de gouverneur retraité dans son île natale l’ennuya bien vite. En 1806, n’exigeant pour tout salaire qu’un pourcentage des bénéfices, il convainquit la compagnie de l’autoriser à mener, en son nom, une
ne put rassembler assez de partisans pour faire valoir davantage ce point constitutionnel et, le 20 novembre, l’Assemblée soumit le nom d’un nouveau président, Lewis Morris
jusqu’à sa retraite en 1805. Cette année-là, il publia un recueil des lois votées par la Nouvelle-Écosse entre 1758 et 1804 ; généralement connu sous le nom de lois de Uniacke, ce recueil
.
C’est en avril 1777 que le nom d’Adolphus Christoph Vieth apparaît pour la première fois dans des documents nord-américains, à l’occasion de sa nomination comme enseigne dans le régiment de garnison
Moose Factory en septembre 1858, à l’âge de 76 ans, et fut inhumée sous le nom de Mme Jane Vincent. La volumineuse correspondance au sujet de la succession de Vincent, de ses légataires et de ses finances
WALLER, JOCELYN (connu aussi sous le nom de Jocelyn
pas à se faire un nom comme fabriquant de douves et comme meunier. Toutefois, sa conscience stricte de covenantaire l’empêcha de prêter le serment d’allégeance et cette prise de position, dans une
WENGER, JOHANNES (connu plus tard sous le nom de John Winger), évêque tunker, né dans le comté de Lancaster
Sarah Decker ; il épousa Sally Hull, puis Nancy Thorn, Margaret Ann Crawford et, finalement, une femme dont le nom demeure inconnu, et il eut au moins 14 enfants ; décédé en 1835 dans le comté
poussa White, en 1809, à acheter des biens immobiliers, un lot et deux maisons de bois dans la rue Saint-Charles-Borromée, et à acquérir un banc à l’église Scotch Presbyterian, connue plus tard sous le nom
connaît pas le nom de sa femme. Des problèmes de ménage furent au nombre des raisons qui l’incitèrent à quitter l’Angleterre. En 1817, probablement avec quelques-uns de ses enfants et leurs familles
-Philippe (rue Saint-Gabriel). L’année suivante, la nouvelle congrégation Scotch Presbyterian, connue par la suite sous le nom de St Gabriel Street, obtint d’être séparée du consistoire d’Albany pour se
Cooper découvrit, en écoutant ses informateurs de Moose Factory, qu’il subsistait des traditions orales bien vivantes concernant le mouvement, même si son message avait été modifié. Sauf son nom de famille
que de celles de la rivière du même nom. De plus, en 1836, il contribua à l’ouverture d’une succursale de la Banque de l’Amérique septentrionale britannique à Newcastle et fut à la fin des années
soumit de nouveau les noms de ceux qu’il souhaitait voir siéger aux conseils. Plusieurs candidats avaient été écartés parce qu’ils avaient déclaré ouvertement leur opposition aux résolutions de Russell
apposa le nom Aasance à côté de la marque d’un chef du clan de la Loutre. Il s’agissait probablement du père de John Aisance, qui, pour sa part, est appelé « jeune Aisaince » dans le rapport
malheureusement le nom de l’orfèvre chez qui il travailla. Cependant, quelques missives de l’abbé François Sorbier* de Villars, procureur du
» et Logan de « pauvre petit colporteur [préoccupé de vendre] sa marchandise ». « Mon nom, poursuivait-il, survivra et demeurera lié au comté de Colchester alors même que celui de Joe
compagnie d’un orfèvre du nom d’Auguste Flulin, qui l’avait engagé. Toutefois, en arrivant à destination, maître Flulin, qui avait en sa possession des articles de contrebande, vit les agents des douanes
membre influent de la congrégation Scotch Presbyterian, connue plus tard sous le nom de congrégation St Gabriel Street. Dans sa vie privée, Auldjo se montrait un homme généreux et fidèle. Ainsi, en