synode et servit de modérateur en 1821. Nommé professeur de théologie du synode cette année-là, il demanda, au nom de l’Église, une subvention gouvernementale pour la création d’une chaire de théologie à
Young*, de Howe et des libéraux et il eut le plaisir de voir ses efforts couronnés de succès car, en 1860, les libéraux (le nom de réformistes tombait déjà en désuétude) revinrent au pouvoir. Sans
.
De l’amour de McCurdy pour la photographie résulta en 1899 une de ses inventions : une petite cuve portative pour développement en plein jour, l’Ebedec (nom amérindien de Baddeck). Des générations de
, une école tenue par James C. Watson. L’année suivante, cette école, désormais subventionnée par l’État, prit le nom d’Institution des sourds et muets de Manitoba et fut placée sous l’autorité du
Portage-la-Prairie. Emerald Lodge, que l’on désignait fréquemment sous le nom de McDermotown, devint le noyau de Winnipeg, et, de nos jours, l’avenue McDermot marque la limite nord de cette propriété
Mary Vincent [Honoria Conway*], vivaient encore et restaient actives. Mlle McDonald prononcerait ses vœux perpétuels en 1889 sous le nom de
s’installent à Portneuf vers 1837. Six ans après, sous le nom de McDonald and Logans, ils agrandissent le moulin qu’ils équipent de la première machine Fourdrinier que le Canada ait connue. C’était une machine à
McDonald au fort Colvile. En septembre 1844, McDonald découvrit au lac Kootenay le gisement d’argent qui fut exploité plus tard sous le nom de mine Bluebell
. and J. McDonald. Un autre de ses frères, Collin, se joignit à lui au même moment mais ne devint associé qu’en 1825, la société prenant alors le nom de C. and J. McDonald and Company. De
(Charles-Édouard, dit le Jeune Prétendant), mais après la bataille de Culloden en 1746, il changea son nom pour celui de McDonald et s’établit dans une ferme aux abords de Rannoch. La famille fut gagnée
.
Mieux connu de ses contemporains comme propriétaire foncier, McDonald était tellement identifié à son domaine qu’on le désignait souvent par le nom de celui-ci, Tracadie. Des documents qui subsistent
McDONALD, DONALD (les membres de la famille orthographiaient parfois leur nom Macdonald), arpenteur et homme
noms ; Supreme Court, estates div. records, liber 19 : f.155 (mfm).— Univ. of P.E.I. Library (Charlottetown), P.E.I. Coll., R. B. Macdonald, « MacDonalds in P.E.I
McDONALD, JOHN (connu aussi sous le nom de McDonald le Borgne), trafiquant de
le nom de C. and J. McDonald and Company parce que le jeune frère des deux associés, Collin, y était entré, et tous trois se proposèrent de construire un barrage sur la rivière afin
qualité de commis. Bien que, dans ses « Autobiographical notes » écrites en 1859, McDonald, qui était connu sous le nom de John McDonald of Garth, puisse avoir exagéré son importance au sein de la
-solde. Son nom apparaît sur une liste dressée le 20 juillet 1784, énumérant les personnes qui avaient l’intention de s’établir à Niagara, mais il figure aussi, le 25 septembre, sur un
cause de ses liens familiaux et parce qu’il résidait à York. À la session de 1804, il appuya sans succès une motion qui visait à remplacer le nom d’York par celui de Toronto et ne réussit pas non plus à
de cette lointaine province, où un comté portait le nom de Glengarry. De plus, en servant dans l’armée, les hommes de McDonell s’étaient fait des amis influents, dont le lieutenant-gouverneur Peter
en 1786 en Écosse, décédé le 29 novembre 1861 à Peterborough, Haut-Canada. Il se maria, mais on ne connaît pas le nom de son épouse, et il n’avait, semble-t-il, aucun proche parent au moment