3381 à 3400 (de 4149)
1...168  169  170  171  172  ...208
et fut enseveli avec l’habit des tertiaires de Saint-François. En guise de reconnaissance pour le travail qu’il avait accompli, le gouvernement du Québec donna son nom, le 16 septembre 1980, à
sa formation. C’est à compter de ce moment qu’il ajoute le patronyme MacPherson à son nom, en témoignage de reconnaissance envers son grand-père. Durant les six années qui suivent, il étudie au petit
discutèrent du « suffrage féminin » ; Mme Yeomans affirma que le droit de vote devait être concédé aux femmes « au nom de la justice et de l’utilité » et en vue du « progrès de la
perdit plusieurs officiers, sous-officiers et soldats ; le nom de Learmonth figurait sur la liste des blessés. Promu officier, le lieutenant Learmonth revint alors à Québec passer quelques semaines
autem in nomine Domini (« Quant à nous, nous parlons au nom du Seigneur »). Les Pieds-Noirs l’appelèrent Sspomitapi, c’est-à-dire « celui qui occupe un siège élevé ». À la mort de
, dont l’objectif est de publier à New York un quotidien illustré, qui paraît le 4 mars 1873 sous le nom de Daily Graphic. Desbarats doit toutefois se retirer de l’entreprise peu après
 
entreprise. Le 14 mars 1878, Leiser et Gerke mirent fin à leur association ; dès lors, le commerce fut exploité sous le nom de Simon Leiser
dernier châtiment lui fut imposé après qu’une gardienne nommée Mick eut rapporté qu’elle lui avait « crié des noms, tenu des propos ignobles, menacée, etc
utilisaient de l’équipement amené de Fort Macleod, l’arrêt de chemin de fer le plus proche. Le pétrole du premier puits producteur d’Oil City (tel était le nom du chantier) se mit à jaillir l’année
 
Manitoba. Florence Davy Thompson faisait avec tant de compétence son travail au laboratoire de physiologie de la faculté des sciences de l’université de Manitoba qu’elle publia sous son seul nom deux
milles de Montréal ». De même, on prétend qu’il fréquenta le séminaire de Montréal, de Saint-Hyacinthe ou de Trois-Rivières, mais son nom ne figure dans les archives d’aucun de ces établissements
MACDONALD, sir WILLIAM CHRISTOPHER (jusqu’en 1898, il orthographia son nom de famille McDonald
de ce fait une importance qu’elle n’aurait pas eue autrement. Elle donnerait le nom de son père à son fils aîné et tiendrait toujours à ce que les activités de son père soient rapportées fidèlement
 
dévouait inlassablement à des patients qui, souvent, payaient des honoraires ridiculement bas ou recevaient un traitement gratuit. Jusqu’à sa mort, son nom demeura sur la liste des praticiens reconnus de la
Malcolm, employé chez Watson, servit peut-être d’intermédiaire, mais seule la coïncidence des noms de famille suggère une relation de parenté. Quant à Watson, il fit probablement appel à Andrew Malcolm
du pays [V. Sir Samuel Henry Strong*]. Au nom de l’intégrité du droit civil, il s’oppose à la création de cette cour suprême
, dont la charte, obtenue en 1871, avait été remise en vigueur en 1881. Au nom du groupe dirigé par Stephen, il négocia un droit de passage afin que le chemin de fer canadien du Pacifique puisse construire
permission de décorer avec ses élèves les murs de la vieille église St Gabriel Street, à Montréal. Parmi ses élèves figurent les noms de Napoléon Saint-Charles, de l’architecte N. Resther, et de
 
s’opposait à la consommation du tabac. En outre, dans un éloquent passage de son adresse de 1905, il déclara ne pas approuver la peine capitale, même « au nom de la défense et de la protection de la
l’hebdomadaire Washington Bee, qui possédait un vaste lectorat afro-américain. Un compte rendu plus bref, où ne figure pas le nom de Mme Whetsel, parut dans des journaux d’un bout à l’autre des
3381 à 3400 (de 4149)
1...168  169  170  171  172  ...208