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parurent à cette époque-là ; certains avaient été écrits par des ingénieurs français distingués, soit sous leur nom véritable, soit sous un pseudonyme. Bien d’autres manuscrits sur le sujet ont sans
 
Nord et qui recevaient une subvention de l’État, on relève le nom de Renée Claparède, fille d’un marchand, vivant à Viols-le-Fort près de Montpellier
 
, lui avoit d’abord fait donner ce nom ». Force lui sera toutefois d’admettre que les négociants le lui conservèrent avec une attribution toute différente
 
transporter des colons à Truro et Onslow ; à l’automne, il apporta, au nom du gouvernement, du maïs indien aux colons originaires de la Nouvelle-Angleterre des comtés de Cumberland et de Kings, qui
 
au nom d’un parent du premier lord de l’Amirauté, lord Winchelsea [Daniel Finch]. Le 18 avril 1742, en tant que lieutenant en second du Russell
 
. Louis-Alexandre Constantin fait ses études au collège des jésuites et il est admis au noviciat des récollets de Québec, sous le nom de frère Justinien, le 4 août 1734. Il termine ses années de
deux noms désignaient une même personne. Tout au plus peut-on présumer que Cope, chef indien résidant à la mission de l’abbé Jean-Louis Le
 
charpentier français du nom de Chiquet fut nommé contremaître du chantier naval au Canada par la couronne. Étienne Corbin était contremaître au chantier naval de Québec depuis 1740, et il avait priorité sur
 
. La difficulté d’identifier correctement le Charles-François Coron dont le nom apparaît sur les documents consultés a induit en erreur plusieurs historiens, dont Cyprien
 
permission d’envoyer un canot de quatre hommes au poste de Baie-des-Puants (Green Bay, Wisc.). Il ne fit des engagements pour l’ouest en son propre nom qu’en 1747, 1748, 1752 et 1756, mais l’on peut
 
. Certains ont prétendu qu’elle s’était mariée une fois à l’église, mais aucun document n’a été retrouvé et le nom de son époux demeure inconnu. Ses mariages subséquents furent probablement contractés selon la
 
. Cet arrangement régulier se trouva compliqué par l’établissement de la Compagnie des Indes, nom sous lequel elle allait être connue, sous la direction du spéculateur écossais, John Law. En 1717, le
 
, apparemment, ne savait écrire que son nom, atteignit pourtant le niveau d’entrepreneur indépendant et il posséda sa propre maison, rue du Sault-au-Matelot. La plainte d’un de ses locataires (1735) laisse
 
Bigot* l’aurait ensuite rachetée et conduite à Québec à la fin de l’été ou au début de l’automne de 1691. Baptisée le 23 mars 1692 sous le nom de Marie-Anne, elle aurait vécu dans
 
DEGUISE, dit Flamand (Flamant), GIRARD-GUILLAUME (connu sous le nom de
 
nom de Villebon lui venait de son oncle Joseph Robinau* de Villebon), officier dans les troupes de la Marine, né
 
. Delaborde mourut après avoir souffert pendant près d’un an d’aliénation mentale et il fut enterré à Louisbourg le 17 novembre 1754. Bien qu’il se soit marié jeune, on ne connaît pas le nom de son épouse et
 
agissait surtout comme courtier, achetant et vendant des marchandises et des navires, soit pour son propre compte, soit au nom des marchands d’autres ports, tels que Québec et Saint-Jean-de-Luz en France
 
), qui fut concédé sous le nom de Horton le 21 mai. Le Conseil devait assurer le transport des colons et de leurs bestiaux, du matériel agricole et des ménages et aussi fournir du blé aux
 
le nom de « Jean Baptiste Maison Basse, orfèvre » âgé de 49 ans et habitant rue Sous-le-Fort. D’autre part, dans un document daté du 6 octobre 1745, l’épouse de l’artiste est
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