne convenait pas, car elle manquait de monumentalité et de cohésion. Au lieu d’améliorer ses aptitudes en matière de conception, il ne cessait de remanier son vocabulaire architectural déjà existant.
Néanmoins, les talents de Rattenbury étaient suffisants dans la région de Victoria, notamment pour la construction des succursales de la Banque des marchands du Canada à Victoria (1907) et à Nanaimo (1911), ainsi que pour l’ajout de la bibliothèque du parlement et des bureaux du gouvernement à l’arrière de l’édifice de l’Assemblée législative (1911–1916). Pendant ce temps, Rattenbury était passé, en 1908, de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique à la Grand Trunk Pacific Railway Company et dessina, de 1912 à 1914, une série d’hôtels composés d’éléments attrayants de styles baronnial et château pour des endroits comme le mont Robson, Victoria, Prince Rupert et les sources thermales Miette, en Alberta. Malheureusement, aucun de ces bâtiments ne serait construit. Sa vision de la capitale en tant que destination touristique et ville résidentielle se reflétait dans ses plans pour l’hôtel de Victoria, tout comme dans ses activités à titre de conseiller municipal d’Oak Bay, où il avait été en fonction de 1906 à 1908.
La Première Guerre mondiale ébranla l’économie de la province, ce qui eut un effet défavorable sur les investissements et le cabinet d’architecte de Rattenbury. Il se porta volontaire pour le service militaire ; il fut refusé parce qu’il avait 46 ans. La construction d’un magnifique hôtel de style château en béton armé et en maçonnerie, d’une gare et d’un terminal de navires à vapeur de style néoclassique à Prince Rupert démarra en 1914 puis fut interrompue en raison du conflit. Durant les années de guerre, Rattenbury supervisa la construction des bâtiments gouvernementaux qui était en cours, mais il y eut peu de nouvelles commandes.
En 1907, Rattenbury avait acquis, grâce à ses revenus professionnels considérables, de vastes terres dans le nord de la Colombie-Britannique, principalement dans les régions de Nechako et de la vallée Bulkley (en 1908, il vendit la propriété située dans les environs de Nechako et acheta des terres situées le long de la rivière Naas). Ces biens fonciers étaient destinés à la colonisation et à la mise en valeur des ressources naturelles ou agricoles. Rattenbury n’était pas préoccupé par la question du déplacement des autochtones. Il fut plutôt contrarié par les plans du gouvernement visant à envoyer d’anciens combattants dans les régions rurales. En vertu du Land Settlement and Development Act rédigé en 1917 par le ministre de l’Agriculture, John Oliver*, la province acquit une certaine partie de ses terres à un prix inférieur à celui qu’il avait payé et l’obligea à verser des impôts sur ses terres non aménagées. Rattenbury consacrerait la plus grande partie de son temps immédiatement après la guerre à son litige l’opposant au gouvernement. La Rattenbury Lands Limited, qu’il avait constituée juridiquement en 1919, fut mise en liquidation en 1922 ; l’entreprise cesserait ses activités en 1927.
Durant la période d’après-guerre, Rattenbury ne réalisa que trois autres projets architecturaux, tous à Victoria, dont la maison du magnat du bois Robert William Gibson (1918–1919). Dessinée en 1914 et terminée par Maclure, elle préfigurait le style néogeorgien. Rattenbury travailla avec l’architecte Percy Leonard James sur les deux autres commandes, soit le CPR Steamship Terminal et le Crystal Garden (1923–1925) (ce dernier abritait une piscine intérieure d’eau salée et un centre d’amusement gérés par la société ferroviaire). Rattenbury vit sa clientèle diminuer en raison de la lenteur de la reprise économique après la guerre et, aussi, du scandale engendré par sa liaison extraconjugale avec Alma Victoria Pakenham et leur mariage après qu’il eut divorcé de Florrie en 1925. Ces facteurs, conjugués à l’échec du projet de construction du Campanile Hotel à Victoria, précipitèrent la décision de Rattenbury et de sa femme de partir vivre en Grande-Bretagne en 1930 avec leur fils et le fils d’Alma Victoria issu d’un précédent mariage. L’année suivante, ils s’installèrent à Bournemouth, où la séduisante Alma Victoria connut une carrière fructueuse comme chanteuse à la radio et auteure de chansons, tandis que Rattenbury, qui n’effectuait que des travaux d’architecture de petite envergure, était de plus en plus préoccupé par la diminution de ses ressources financières et traversa des épisodes de dépression. À la fin de 1934, Alma Victoria commença une liaison avec le chauffeur et homme à tout faire du couple, George Percy Stoner, âgé de 18 ans. Le 23 mars 1935, Stoner, apparemment aveuglé par la jalousie, matraqua Rattenbury, qui mourut cinq jours plus tard. Le procès pour meurtre qui s’ensuivit fut parmi les plus célèbres de l’histoire judiciaire britannique. Alma Victoria et George Percy furent tous les deux jugés. Alma Victoria fut déclarée non coupable, mais elle se suicida le 4 juin, tout juste avant la commutation de la condamnation à mort de Stoner en peine de prison à vie. Ce dernier fut libéré en 1942.
Les aspects sensationnels de la vie de Francis Mawson Rattenbury ont amoindri la reconnaissance accordée à ses nombreuses activités professionnelles, tout en exagérant les jugements portés sur ses aptitudes en architecture. Il exerça ses principaux talents, soit la capacité d’adapter des styles architecturaux contemporains d’outre-Atlantique et de reconnaître l’importance de l’attrait visuel dans l’architecture publique, à une époque où les conditions sociales et économiques qu’offrait la côte ouest du Canada étaient opportunes.
Les BCA conservent un bon nombre des dessins, photographies et documents qui ont servi aux principales publications sur Francis Mawson Rattenbury. Ses descendants Sara Grogan Rattenbury et Eric Burton ont fait don de documents qui se trouvent dans le Rattenbury family fonds aux City of Victoria Arch. (PR 35). La vie privée de Rattenbury, surtout dans ses dernières années, a fait l’objet d’une étude dans Terry Reksten, Rattenbury (Victoria, 1978) et d’une analyse plus technique dans sir Michael Havers et al., The Rattenbury case (Londres et Markham, Ontario, 1989). Notre livre intitulé Francis Rattenbury and British Columbia : architecture and challenge in the imperial age (Vancouver, 1983), écrit en collaboration avec A. A. Barrett, demeure le principal ouvrage de référence sur l’œuvre de l’architecte et a été cité dans de nombreux articles, ainsi que dans l’enregistrement vidéo Rattenbury (Edmonton, 1997), écrit et réalisé par Robert Duncan, et produit par Great North Productions. La consultation de The British Columbia parliament buildings, Martin Segger, édit. (Vancouver, 1979) et de Martin Segger et Douglas Franklin, Exploring Victoria’s architecture (Victoria, 1996) peut étayer l’analyse architecturale des édifices de l’Assemblée législative. Parmi plusieurs études contextuelles et régionales sérieuses se trouvent : Harold Kalman, A history of Canadian architecture (2 vol., Toronto, 1994), 2 ; Robin Ward, Echoes of empire : Victoria & its remarkable buildings (Madeira Park, C.-B., 1996) ; Terry Reksten, The Empress Hotel : in the grand style (Vancouver, 1997) ; et Building the west : the early architects of British Columbia, Donald Luxton, compil. (Vancouver, 2003), dans lequel figurent certains de nos essais sur l’architecture de Rattenbury et des essais de Reksten sur sa vie personnelle. D’autres renseignements, tirés en grande partie de la presse contemporaine, figurent dans B. F. King et Geoffrey Castle, Victoria landmarks (Victoria, 1986) et More Victoria landmarks (Victoria, 1988). Dans notre article « Fabricating legalities of state in the imperial west : the social work of the courthouse in late Victorian and Edwardian British Columbia », Law Text Culture (Wollongong, Australie), 8 (2004) : 57–82, nous avons montré la pertinence de la théorie postcoloniale, poststructurale et spatiale dans l’analyse de la carrière de Rattenbury en tant qu’architecte colonial.
Rhodri Windsor-Liscombe, « RATTENBURY, FRANCIS MAWSON », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 10 oct. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/rattenbury_francis_mawson_16F.html.
Permalien: | https://www.biographi.ca/fr/bio/rattenbury_francis_mawson_16F.html |
Auteur de l'article: | Rhodri Windsor-Liscombe |
Titre de l'article: | RATTENBURY, FRANCIS MAWSON |
Titre de la publication: | Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16 |
Éditeur: | Université Laval/University of Toronto |
Année de la publication: | 2016 |
Année de la révision: | 2016 |
Date de consultation: | 10 oct. 2024 |