. Souart, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice, elle était venue au pays avec la recrue de 1659. En mai 1664, elle avait reçu la concession d’un arrière-fief, connu plus tard sous le nom de
, N.-É.) en 1650. D’Aulnay était de famille d’une très ancienne noblesse, originaire du Perche. Il doit son second nom à la seigneurie d’Aulnay, près de Loudun, que lui légua sa mère
Salle prit solennellement possession de toute la « Louisianne » au nom du roi de France et planta une croix bénite par le père Membré. Fier de son succès, La Salle pria le récollet de se
Français. Tous reçoivent de nouveaux noms inspirés de ceux de la famille royale ou de catholiques illustres. Membertou devient Henri. Sa femme et sa fille, dont on ignore les noms usuels, sont prénommées
Temple ; elle s’établit à Port-Royal ; plus tard, elle aurait émigré à Boston, laissant en Acadie Pierre et Charles, les seuls membres de la famille dont l’histoire a retenu les noms
1646. Il avait reçu au baptême le nom de Nesmes, qu’il changea en Énemond en se faisant religieux.
Après son noviciat, il enseigna au collège de Tournon
qu’il fît partie d’une organisation clandestine : ces noms étaient employés pour masquer l’identité des déserteurs, ou celle des membres d’une organisation illégale au cas où ses documents seraient
MARSH (March), JOHN, gouverneur de la Hudson’s Bay Company, dans la baie du même nom, décédé en 1688/1689
qui devait porter son nom. Deux ans plus tard, une expédition de Kiskakons, comprenant 30 canots, alla exhumer ses restes qu’elle transféra en grande pompe à Saint-Ignace
1693 et reparti à l’automne de 1694.
Cet officier, auquel l’abbé Auguste Gosselin donne le nom de Jacques-Théodore Cosineau de Mareuil, est surtout
avril 1634, sous le nom de Joseph. Il mourut le Samedi saint 1634 et il fut inhumé selon les rites de l’Église catholique romaine. Champlain donna congé à ses gens pour qu’ils assistent aux funérailles de
heureuse de la décision de Jeanne. Elle lui demanda de vouloir bien garder, à l’avenir, le secret le plus absolu sur tout ce qui la concernait, sur son nom, sa personne et les dons qu’elle comptait faire
.— Philéas Gagnon, Noms, propres au Canada-Français : transformations de noms propres, établies par les signatures autographes ou par les écrits de contemporains où ils sont mentionnés, BRH, XV
, né le 9 décembre 1650 à Québec, décédé à Québec le 24 novembre 1683 et inhumé au même endroit deux jours plus tard. Le nom de Maheut est la forme bretonne de Mathieu, qui a donné aussi Maheu, Maheux et
prisonnier, le chef montagnais Cherououny, connu sous le nom de « Le Réconcilié », et deux autres Indiens
Laval* au nom des religieuses de l’Hôtel-Dieu pour leur arrière-fief Saint-Laurent de l’île d’Orléans.
Madry mourut noyé le 26 juillet 1669 lors
seigneurie de Portneuf, concession qui sera confirmée le 16 avril 1647. Il acquit également, le 29 mars 1649, le marquisat Du Sablé – qui, malgré son nom, était une terre en roture –, le fief de l’Île-aux
pénétrer enfin dans le havre intérieur, le havre aux Basques, qu’ils désignèrent de son nom basque d’Halabolina (situé entre l’île Amherst et l’île aux Meules), indiquant nettement par là que certains
rivage, ce qui semblait être une étendue de roches hautes et plates. Leifr donna à cette région le nom de Helluland (pays des dalles). Poussant plus loin, il arriva près d’une région plate et boisée
notable influent. Il reçoit en 1652, avec des associés, la seigneurie du Cap-des-Rosiers. En 1653, il représente la côte Saint-Michel dans l’élection du syndic de Québec. Son nom figure dans la liste des