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JACK, WILLIAM BRYDONE (dont le second prénom était à l’origine Bryden et qu’on désignait souvent par le nom de
KAHGEGAGAHBOWH (Kahkakakahbowh, Kakikekapo) (connu sous le nom de George Copway), missionnaire méthodiste, écrivain
 
, un des principaux chefs de guerre des Tsonnontouans d’en bas ou de l’Est, membre du clan de la Tortue (dont le nom signifie fumée fuyante ou brume ; il apparaît le plus souvent
l’orthographe Kimbert ou Kimber, afin de donner une forme plus française à son nom. Son fils Joseph, le père de Timothée, servit dans le bataillon de milice de la ville de Québec à l’hiver de 1775–1776. Après
canadienne le nom de France-Roy et au fleuve celui de France-Prime en l’honneur de François Ier. Un fort fut érigé et André
avec ses créanciers un arrangement qui, sans en porter le nom, était en fait une faillite. John, qui était apparemment l’un des enfants les plus choyés de la famille, put terminer ses études à Cambridge
son fils aîné, François, il octroya une étendue de pays allant de la rivière des Iroquois (Richelieu) jusqu’au Châteauguay moderne. Puis, se servant de prête-noms, il obtint pour lui-même l’île de
, ce qui lui vaut une tournée en Amérique du Sud, aux Antilles et au Mexique comme accompagnateur d’un violoniste espagnol du nom d’Olivera. En septembre 1861, il est à Providence, au Rhode Island, où il
 
consentirent et brûlèrent, le 14 juin 1649, leur résidence de Sainte-Marie. Ils en reconstruisirent une semblable, du même nom, dans l’île. Malgré la prévoyance administrative du père Le Mercier
MACDONALD, JAMES ALEXANDER (il écrivait parfois son nom McDonald), avocat, homme politique et juge, né en 1858
11 enfants d’un fermier du Galloway, reçut sa première instruction en attrapant des « bribes » de l’enseignement dispensé par les précepteurs que son père engageait au nom des agriculteurs de
 
MACTAVISH, DUGALD (le nom est souvent orthographié MacTavish ou McTavish, mais les membres de la
Français. Tous reçoivent de nouveaux noms inspirés de ceux de la famille royale ou de catholiques illustres. Membertou devient Henri. Sa femme et sa fille, dont on ignore les noms usuels, sont prénommées
du lac Okanagan. Là, à Sunnyside Ranch, Susan Louisa aimait participer à des activités avec ses enfants et écouter les histoires racontées par les Okanagans, aussi connus sous le nom de Syilx. Elle
, en 1851, les grands établissements connus sous le nom de Brownston Mills, comprenant une meunerie, un moulin à scier et une distillerie. Il donnera les deux distilleries à bail, mais il dirigera
Lyre canadienne, répertoire des meilleures chansons et romances du jour, publié sans nom d’auteur la même année. On sait en effet que, dès 1842, Molt avait caressé le projet « de publier sous
 
naissance se sont taillé une place dans ce domaine. C’est en février 1794 que le nom de Munn figure pour la première fois dans des documents de Québec
, Joseph (1757–1833), est le premier à abandonner définitivement le nom de Berloin pour celui de Nantel. Quant à Guillaume, né à Saint-Eustache, il se serait installé à Saint-Jérôme en 1837 ou 1838 pour y
 
 », Nugent ne faisait néanmoins quartier à personne. Aussi traversa-t-il plus de périodes orageuses que tout autre journaliste de la Nouvelle-Écosse. Entre juin et août 1842, il commença à publier sans nom
1892. Toujours actif dans le Parti libéral, il participe en 1880 à la fondation du journal libéral l’Electeur, et c’est lui qui en suggère le nom [V. Ernest
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