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la retraite en 1696 avec une pension de 600# par an. Après cette date, son nom ne figure plus sur le rôle des officiers des troupes de la colonie. On peut dire de lui qu’il personnifiait toutes les
 
généalogiste des ordres du roi, Pierre Clairambault (1651–1740). Les Clairambault, établis à Séboncourt (Aisne), auraient émigré dans la région de Nuits-sur-Armançon vers 1630. Le nom d’Aigremont provient
 
. Jusqu’en 1670, le procureur remplissait aussi le rôle de supérieur de Saint-Sulpice au Canada. C’est à lui que le supérieur général de Paris, au nom des seigneurs de l’île de Montréal, donnait sa procuration
 
allaient en délégation auprès du gouverneur Rigaud de Vaudreuil usaient de son nom pour manifester
biographiques qui ont servi de canevas à Lesage. Le cadre général du récit, les noms de personnages obscurs, comme celui de l’abbé Périac (Priat), des épisodes comme l’expédition ratée de Corlaer, le voyage
, le principal village des Agniers, et participa aux cérémonies officielles qui entourèrent la prise de possession des territoires avoisinants au nom de Louis XIV
 
avant d’être envoyé à la mission iroquoise de Saint-François-Xavier, à Sault-Saint-Louis (Caughnawaga). En 1677, on trouve son nom inscrit aux registres de Laprairie et de Lorette. Cette année-là Kateri
 
traite. Au bas des obligations notariées, on trouve les noms des plus grands trafiquants de l’époque. Le 4 août 1687, François était élu tuteur des
 
, sous le nom de sœur Saint-Ange et, à partir de 1700, sous celui de sœur du Saint-Sacrement, née à Ville-Marie le 3 mai 1666, supérieure générale de la congrégation de Notre-Dame de 1708 à 1711
 
mourut au cours d’un voyage à Québec, en 1728. Sous le nom de Jean-Baptiste Saint-Ange, sieur de Charly, on l’inhuma dans la cathédrale Notre-Dame de Québec, le 9 novembre ; ce fait est une
 
frère Daniel, connu sous le nom de sieur de Chabert et de Clausonne, fut une figure éminente dans la région de Niagara au cours de la guerre de Sept Ans. Impliqué dans « l’affaire du Canada
d’officier dans le corps de génie. De toute évidence, il vint au Canada en 1683, sous le nom de guerre de « La Liberté », comme soldat et arpenteur dans les troupes de la marine ; il prit
CALLIÈRE, LOUIS-HECTOR DE (le nom s’écrit généralement Callières, mais il a toujours omis le « s » dans sa
 
Iroquois mettaient leur territoire sous la protection de l’Angleterre. Parmi les signataires se trouvait un sachem tsonnontouan du nom de Kanakarighton. À cette occasion ce Kanakarighton blâma les Onontagués
 
Récollets, Jean Soumande, ratifie en leur nom un contrat avec Pierre Janson dit Lapalme, maître entrepreneur en maçonnerie, qui s’engageait à bâtir le portail de l’église des Récollets pour 1 800
 
Buisson de Saint-Cosme (1660–1712)]. Ce toponyme qui accompagnait souvent, sans virgules, le nom des Buisson, pour indiquer leur provenance, finit par faire partie de leur patronyme. Expliquant
familles influentes de la colonie. Dorénavant, les détenteurs de permis devraient déclarer le nom des trois « voyageurs » que comptait chaque canot et produire la liste des marchandises qu’ils
le reçut officiellement et on lui assigna, à l’extrémité du fort (connu sous le nom de fort Mohawk), une maison qui devait remplir le double emploi d’église et de presbytère. Il écrivit au sujet de
 
-Michel en partance pour le Canada. Tout cela, bien entendu, sous différents noms d’emprunt. À une époque où le monolithisme religieux était bien
 
. Le distingué chirurgien était de nouveau établi à Port-Royal avant 1699 ; il y mourut octogénaire en 1701. Le nom patronymique fut perpétué par deux des trois fils : Charles, né en
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