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retrouva aux côtés du rédacteur sportif George Thomas Lanigan. Âgé de seulement deux ans et demi de plus que lui, Lanigan s’était déjà fait un nom en tant que poète, écrivain et journaliste. Tout en
* ; décédée le 10 juillet 1936 à Toronto. Il ne faut pas confondre Jean Graham avec la Torontoise du même nom qui servit à titre de missionnaire de l’Église
1886, furent justement celles où l’association transformait sa structure administrative et affirmait parler au nom de tous les avocats de la province. Il en occupa la présidence en 1887
jouer en sa faveur. Les chances de Graham furent toutefois compromises lorsque son nom fut cité au Parlement, en 1931, relativement à un accord qui conférait à l’Antapa Shooting Club, dont il était membre
son propre nom. Peut-être décida-t-il de lancer une nouvelle entreprise parce que l’avenir de celle-là s’assombrissait et qu’il avait à sa charge une femme et un fils. Il souffrait pourtant déjà d’une
 
, Jacques-Alexis de Fleury* Deschambault, qui lui donna son nom. En 1647, la compagnie accordait encore à Chavigny une
, connue sous le nom de F. J. Granger, papetier, et en anglais sous celui de « Flavien J. Granger, stationer, bookbinder and bookseller ». Avec un modeste capital de 500 $, il
 
(Manitoba), où il établit le fort La Souris (également connu sous le nom de fort Assiniboine), premier poste de la North West Company dans cette région. Il devait concurrencer celui construit par
d’une Métisse, probablement d’ascendance crise et française ; il épousa à la façon du pays Elizabeth MacKay, puis Madelaine Desmarais et peut-être une troisième femme dont on ignore le nom ; en
confessionnelles rendaient la chose politiquement impossible. Dans les années 1890, Grant appliqua une double solution. Comme la School of Mining and Agriculture, fondée en 1893, était indépendante. de nom, il
 
Grampian, Écosse), circa 1777–1799. James Grant est l’un des nombreux individus du nom de Grant qui, au Canada, participèrent à la traite des
 
 ». Au moment de sa retraite, en 1805, Peter Grant s’installa à Sainte-Anne-du-Bout-de-l’Île (Sainte-Anne-de-Bellevue, Québec), dans une grande maison de pierre connue aujourd’hui sous le nom de maison
 
, connu sous le nom de Scots Greys. En 1848, il était à la Royal Military Academy de Sandhurst. Toutefois, sa banque fit faillite et il perdit un héritage estimé à £75 000 ; criblé de dettes et
 
personnages du même nom qui furent ses contemporains, appartient à une grande famille dont plusieurs membres furent actifs dans la traite des fourrures pendant les premières décennies du Régime anglais. Il
 
, auxquels il ne tarda pas à ajouter la propriété voisine ; il y fit construire un quai important, connu par la suite sous le nom de quai de la Reine. En 1765, Gray et Grant obtinrent la concession d’un
responsabilités : contrôles du temps de guerre, surveillance des aubains et des radicaux, application de l’Ontario Temperance Act, maintien de l’ordre pendant de nombreuses grèves. Au nom du patriotisme et
 
de lieutenant dans la milice des volontaires. L’histoire a retenu le nom de Grass à cause du rôle qu’il joua dans l’établissement d’un groupe de
cure du Saint-Nom-de-Marie à Marieville. Il la refuse non pas parce qu’il se sentirait mal à l’aise près du séminaire et des prêtres qui y vivent, mais bien plutôt parce qu’il devrait y résider. Or, il
Lacasse une lettre datée du 28 juillet 1906 lui enjoignant, au nom de Mgr Adélard Langevin*, archevêque de Saint-Boniface au
ferroviaires, et l’huile Sara pour les clients de l’entreprise. Des jetons commerciaux pour les contenants d’huile Balmoral, des parapluies, des cigares étiquetés à son nom et d’autres souvenirs se révélèrent
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