tard, le 27 juillet 1709, elle y fait profession sous le nom de Sainte-Hélène.
Nous avons très peu de renseignements sur ses premières
côte ouest. Le navire, troisième du nom construit par la Hudson’s Bay Company, quitta Londres le 30 juin 1852, et Reid atteignit Victoria au milieu de décembre, accompagné de sa femme
inscrite au contrat.
Son nom étant fait, Reid rentra au Canada dans les derniers mois de 1883. Il avait gardé au moins quelques relations dans le milieu
commandant d’un poste chez les Miamis. Cependant trois et, peut-être, même quatre postes étaient alors, ou connus sous ce nom, ou situés dans le territoire des Miamis
, France, le 1er décembre 1792.
Nous ignorons à peu près tout de l’enfance et de la jeunesse d’Angélique Renaud d’Avène Des Méloizes. Son nom
financière du roi, la coopération des fonctionnaires de la colonie et ses propres liens avec la communauté de marchands ne suffirent même pas à compenser ces lacunes fondamentales. Finalement, le nom de Des
. Louis, dont le nom sera spécifié dans la raison sociale de l’entreprise, semble en avoir été le leader.
Vers 1850, Jean-Baptiste Renaud vint s’établir
.
À sa mort, la Minerve écrivait le 15 novembre : « Il fit connaître avantageusement le nom canadien sur les marchés d’Angleterre et de la France par des opérations commerciales qui
guerre de la Conquête qui avait nécessité, entre autres choses, la construction du fort Jacques-Cartier, à l’embouchure de la rivière du même nom. Au moment où ils reprirent le travail, il semble que
– le connaissait et l’aimait ».
Au milieu des années 1850, comme la vieille garde de la compagnie (alors connue sous le nom de Job Brothers and
. Entre 1875 et 1878, Marcou se retire des affaires et l’entreprise prend le nom de George Richard Renfrew and Company. Le principal associé de Renfrew est alors son cousin, John Henderson Holt, que l’on
, avec Sylvester E. Briggs, fondèrent la Steele Brothers and Company, qui, sous le nom de Steele-Briggs Seed Company, allait acheter la société de Rennie en 1961. Ces entreprises devaient leur succès
Casgrain*, confondant l’orthographe des noms aussi bien que les personnes, écrit que le curé de Québec, l’abbé Resche, présida à l’inhumation de
l’Église méthodiste, nomination qui entra en vigueur au mois de juillet suivant, lorsque les quatre Églises méthodistes en Canada s’unirent officiellement sous ce dernier nom. Rice préconisait l’unification
que plusieurs équipes veulent compter cet ailier gauche parmi leurs joueurs. Ne pouvant faire partie de plus d’une par année, il décide d’emprunter différents noms : il peut ainsi jouer au hockey
RICHARDS, JACKSON JOHN (connu aussi sous les noms de Jean Richard et de
, il devint ministre de l’Église méthodiste épiscopale récemment constituée (l’Église qui avait porté ce nom était devenue l’Église méthodiste wesleyenne), refuge de ceux qui pour diverses raisons
l’entreprise fait remonter à 1857 l’établissement du commerce familial de grain qui allait devenir plus tard la James Richardson and Sons. La première indication du nom de cette entreprise se trouve dans
le nom de Wacousta, il aide Pondiac* à mener en 1763 une insurrection armée contre les forts anglais du Nord-Ouest. Seul Detroit est épargné parce
, qui devait servir sur les lacs Huron et Michigan. À la mort de Robert Ellice en 1790, Richardson devint associé de la compagnie, qui prit alors le nom de Forsyth, Richardson and Company. Même si les