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Pierre de Chauvin de Tonnetuit et sa sœur, à propos d’un héritage, font croire que son nom de famille était bien Chauvin, nom fort répandu en Normandie, et qu’il était parent de son homonyme, le
composée de trois ursulines, elle joignit une jeune fille de 19 ans, Charlotte Barré, qui deviendra la première professe du monastère de Québec, sous le nom de mère Saint-Ignace
à mars 1847, est publié dès 1853 sous forme de volume, cette fois sous son nom, par Georges-Hippolyte Cherrier, et lui vaut la notoriété. D’inspiration « balzacienne » par la forme, ce roman
parurent à cette époque-là ; certains avaient été écrits par des ingénieurs français distingués, soit sous leur nom véritable, soit sous un pseudonyme. Bien d’autres manuscrits sur le sujet ont sans
, le principal village des Agniers, et participa aux cérémonies officielles qui entourèrent la prise de possession des territoires avoisinants au nom de Louis XIV
la fin de 1637 ou au début de 1638, Joseph-Marie dit sa première messe dans une chapelle construite sous le nom et le vocable de la maison de Lorette ; c’est à cette époque également qu’il obtint
 
avant d’être envoyé à la mission iroquoise de Saint-François-Xavier, à Sault-Saint-Louis (Caughnawaga). En 1677, on trouve son nom inscrit aux registres de Laprairie et de Lorette. Cette année-là Kateri
 
de chose de la jeunesse de Nicolas Chatelain, sinon qu’il combattit apparemment durant la guerre de 1812. La première mention de son nom remonte à 1823 : il était interprète pour la Hudson’s Bay
 
). De 1650 à 1684, au collège de Québec, il est sans arrêt préfet spirituel et confesseur des Jésuites, admoniteur et consulteur. Son nom apparaît dans divers actes notariés de l’époque et ailleurs comme
CHASE, HENRY PAHTAHQUAHONG (connu dans l’enfance sous le nom de Pahtahquahong), interprète mississagué de la tribu des
 
cette période, le nom de Chartrand se confond continuellement avec celui de Benoît dans les travaux d’importance. En janvier 1826, les associés s’engagent à faire une voûte neuve et des bas-reliefs
sous le nom de capitaine Chartrand ou de Chartrand des Écorres), militaire, comptable, écrivain, propriétaire d’une revue et professeur, né le 23 novembre 1852 à Saint
 
titre de « chirurgien » ou de « maître chirurgien de l’Isle » est joint à son nom. Dans un de ces actes, son nom avoisine celui d’Adam
-Joseph Chaussegros* de Léry. Grâce à ses vastes propriétés, à son nom prestigieux et à ses alliances familiales
Hocquart, qui porte son nom, sise sur la rive sud-est du lac Champlain. Ces affaires conclues, il passe à Londres, en route vers le Canada, et y apprend que ses deux seigneuries du lac Champlain
 
 octobre 1738, sous le nom de frère Eustache ; mais il dut attendre l’arrivée d’un nouvel évêque, Mgr de Pontbriand
c’est lui néanmoins qui allait perpétuer le nom de Chartier de Lotbinière, avant d’opter tardivement pour l’état ecclésiastique. L’une de ses sœurs, Louise-Philippe, avait épousé François
 
épousée le 18 juin 1834. Le souvenir et le nom même d’Amable Charron sont disparus de la région. Une seule des églises qu’il a contribué à décorer, celle
 
traite. Au bas des obligations notariées, on trouve les noms des plus grands trafiquants de l’époque. Le 4 août 1687, François était élu tuteur des
 
, sous le nom de sœur Saint-Ange et, à partir de 1700, sous celui de sœur du Saint-Sacrement, née à Ville-Marie le 3 mai 1666, supérieure générale de la congrégation de Notre-Dame de 1708 à 1711
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