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d’organisations, tant sur le plan local que national. Membre fondatrice de la section du Victorian Order of Nurses formée à Saint-Jean en 1899, Wilhelmina Gordon
 
l’hôpital de la Police à cheval. De temps à autre, ils se faisaient assister par des infirmières du Victorian Order of Nurses en poste au fort Selkirk (Selkirk), non loin de Dawson
Hebrew Free Loan Association, membre du comité d’administration du Victorian Order of Nurses for Canada et du Montreal General Hospital, et directeur de la Montreal Citizens’ Association, il présida de
entreprises. Il fut président de la section torontoise du Victorian Order of Nurses et appartint au conseil d’administration de la Banque impériale du Canada, de la Traders’ Bank of Canada, de l’Ontario Sugar
fit face à la situation, ce qui était tout à son honneur : il décida d’immigrer dans le Haut-Canada. En juin 1843, avec sa femme, Elizabeth Gale, leurs trois enfants, une nurse et l’un de ses
 
Pope*, elle aussi originaire des Maritimes. Une fois son apprentissage terminé, Mlle Forbes travailla un an à Montréal pour le tout nouveau Victorian Order of Nurses, puis retourna au Columbia
précieux. Intelligente, élégante et gracieuse, elle parlait couramment français et avait du tact. Pendant son séjour à Ottawa, elle fut présidente honoraire du Victorian Order of Nurses, du National Council
participèrent à la mise en place d’une section du Victorian Order of Nurses for Canada, autre initiative de lady Aberdeen. La même année, elles devinrent respectivement première présidente et première vice
 
 ». Louisa Anne Thomson prêta son concours à bon nombre des principales organisations philanthropiques de Saint-Jean : elle fut administratrice au Victorias Order of Nurses et à la Croix-Rouge, appartint
Humane Society, au Women’s Morning Music Club, au Women’s Canadian Club et à la section d’Ottawa du Victorian Order of Nurses. En plus, elle passait naturellement une bonne partie de son temps à
Billings Nurse, membre du Conseil législatif de la Barbade ; celle-ci mourut en 1848. Entre 1843 et 1847, Darling fut agent général de l’immigration à la Jamaïque sous les ordres du gouverneur
Hurlbatt], il aida à sauver de la fermeture la School for Graduate Nurses à McGill, au début des années 1930 [V. Bertha
Industry, le conseil provincial du Victorian Order of Nurses, le conseil national de la British and Foreign Sailors’ Society, la Navy League of Canada, l’ordre maçonnique, la St Andrew’s Society, le Canadian
 
Nurses. À l’instar de nombreuses femmes de l’élite montréalaise qui travaillaient pour le progrès de leurs consœurs, Mary McDougall appartint aussi à la Montreal Ladies’ Educational Association [V
la présidence du Victorian Order of Nurses qu’en 1918, à l’âge de 80 ans. Décédé deux ans plus tard, il laissait dans le deuil son fils, Reginald Mortimer, ingénieur civil et commandant de milice
qu’elle entretenait avec elles des relations chaleureuses. Par ailleurs, elle veillait à l’avancement de sa profession. Elle fut la première présidente de l’Ottawa Graduate Nurses Association. Avec
 
organisation, la Graduate Nurses Association of Newfoundland. Patricia O’Brien
du Victorian Order of Nurses for Canada [V. Ishbel Maria Marjoribanks
 
outre, il participa aux affaires communautaires. Élu président de l’Associated Charities of Ottawa en 1895, il contribua en 1897 à la fondation du Victorian Order of Nurses ; il succéda à lady
auxquels elle était associée, par exemple le National Council of Women of Canada et le Victorian Order of Nurses. Il resta l’ami des Aberdeen jusqu’à sa mort
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