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collections historiques du Michigan), JACQUES, soldat, cultivateur et traitant en fourrures, fondateur de la famille canadienne distinguée qui porte ce nom, fils de Jean « Bavis » et
BABEY, PETER PAUL TONEY (connu aussi sous le nom de Peter Bobbeie), chef micmac et guérisseur qui vécut en Nouvelle
ceux du père Arnaud, ont été ramenés à Betsiamites. Pour commémorer sa mémoire, un monument lui a été dédié en 1970 à Schefferville et l’on a donné son nom à un canton au Saguenay et à une montagne de la
 
AYOTTE, PIERRE-LÉON (mieux connu sous le nom de Jaquette-à-Simon), journalier et
 
Canada vers 1815, après avoir déserté son navire, si on en croit la légende. Son changement de nom donne de la crédibilité à cette histoire : alors qu’il vendait des terrains en 1837, il se servait de
nomination ne se concrétisa pas. Il résida ensuite à Rochester, où il devint le ministre de la First Spiritual Church (qui prendrait le nom de Plymouth Spiritualist Church). De cette chaire, il acquit une
 
bataillon de la milice de Carleton en 1847, mais il fut cassé en 1850, son nom étant apparu sur le Manifeste annexionniste sans qu’il le sache. Il fut réintégré dans ses fonctions de major en 1856, promu
 
membre influent de la congrégation Scotch Presbyterian, connue plus tard sous le nom de congrégation St Gabriel Street. Dans sa vie privée, Auldjo se montrait un homme généreux et fidèle. Ainsi, en
Scotch Presbyterian (connue plus tard sous le nom de St Gabriel Street) ; élu au comité des affaires séculières en 1809 et 1810, il en fut vice-président la première année et président la
de Seine-et-Marne, le 20 novembre 1732. Le nom originel de cette famille était Dauger, transformé plus tard en d’Auger. Jean Dauger, riche marchand
 
compagnie d’un orfèvre du nom d’Auguste Flulin, qui l’avait engagé. Toutefois, en arrivant à destination, maître Flulin, qui avait en sa possession des articles de contrebande, vit les agents des douanes
 
AUCHAGAH (c’est ainsi que le nom est écrit dans le journal de La Vérendrye, mais il est parfois orthographié Ochagach
 
nom, qui fut emporté par le scorbut durant l’hiver de 1605–1606. Un ministre protestant faisait aussi partie du voyage
de tout le monde [...] (Québec, 1847) ainsi qu’un Cours de chimie (Québec, 1850). Aubin a laissé son nom à une invention largement diffusée : il s’agit d’un procédé d’éclairage au
 
surtout l’orthographe de son nom expliquent sans doute qu’au xixe siècle quelques commentateurs l’identifièrent avec le père Aubry, immortalisé par Chateaubriand dans Atala. Comme l’a
 
du premier seigneur, Jean Juchereau* de Maur. Les Hospitalières donnèrent à cette seigneurie le nom de seigneurie des Pauvres, parce
occidentales. L’année suivante, pour une redevance annuelle de 350 000#, il céda à un syndicat de financiers français, représenté par Jean Oudiette, et connu sous le nom de Compagnie de la Ferme, plusieurs
ses fils, Pierre, fut le premier à prendre le nom de Gaspé, en 1709. Par ses ancêtres tant maternels que paternels, Philippe Aubert de Gaspé appartenait aux plus illustres familles du pays, les Coulon
 
rivière du même nom. Devenu commandant de l’endroit, il y demeura jusqu’à son départ pour l’Ouest en 1753. À la suite d’un bref séjour à la rivière Ohio, il prit part à l’attaque du fort Necessity
 
jusqu’au recensement de 1681. Il vint cependant plus tard à Québec, y fut juge suppléant du Conseil souverain en 1684 et y fut inhumé le 20 mars 1694. Ses descendants écrivent maintenant leur nom
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