charpentier, demandait à entrer chez les Récollets. Admis en 1679, il prit, en 1680, le nom de frère Didace. À partir de 1682, il accompagna pendant six années le père Joseph
représentation du New York Philharmonic Orchestra, au cours de laquelle il rencontre Pierre Monteux, chef d’orchestre au Metropolitan Opera (connu aussi sous le nom de Met). Ce dernier l’aide à obtenir un petit
canadiens-français ! On n’exposait pourtant à ce péril que les professeurs chargés, une fois l’an, d’aller faire apposer sur les diplômes imprimés d’avance à Montréal les noms et les signatures
série d’articles sur la défense. Le ministère fédéral des Travaux publics désigna Perry en 1874 pour diriger l’aménagement du canal de la Culbute et de la digue du même nom sur le chenal nord de la
1686 une Indienne de cette tribu, du nom de Marie-Thérèse, née en 1668, avec qui il eut, d’après le recensement de 1708, au moins sept enfants. Le 7 janvier 1721, après le décès de sa
Trois-Rivières en 1640 ou 1641 et le gouverneur, M. de Champflour, lui avait alors donné pour nom
, XX (1914) : 178.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 154.
PIUZE, LIVERIGHT (il reçut à sa naissance le nom de Traugott Leberecht Behzer), chirurgien et
à 1892, il dirigea un périodique consacré à la santé publique qui parut sous divers noms. Il rédigea des brochures sur la tuberculose, le choléra asiatique et les taux de mortalité élevés des villes
boucher, du nom de Joseph Guyon Després, qui accepta de faire construire et d’équiper une tannerie et d’en financer l’exploitation pendant la première année. Il est évident que Plessy entretenait de bons
.
En mai 1785, Richard Cadman Etches et d’autres marchands formèrent une association, généralement connue sous le nom de la King George’s Sound Company, en vue de faire le commerce des fourrures
.
Il débuta dans le commerce à la manière des marchands-bourgeois de la Nouvelle-France. À partir de 1722, et jusqu’à sa mort, on trouve son nom relié à plusieurs aspects du commerce des fourrures soit
POZER, GEORGE (il reçut à sa naissance le nom de Johann Georg Pfozer ; il signait Georg Pfozer
fourrures de la Hudson’s Bay Company, né vers 1816 dans une tribu de Cris-Assiniboines, connue sous le nom de Young Dogs, dans la région des lacs Little, situés dans la vallée de la rivière Qu’Appelle
Carleton* aux prêtres du séminaire de Québec en 1768, servit de base de travail pour la rédaction de l’un des cinq fascicules connus au Canada sous le nom d’ « Extrait des Messieurs », publiés
Québec ; circa 1749–1800.
On ne sait rien des premières années de Louis Primeau, mais c’est probablement lui qui, sous le nom de Louis
site un lieu isolé situé à 35 milles de Montréal, sur le bord du lac des Deux-Montagnes, dans la seigneurie du même nom que le séminaire de Saint-Sulpice de Paris s’était fait concéder en 1717. Dès 1720
face de la ville, a porté le nom de Randin durant de nombreuses années.
Randin accompagna Frontenac, en 1673, dans sa mission commerciale et pacifique
hypothèse pourrait expliquer en partie le fait que Delezenne changea son poinçon IF,D pour DZ, marque qui rappelle deux lettres de son nom de même que le Z de Ranvoyzé – cette dernière lettre ne se trouve
Canada » ; de son côté, le Mail de Toronto notait ceci : « Avec lui disparaît un rare fonds d’érudition et de compétence. Il laisse un nom que n’ont entaché ni un acte