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ne consentirai pas, écrivit-il à Le Moine en mars 1897, à une édition abrégée – « bon marché et vilaine » – juste pour le bénéfice des éditeurs. The Golden Dog est une œuvre trop bonne, trop
the great march », dans Men in scarlet, H. A. Dempsey, édit. (Calgary, [1974 ?], 27–49. Pour avoir une
 
Canterbury. C’est là que Jones établit une manufacture de plus de 100 employés où l’on confectionnait des vêtements, surtout des chemises, « pour le marché rural » ; la production était écoulée
démissionnèrent. Le Citizen de Halifax, dont ils possédaient de petites parts, avait obtenu des marchés d’imprimerie du gouvernement, mais n’en ayant rien su, aucun d’eux n’était à blâmer. Deux élections
pendant tout le reste du xixe siècle, remet en marche et modernise les deux moulins à farine qui la desservent et, dans le but d’améliorer les communications avec
l’extérieur de New York. En 1880, il s’introduisit sur le marché montréalais en constituant juridiquement la Montreal News Company avec Samuel Edward
avait pas un seul abattoir plus vaste et mieux équipé que celui-là. Elle approvisionnait des marchés du centre du Canada, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et de la Colombie-Britannique. La
, par exemple, il s’attaqua aussi bien à la Politique nationale qu’à l’adjudication des marchés du chemin de fer canadien du Pacifique. Pendant les années où il fut député de Wellington South aux Communes
. Néanmoins, à mesure que ses fils sont capables d’assumer la bonne marche de l’entreprise, il participe davantage à la vie montréalaise. Avec un groupe d’hommes d’affaires, tels Andrew Allan, Andrew Frederick
 
aurait l’exclusivité des marchés de roulage de la compagnie. La Hendrie and Shedden (c’était le nom de la société) fut parmi les premières entreprises
des craintes des marchands de la rue Water. D’après eux, si Terre-Neuve affrontait une concurrence accrue sur les marchés du sud de l’Europe, où elle était traditionnellement forte, c’était la faute des
droite avec un seul aviron ou en marchant sur l’eau dans de grandes chaussures d’étain. En 1880, la municipalité de Toronto lui loua la pointe de trois acres située juste au nord de sa maison familiale
également à emprunter le moins possible et uniquement sur le marché britannique par l’intermédiaire des établissements locaux. Il doit affronter des réactions prévisibles aux hausses de taxes et tenter de
marché financier de Londres périclitait ; dans ce contexte, il n’était plus question de réaliser le projet ferroviaire de Toronto. Comme la compagnie torontoise avait opté pour un terminus à Port
 
bon nombre de ces travaux coûteux sans enthousiasme. Il savait que le prix des pelleteries s’effondrait sur le marché de Londres à cause de la dépression des années 1870 et que les fonctionnaires de la
nécessaires à la bonne marche du système politique et judiciaire. Parmi ses nombreuses interventions, celle en faveur de la reconstruction du palais de justice de Kamouraska, détruit par un incendie, et celle
décida d’exploiter le marché des produits pharmaceutiques, alors en plein essor, en fondant sa propre fabrique de médicaments brevetés. L’installation de son entreprise au Canada lui permit de profiter des
un service de traversiers entre Chéticamp et Pictou afin que les villageois aient accès à un chemin de fer et à de meilleurs marchés. Le service régulier commença deux ans plus tard. Toujours pour
, la fabrication de saucisses et le raffinage du lard. Selon lui, la Politique nationale était « le salut de l’industrie ». Non seulement empêchait-elle les Américains d’inonder le marché
capital emprunté de « ses amis d’Ottawa » lui permettent de profiter de cette conjoncture favorable. En 1873, au seuil de la dépression internationale provoquée par l’effondrement des marchés
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