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GARAKONTIÉ (Garakonké, Harakontie), baptisé sous le nom de Daniel et presque certainement le « sagochiendagehte
 
 » (l’océan Arctique) avant de revenir. Bien que le détroit qui sépare l’île de Vancouver de la terre ferme porte son nom, son récit est des plus contestables. Il fut répandu vers la fin du
. Il était un des cinq enfants de Bernard Frobisher et de son épouse, fille d’une famille de chevaliers du nom d’York. Quand il arriva à l’âge d’aller à l’école, sa mère, devenue veuve, le confia à son
 ». À la mort de sa mère (1644), il entre chez les Récollets de Paris ; il y fait profession le 8 octobre de l’année suivante et prend le nom de frère Luc, sans doute en souvenir du patron des
, jusqu’à un point qu’il désigna du nom de « cap Dorchester » ; il baptisa (le 22 septembre) du nom fantaisiste de « Fox his farthest » la contrée avoisinante qui, d’après ses
 
FONTENEAU, JEAN (plutôt connu sous le nom de Jean Alfonse), navigateur français, né en 1484 en Saintonge, mort à La
 
de Halifax. Jusqu’à la fin de septembre, il louvoya le long des côtes d’Arambec (nom de la Nouvelle-Écosse en micmac). Fisher n’explique pas cette indécision. Il avait pris des notes sur les arbres et
 
FERNANDES, JOÃO, un des premiers grands explorateurs portugais qui aurait été à l’origine du nom « Labrador
 
EROUACHY (Eroachi, Esrouachit ; connu des Français sous les noms de « La Ferrière », « La
 
, Eliot, Robert et William Thorne, son frère, achetèrent un navire, le Gabriel, à Dieppe, peut-être en vue d’une exploration en Amérique. Le nom de Hugh Eliot figurait sur la charte que Henri
 
aller à la recherche d’une terre vers l’Ouest, qu’avait aperçue plusieurs années auparavant Gunnbjörn Ulfsson et qui était connue sous le nom de Skerries de Gunnbjörn (et était probablement les montagnes
 
1620, après quoi son nom tombe dans l’oubli. Easton fut le principal corsaire de son temps et l’un des plus fameux dans toutes les annales de la
 
DUPUY, ZACHARIE (appelé parfois « sieur de Verdun », du nom de son fief sur le Saint-Laurent), commandant des forts de
 
janvier 1672, les terres plus tard désignées sous le nom de seigneurie de Senneville, à l’extrémité ouest de l’île de Montréal, mais, en 1679, il les vendit à
DUGUA DE MONTS, PIERRE (également connu sous les noms Du Gua et de Mons), explorateur, traitant
 
Charles VII. Jacques Duchesneau était issu de cadet et seul de son nom. Il avait des protecteurs puissants à la cour ; il y était même très estimé de Colbert et du roi qui, en le nommant au poste
 
il passa l’hiver. À l’automne de 1666, il participa à l’expédition contre les Iroquois avec la mission de prendre possession, au nom du roi de France, des « forts d’Agnié ». Ce qu’il fit
 
seconde activement Champlain qui veut consolider le fort stratégique de Trois-Rivières. Ses nombreux voyages ayant altéré sa santé, il retourne en France le 23 août 1636 et son nom disparaît définitivement
 
prendre possession de cette colonie au nom du roi, après la disgrâce de Fouquet et la démission de Feuquières. Il partit pour Terre-Neuve en juillet 1662
 
traversa au Canada aussitôt après avoir terminé sa formation de jésuite, le 15 août 1643. Ce missionnaire, dont on a retenu le nom surtout à cause de ses explorations, a aussi d’autres titres au souvenir de
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