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, il prend la raison sociale de Duhamel, Rainville, Rinfret et Rainville. Avec l’arrivée, deux ans plus tard, de Siméon Pagnuelo, il porte le nom de Duhamel, Pagnuelo et Rainville, et ce jusqu’en 1882
 
Duplessis ; une esclave portant le même nom fit sa première communion à Montréal le 13 juin 1767. Il est plus plausible de croire qu’après l’ordonnance de l’intendant l’esclave, qui avait
 
Renaud* d’Avène de Desmeloizes. Il acquit également la seigneurie qui a porté les noms de Dombourg, de Pointe-aux-Trembles et de Neuville, attenante à celle de Maur à l’ouest. Elle fut achetée à Jean
, sa succession, bien administrée, assura la perpétuation de l’entreprise, reconstituée peu après sa mort en société anonyme. Ce commerce, qui deviendrait un grand magasin connu sous le nom de Dupuis
 
DUPUY, ZACHARIE (appelé parfois « sieur de Verdun », du nom de son fief sur le Saint-Laurent), commandant des forts de
*. Duquet a 67 ans. Il peut se permettre un bilan : se rappeler les difficultés rencontrées, certaines controverses – en particulier celle de mars 1871, quand un artisan du nom de P.-E. Poulin l’a
 
Angers, France, fils de Joseph Durocher, tailleur d’habits, et de Marguerite Le Roy, décédé avant le 15 septembre 1756. Le nom de
l’énigmatique et dynamique leader autochtone Eda’nsa reçut le nom de Gwai-Gu-unlthin à sa naissance. Selon la légende, ses ancêtres seraient arrivés dans l’archipel de la Reine-Charlotte venant de la région de la
 
, Eliot, Robert et William Thorne, son frère, achetèrent un navire, le Gabriel, à Dieppe, peut-être en vue d’une exploration en Amérique. Le nom de Hugh Eliot figurait sur la charte que Henri
 
en formant une autre société, la Loggie and Company, avec un collègue pêcheur du nom de James Wise, le conserveur néo-brunswickois Alexander Loggie et l’étameur David S. Hennessy. Leur conserverie
le nom de Mennonitische Fortbildungsschule (séminaire mennonite), mais on l’appelait communément la Halstead Academy. En 1887, Ewert, le directeur, organisa une campagne pour demander une charte de
 
Richardson* au sein de la société montréalaise, qui prit le nom de Forsyth, Richardson and Company. Richardson y prit immédiatement le rôle dominant ; Alexander Thain s’associerait avec eux avant le
 
. En 1786, dans une poursuite intentée à Montréal, on le disait vivant à Detroit et, l’année suivante, son nom apparaissait parmi ceux qui appuyaient le ministre de l’Église d’Angleterre de l’endroit
 
le nom de Marie-Rose. Ses trois fils furent « tués et estropiés au service du Roy » en Louisiane. L’aîné de ses petits-fils, François-Henri de Thiersant, épousa la fille d’un académicien
 
1697, mais, à ce moment-là, il n’y avait pas pour lui de poste vacant et, à partir de cette date, il n’y a plus aucune mention de son nom dans les archives de la compagnie
 
membre du conseil du séminaire, il fut, comme tel, l’un des neuf prêtres à signer la requête demandant à la reine Victoria l’octroi de la charte de l’université Laval, en 1852. Même si, après 1854, son nom
 
GLODE, GABRIEL (également connu sous le nom de Cableal Groad et de Chief
1666 ; Lintot, du nom d’une commune du pays de Caux, et non Linctot), interprète, seigneur, membre de la Communauté des Habitants, né en 1607 ou 1608, fils de Pierre Godefroy, écuyer, et de
 
. Peter Gonish et Dominic revinrent au Nouveau-Brunswick vraisemblablement vers la fin de 1844. On entendit parler de Gonish pour la dernière fois en 1846, lorsqu’il présenta une demande de secours au nom
 
. Nous savons avec certitude que René Goupil était déjà chirurgien, à son entrée au noviciat de Paris le 16 mars 1639. Son nom n’apparaît pas dans les listes officielles pour les années suivantes. Mais une
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